L'attentat qui a ciblé une caserne de l'ANP mercredi dernier, à Lakhdaria (Bouira), faisant une dizaine de morts et plusieurs blessés, n'a pas manqué de susciter les condamnations de la classe politique nationale. Ainsi, le Rassemblement national démocratique a vivement exprimé son indignation face à cet acte terroriste qui a pris pour cible des éléments de l'Armée nationale populaire. Dans un communiqué, le parti de Ahmed Ouyahia a réaffirmé son appui et son soutien à l'ANP et aux différents corps de sécurité, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, et ce jusqu'à son éradication définitive. Pour le RND, cet attentat «ne saurait influer sur le processus de la réconciliation nationale, ni entamer la volonté ou les choix du peuple algérien qui a embrassé les valeurs de paix, d'union et de solidarité nationale», présentant en cette douloureuse circonstance ses condoléances aux familles des victimes et souhaitant le rétablissement des blessés. Le Mouvement de la société pour la paix, a, quant à lui, réitéré son attachement aux principes de la réconciliation nationale «seule à même d'isoler ces groupes criminels devant l'opinion publique nationale et internationale», condamnant avec rigueur ce forfait, le MSP appelle tous les Algériens «peuple, gouvernement, partis et associations à la vigilance en vue de faire face à ce phénomène contraire aux préceptes de notre religion et étranger aux valeurs de notre société, en usant de tous les moyens légaux». De son côté, l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), dans un communiqué de presse rendu public, a affirmé vendredi, que le récent attentat terroriste ayant ciblé une caserne de l'Armée nationale populaire (ANP) et les atteintes criminels ne freineront pas les efforts du pays pour l'instauration de la paix. Le texte de la centrale syndicale affirme en substance que « L'attentat criminel contre une caserne de l'Armée nationale populaire (ANP) à Lakhdaria, et les atteintes criminelles contre la population, ne freineront pas les efforts de notre pays pour l'instauration d'une paix durable et la concrétisation de la réconciliation nationale. Pour l'Organisation syndicale « l'Algérie qui a rejeté le terrorisme et l'anarchie et ne ménagera jamais ses efforts pour faire revenir la paix et la sécurité ». Hormis ces deux formations politiques et l'UGTA, les réactions tardent à venir, du moins par voix officielle. Ni les autres partis politiques, ni les organisations et associations nationales, ni des personnalités n'ont daigné condamner cet acte ignoble perpétré par les hordes terroristes. Par ailleurs, sur le plan international, Paris a vite fait de condamner l'attentat terroriste de Lakhdaria, et ce par la voix de Bernard Kouchner, le chef de la diplomatie française. Ce dernier, condamnant avec «la plus grande fermeté l'attentat», renouvelle l'indéfectible soutien de la France à l'Algérie dans sa lutte contre le terrorisme. «La France demeure, plus que jamais, aux côtés des autorités algériennes dans la lutte qu'elles mènent contre le terrorisme», est-il noté dans un communiqué transmis à cet effet, présentant les condoléances des autorités françaises au président Bouteflika et aux familles des victimes de l'attentat. De son coté, le Roi marocain a transmis un message de condoléances au président Bouteflika, suite à l'attentat meurtrier de Lakhdaria. Soulignant que «ce fléau représente le premier danger qui menace la stabilité de la région», le souverain Mohamed VI a fait part de sa disposition permanente à renforcer la coopération bilatérale en matière de lutte antiterroriste et réitéré, par la même, son engagement total à vaincre les bandes criminelles du terrorisme. L'attentat qui a ciblé une caserne de l'ANP mercredi dernier, à Lakhdaria (Bouira), faisant une dizaine de morts et plusieurs blessés, n'a pas manqué de susciter les condamnations de la classe politique nationale. Ainsi, le Rassemblement national démocratique a vivement exprimé son indignation face à cet acte terroriste qui a pris pour cible des éléments de l'Armée nationale populaire. Dans un communiqué, le parti de Ahmed Ouyahia a réaffirmé son appui et son soutien à l'ANP et aux différents corps de sécurité, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, et ce jusqu'à son éradication définitive. Pour le RND, cet attentat «ne saurait influer sur le processus de la réconciliation nationale, ni entamer la volonté ou les choix du peuple algérien qui a embrassé les valeurs de paix, d'union et de solidarité nationale», présentant en cette douloureuse circonstance ses condoléances aux familles des victimes et souhaitant le rétablissement des blessés. Le Mouvement de la société pour la paix, a, quant à lui, réitéré son attachement aux principes de la réconciliation nationale «seule à même d'isoler ces groupes criminels devant l'opinion publique nationale et internationale», condamnant avec rigueur ce forfait, le MSP appelle tous les Algériens «peuple, gouvernement, partis et associations à la vigilance en vue de faire face à ce phénomène contraire aux préceptes de notre religion et étranger aux valeurs de notre société, en usant de tous les moyens légaux». De son côté, l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), dans un communiqué de presse rendu public, a affirmé vendredi, que le récent attentat terroriste ayant ciblé une caserne de l'Armée nationale populaire (ANP) et les atteintes criminels ne freineront pas les efforts du pays pour l'instauration de la paix. Le texte de la centrale syndicale affirme en substance que « L'attentat criminel contre une caserne de l'Armée nationale populaire (ANP) à Lakhdaria, et les atteintes criminelles contre la population, ne freineront pas les efforts de notre pays pour l'instauration d'une paix durable et la concrétisation de la réconciliation nationale. Pour l'Organisation syndicale « l'Algérie qui a rejeté le terrorisme et l'anarchie et ne ménagera jamais ses efforts pour faire revenir la paix et la sécurité ». Hormis ces deux formations politiques et l'UGTA, les réactions tardent à venir, du moins par voix officielle. Ni les autres partis politiques, ni les organisations et associations nationales, ni des personnalités n'ont daigné condamner cet acte ignoble perpétré par les hordes terroristes. Par ailleurs, sur le plan international, Paris a vite fait de condamner l'attentat terroriste de Lakhdaria, et ce par la voix de Bernard Kouchner, le chef de la diplomatie française. Ce dernier, condamnant avec «la plus grande fermeté l'attentat», renouvelle l'indéfectible soutien de la France à l'Algérie dans sa lutte contre le terrorisme. «La France demeure, plus que jamais, aux côtés des autorités algériennes dans la lutte qu'elles mènent contre le terrorisme», est-il noté dans un communiqué transmis à cet effet, présentant les condoléances des autorités françaises au président Bouteflika et aux familles des victimes de l'attentat. De son coté, le Roi marocain a transmis un message de condoléances au président Bouteflika, suite à l'attentat meurtrier de Lakhdaria. Soulignant que «ce fléau représente le premier danger qui menace la stabilité de la région», le souverain Mohamed VI a fait part de sa disposition permanente à renforcer la coopération bilatérale en matière de lutte antiterroriste et réitéré, par la même, son engagement total à vaincre les bandes criminelles du terrorisme.