Le parti du FLN soutient mordicus, lavoie constitutionnelle pour sortir de lacrise et, par voie de conséquence, il estaussi contre la mise en place d'une périodede transition. Le parti du FLN soutient mordicus, lavoie constitutionnelle pour sortir de lacrise et, par voie de conséquence, il estaussi contre la mise en place d'une périodede transition. Néanmoins, le vieux partine s'accroche pas à la date du 4 juillet pourla tenue de l'élection présidentielle,puisque son secrétaire général, Mohamed Djemai, s'est montré ouvertement favorableau report du scrutin. "Nous sommescontre la transition. Pour une raison simple: ce sont des périodes qui ont démontréleur inefficacité et leur dangerosité, dansplusieurs pays. Une transition politique signifie l'absence de la force de la loi etcelle de la Constitution. C'est une périodedont les retombées sont imprévisibles. AuFLN, nous sommes en faveur d'un dialogueconstructif, d'une solution dans uncadre constitutionnel. Nous plaidons pourune innovation dans le cadre constitutionnel.Autrement dit, tout en restant dansl'esprit de la Constitution, nous pouvonsinnover pour trouver des solutions dansson cadre au travers des concertations avecdes constitutionnalistes et des spécialistesdu droit constitutionnel", a indiqué hier,Mohamed Djemai dans un entretienaccordé à un journal électroniqued'infirmation. Sur la question de l'élection présidentielle, prévue normalement le 4 juillet, Djemai a plaidé pour le report afinde répondre positivement aux revendicationsformulées par le mouvement populaire."Le peuple demande une élection crédibleet transparente. Mais pour quel'élection soit ainsi, il lui faut une commissionindépendante d'organisation et desupervision des présidentielles, telles qu'exigées par le mouvement populaire. Ce qui n'est pas le cas en ce moment.L'autre revendication du mouvement populaireest la révision de la loi électorale. Cequi n'a pas été fait aussi pour le moment. Pour l'heure, on ne peut donc pas aller àune élection présidentielle, sans ces deuxconditions sine qua none, à savoir unecommission indépendante d'organisation et de supervision des élections, ainsi q'unerévision de la loi électorale. Il faut trouver des mécanismes pour organiser des élections,conformément aux exigences dumouvement populaire" dira-t-il. Selon lui, "on pourrait innover dans le cadre de laConstitution, pour retarder la tenue desprésidentielles, mais pas de beaucoup.C'est-à-dire qu'il ne faut retarder que de peu l'élection présidentielle, car l'Algérie abesoin d'une stabilité et d'une sérénité,pour protéger notre économie ainsi quenos frontières. Mais dans tous les cas defigures, il faut qu'il y ait des élections présidentielles,pour que le mouvement populairechoisisse de manière libre et souveraine,son prochain président de laRépublique et ne pas s'embourber dansune période de transition, aux conséquencesimprévisibles". Et à Djemai deformuler les revendications de son partiqui portent, notamment, sur la préservation des revendications populaires légitimes, un dialogue constructif pour trouverdes mécanismes de sortie de crise, oùle peuple sera souverain et un changementde la loi électorale Néanmoins, le vieux partine s'accroche pas à la date du 4 juillet pourla tenue de l'élection présidentielle,puisque son secrétaire général, Mohamed Djemai, s'est montré ouvertement favorableau report du scrutin. "Nous sommescontre la transition. Pour une raison simple: ce sont des périodes qui ont démontréleur inefficacité et leur dangerosité, dansplusieurs pays. Une transition politique signifie l'absence de la force de la loi etcelle de la Constitution. C'est une périodedont les retombées sont imprévisibles. AuFLN, nous sommes en faveur d'un dialogueconstructif, d'une solution dans uncadre constitutionnel. Nous plaidons pourune innovation dans le cadre constitutionnel.Autrement dit, tout en restant dansl'esprit de la Constitution, nous pouvonsinnover pour trouver des solutions dansson cadre au travers des concertations avecdes constitutionnalistes et des spécialistesdu droit constitutionnel", a indiqué hier,Mohamed Djemai dans un entretienaccordé à un journal électroniqued'infirmation. Sur la question de l'élection présidentielle, prévue normalement le 4 juillet, Djemai a plaidé pour le report afinde répondre positivement aux revendicationsformulées par le mouvement populaire."Le peuple demande une élection crédibleet transparente. Mais pour quel'élection soit ainsi, il lui faut une commissionindépendante d'organisation et desupervision des présidentielles, telles qu'exigées par le mouvement populaire. Ce qui n'est pas le cas en ce moment.L'autre revendication du mouvement populaireest la révision de la loi électorale. Cequi n'a pas été fait aussi pour le moment. Pour l'heure, on ne peut donc pas aller àune élection présidentielle, sans ces deuxconditions sine qua none, à savoir unecommission indépendante d'organisation et de supervision des élections, ainsi q'unerévision de la loi électorale. Il faut trouver des mécanismes pour organiser des élections,conformément aux exigences dumouvement populaire" dira-t-il. Selon lui, "on pourrait innover dans le cadre de laConstitution, pour retarder la tenue desprésidentielles, mais pas de beaucoup.C'est-à-dire qu'il ne faut retarder que de peu l'élection présidentielle, car l'Algérie abesoin d'une stabilité et d'une sérénité,pour protéger notre économie ainsi quenos frontières. Mais dans tous les cas defigures, il faut qu'il y ait des élections présidentielles,pour que le mouvement populairechoisisse de manière libre et souveraine,son prochain président de laRépublique et ne pas s'embourber dansune période de transition, aux conséquencesimprévisibles". Et à Djemai deformuler les revendications de son partiqui portent, notamment, sur la préservation des revendications populaires légitimes, un dialogue constructif pour trouverdes mécanismes de sortie de crise, oùle peuple sera souverain et un changementde la loi électorale