dimanche, par l'avocate Me Ben Brahem Fatma Zohra, qui vient de rejoindre le panel du dialogue contre les jeunes manifestants détenus pour avoir brandi l'emblème amazigh, ont soulevé l'ire de leurs avocats. dimanche, par l'avocate Me Ben Brahem Fatma Zohra, qui vient de rejoindre le panel du dialogue contre les jeunes manifestants détenus pour avoir brandi l'emblème amazigh, ont soulevé l'ire de leurs avocats. En effet, le Collectif des avocats pour le changement et la dignité, en charge des dossiers des détenus d'opinions, s'est dit "indigné" devant les propos "irresponsables et irréfléchis" tenus par Me Ben Brahem Fatma Zohra. Dans une déclaration rendue publique hier, ils mettent en défi l'avocat de se constituer pour ces "prétendues victimes de vol ou d'agression" pour lesquels ces manifestants auraient, d'après elle, été arrêtés. "Cette dernière, par ignorance ou en chargée de mission, prétend que les détenus arrêtés entre le 21, 28 et 30 juin, pour port du drapeau amazigh et pour des opinions politiques, sont arrêtés pour vol, agression et harcèlements", écrit le collectif des avocats dans sa déclaration. Et d'ajouter, accusateur : "le système n'est maintenu que grâce à ce genre de serviteurs". Les Avocats pour le changement et la dignité dénient le droit à Mme Ben Brahem, de parler des dossiers des détenus dont elle ne pouvait accéder aux contenus, du fait qu'elle ne soit pas constituée. "Nous infirmons et ce, en connaissance de cause, que toutes les informations données par cette avocate, qui n'était pas constituée, ne peut parler du contenu des dossiers", lit-on en effet. Le collectif d'avocats se dit "solidaire" avec les familles des détenus d'opinion, pour les "dommages moraux dont ils font objet", et réitère son engagement à défendre les "détenus d'opinion jusqu'à leurs libération et à leurs relaxe". Cette montée au créneau des avocats pour le changement et la dignité intervient, suite aux déclarations faites hier, par Me Ben Brahem au journal Echourouk, selon lesquels les manifestants arrêtés pour avoir brandi les drapeaux amazigh seraient coupables, d'après elle, de "vols, d'agressions et de harcèlements". En effet, le Collectif des avocats pour le changement et la dignité, en charge des dossiers des détenus d'opinions, s'est dit "indigné" devant les propos "irresponsables et irréfléchis" tenus par Me Ben Brahem Fatma Zohra. Dans une déclaration rendue publique hier, ils mettent en défi l'avocat de se constituer pour ces "prétendues victimes de vol ou d'agression" pour lesquels ces manifestants auraient, d'après elle, été arrêtés. "Cette dernière, par ignorance ou en chargée de mission, prétend que les détenus arrêtés entre le 21, 28 et 30 juin, pour port du drapeau amazigh et pour des opinions politiques, sont arrêtés pour vol, agression et harcèlements", écrit le collectif des avocats dans sa déclaration. Et d'ajouter, accusateur : "le système n'est maintenu que grâce à ce genre de serviteurs". Les Avocats pour le changement et la dignité dénient le droit à Mme Ben Brahem, de parler des dossiers des détenus dont elle ne pouvait accéder aux contenus, du fait qu'elle ne soit pas constituée. "Nous infirmons et ce, en connaissance de cause, que toutes les informations données par cette avocate, qui n'était pas constituée, ne peut parler du contenu des dossiers", lit-on en effet. Le collectif d'avocats se dit "solidaire" avec les familles des détenus d'opinion, pour les "dommages moraux dont ils font objet", et réitère son engagement à défendre les "détenus d'opinion jusqu'à leurs libération et à leurs relaxe". Cette montée au créneau des avocats pour le changement et la dignité intervient, suite aux déclarations faites hier, par Me Ben Brahem au journal Echourouk, selon lesquels les manifestants arrêtés pour avoir brandi les drapeaux amazigh seraient coupables, d'après elle, de "vols, d'agressions et de harcèlements".