Le prochain gouvernement d'Aïmen Benabderrahmane aura du pain sur la planche. Des dossiers bien chargés attendent la formation gouvernementale avec la prise en main des urgences à traiter. Le prochain gouvernement d'Aïmen Benabderrahmane aura du pain sur la planche. Des dossiers bien chargés attendent la formation gouvernementale avec la prise en main des urgences à traiter. Le choix d'un financier à la tête de l'Exécutif est le choix du Président Tebboune qui veut en découdre avec l'option politicienne. Les attentes seront nombreuses tant certains points s'inscrivent actuellement dans l'urgence. Le nouveau Premier ministre, connu pour sa dextérité sur le plan économique et financier, aura ainsi à traiter la crise de l'eau qui risque de sévir tout l'été avec un stress hydrique accentué depuis des mois. Aussi, est-il mentionné la relance de tous les projets dans ce secteur vital tels que les stations de pompage, forages de puits et stations de dessalement d'eau de mer. L'accélération des projets est d'autant cruciale dans la réforme économique qui va se tailler la part de lion dans l'agenda du nouvel exécutif. Il y a lieu de citer l'équilibre des fondamentaux en économie à travers des résolutions sur la diversification. L'industrie, l'agriculture et le BTPH sont les trois secteurs-clés dans lesquels la relance n'attend plus. Dans le contexte de la crise sanitaire et la vaccination qui devra prendre une proportion à large échelle, la décision gouvernementale pour faire durer la campagne de vaccination et la future industrie de vaccins n'attendra plus. Face à la résurgence des cas de la Covid-19 et dans un climat qui présuppose une troisième vague, le gouvernement sera appelé à plus de fermeté dans la gestion de ce dossier des plus délicats. C'est, donc, la réforme du secteur sanitaire dans sa globalité qui va faire un sujet de prédilection face aux moyens humains et matériels qui devraient renforcer un secteur encore en crise. Dans le chapitre de la gouvernance, l'issue de la formation prochaine du gouvernement devra s'accommoder, selon les experts, à un « choix hybride entre la politique et la technocratie ». Cela dépendra, ainsi, des futurs locataires de portefeuilles ministériels dont ceux qui sont à caractère régalien. Ainsi, les départements de l'Intérieur, de la Diplomatie et des Finances seront pourvus d'hommes nouveaux ou anciens— cela dépend des choix— à faire exécuter l'agenda fixé par le chef de l'Etat dans l'axe de stabilité sociale. A cela il est évident que le front social en ébullition ne peut être apaisé sous les coups de promesses et de déclarations d'intention. Le chômage endémique, la détérioration du pouvoir d'achat des citoyens et l'impasse à laquelle est confrontée l'économie nationale sont les points prioritaires qui devront trouver des olutions salvatrices. Le rétablissement de la confiance entre la société civile et les gouvernants n'est pas une tâche aisée face aux stigmates de la corruption généralisée, et le détournement des deniers publics qui font toujours scandale dans l'actualité brûlante. Gouverner c'est prévoir, et c'est là que les zones d'ombre doivent être levées à travers la réhabilitation de certaines institutions publiques à l'instar de la prospective, la planification et la numérisation des données dans le cadre d'une vision que les spécialistes ont toujours souhaité l'inscrire à large échelle et non d'une gestion expéditive et courante des affaires. Le choix d'un financier à la tête de l'Exécutif est le choix du Président Tebboune qui veut en découdre avec l'option politicienne. Les attentes seront nombreuses tant certains points s'inscrivent actuellement dans l'urgence. Le nouveau Premier ministre, connu pour sa dextérité sur le plan économique et financier, aura ainsi à traiter la crise de l'eau qui risque de sévir tout l'été avec un stress hydrique accentué depuis des mois. Aussi, est-il mentionné la relance de tous les projets dans ce secteur vital tels que les stations de pompage, forages de puits et stations de dessalement d'eau de mer. L'accélération des projets est d'autant cruciale dans la réforme économique qui va se tailler la part de lion dans l'agenda du nouvel exécutif. Il y a lieu de citer l'équilibre des fondamentaux en économie à travers des résolutions sur la diversification. L'industrie, l'agriculture et le BTPH sont les trois secteurs-clés dans lesquels la relance n'attend plus. Dans le contexte de la crise sanitaire et la vaccination qui devra prendre une proportion à large échelle, la décision gouvernementale pour faire durer la campagne de vaccination et la future industrie de vaccins n'attendra plus. Face à la résurgence des cas de la Covid-19 et dans un climat qui présuppose une troisième vague, le gouvernement sera appelé à plus de fermeté dans la gestion de ce dossier des plus délicats. C'est, donc, la réforme du secteur sanitaire dans sa globalité qui va faire un sujet de prédilection face aux moyens humains et matériels qui devraient renforcer un secteur encore en crise. Dans le chapitre de la gouvernance, l'issue de la formation prochaine du gouvernement devra s'accommoder, selon les experts, à un « choix hybride entre la politique et la technocratie ». Cela dépendra, ainsi, des futurs locataires de portefeuilles ministériels dont ceux qui sont à caractère régalien. Ainsi, les départements de l'Intérieur, de la Diplomatie et des Finances seront pourvus d'hommes nouveaux ou anciens— cela dépend des choix— à faire exécuter l'agenda fixé par le chef de l'Etat dans l'axe de stabilité sociale. A cela il est évident que le front social en ébullition ne peut être apaisé sous les coups de promesses et de déclarations d'intention. Le chômage endémique, la détérioration du pouvoir d'achat des citoyens et l'impasse à laquelle est confrontée l'économie nationale sont les points prioritaires qui devront trouver des olutions salvatrices. Le rétablissement de la confiance entre la société civile et les gouvernants n'est pas une tâche aisée face aux stigmates de la corruption généralisée, et le détournement des deniers publics qui font toujours scandale dans l'actualité brûlante. Gouverner c'est prévoir, et c'est là que les zones d'ombre doivent être levées à travers la réhabilitation de certaines institutions publiques à l'instar de la prospective, la planification et la numérisation des données dans le cadre d'une vision que les spécialistes ont toujours souhaité l'inscrire à large échelle et non d'une gestion expéditive et courante des affaires.