Depuis le début de la propagation du coronavirus, et surtout depuis l'annonce du premier cas avéré en Algérie, les masques de protection s'arrachent. Face à cette forte demande, les prix flambent. Alors que plusieurs pharmacies sont déjà en rupture de stock, certains commerçants en profitent pour gonfler leurs prix. Depuis le début de la propagation du coronavirus, et surtout depuis l'annonce du premier cas avéré en Algérie, les masques de protection s'arrachent. Face à cette forte demande, les prix flambent. Alors que plusieurs pharmacies sont déjà en rupture de stock, certains commerçants en profitent pour gonfler leurs prix. C'est le constat que nous avons fait depuis quelques jours. Ainsi, l'unité du masque jetable qui se vendait à 10 DA passe à 30 DA. "Nous sommes en rupture de stock depuis quelques jours, et nous hésitons à faire des commandes car le prix a triplé et nous pensons que beaucoup de personnes ne vont pas l'acheter à ce prix", nous déclare une pharmacienne. Pire encore, comme le masque est jetable, utilisable une fois seulement par jours, le prix actuel pose problème à beaucoup de citoyens. Le phénomène est même dénoncé ailleurs qu'en Algérie. Par exemple en France, depuis quelques jours, les tarifs ont sensiblement flambé sur les sites proposant à la vente ces protections. Ainsi, sur Amazon, le lot de 100 masques jetables proposé le 24 janvier à 19,90 euros est passé à 27,99 euros. Pire, le lot de 200 masques proposé au prix de 17 euros dimanche est passé à 43 euros lundi, soit une hausse de 150 %. Par ailleurs, pour plus d'efficacité, les masques doivent être changés, toutes les trois à quatre heures. Si l'utilité des masques chirurgicaux n'est pas forcément prouvée, certains modèles, plus sophistiqués, protègent mieux. C'est le cas notamment des masques dits "canard", qui forment un bec. Ces masques de protection respiratoire FFP, essentiellement utilisés par le personnel hospitalier, protègent des infections extérieures s'ils sont accompagnésde lunettes de protection et d'une charlotte. Depuis le début de l'épidémie, ce type de masques a vu aussi son prix flamber. C'est le constat que nous avons fait depuis quelques jours. Ainsi, l'unité du masque jetable qui se vendait à 10 DA passe à 30 DA. "Nous sommes en rupture de stock depuis quelques jours, et nous hésitons à faire des commandes car le prix a triplé et nous pensons que beaucoup de personnes ne vont pas l'acheter à ce prix", nous déclare une pharmacienne. Pire encore, comme le masque est jetable, utilisable une fois seulement par jours, le prix actuel pose problème à beaucoup de citoyens. Le phénomène est même dénoncé ailleurs qu'en Algérie. Par exemple en France, depuis quelques jours, les tarifs ont sensiblement flambé sur les sites proposant à la vente ces protections. Ainsi, sur Amazon, le lot de 100 masques jetables proposé le 24 janvier à 19,90 euros est passé à 27,99 euros. Pire, le lot de 200 masques proposé au prix de 17 euros dimanche est passé à 43 euros lundi, soit une hausse de 150 %. Par ailleurs, pour plus d'efficacité, les masques doivent être changés, toutes les trois à quatre heures. Si l'utilité des masques chirurgicaux n'est pas forcément prouvée, certains modèles, plus sophistiqués, protègent mieux. C'est le cas notamment des masques dits "canard", qui forment un bec. Ces masques de protection respiratoire FFP, essentiellement utilisés par le personnel hospitalier, protègent des infections extérieures s'ils sont accompagnésde lunettes de protection et d'une charlotte. Depuis le début de l'épidémie, ce type de masques a vu aussi son prix flamber.