Le calendrier vaccinal n'est pas immuable. La levée de l'obligation du BCG (vaccin contre la tuberculose). En France, le ministère de la santé, a recommandé récemment la vaccination pour toutes les jeunes filles dès 14 ans contre les in fections à papillomavirus pour les protéger du cancer du col de l'utérus La politique vaccinale évolue rapidement car elle doit s'adapter en permanence aux résultats des nouvelles études, au suivi épidémiologique des maladies, à la vaccino-vigilance et à l'apparition de nouveaux vaccins", selon Christian Perronne, président du comité technique des vaccinations (CTV) à l'occasion de la publication, mardi 24 juillet, dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) du calendrier vaccinal 2007. En Algérie, les enfants ne sont pas vaccinés contre la varicelle et pourtant. "Cela éviterait de déplacer les cas de varicelle vers les populations d'adolescents ou d'adultes susceptibles de faire des formes graves de cette maladie et d'éviter la hausse des cas de zona chez les personnes âgées", selon une étude publiée sur un bulletin épidémiologique 2007. Cependant, il est déconseillé de remplacer le vaccin trivalent rougeole-rubéole-oreillons par le quadrivalent ROR-varicelle. En revanche, les adolescents et les femmes en âge de procréer qui n'ont pas eu la varicelle doivent se faire vacciner avec le vaccin, selon la même étude Infections invasives à pneumocoque : le vaccin antipneumococcique est destiné à prévenir les septicémies et méningites du nourrisson. "Les études récentes ont montré son effet préventif sur les otites moyennes aiguës à pneumocoque de l'enfant et sur les pneumonies des personnes âgées. Ce vaccin est recommandé à l'ensemble des enfants de moins de 2 ans avec trois injections, la première dès 2 mois puis à 12 et 15 mois. Coqueluche : la primo-vaccination doit se faire à 2, 3, et 4 mois et le rappel à 16-18 mois. "Compte tenu d'une recrudescence de cas de coqueluche chez de très jeunes nourrissons", il est recommandé d'effectuer un rappel coquelucheux chez les adultes susceptibles de devenir parents. Hépatite B : les autorités sanitaires estiment nécessaire de "relancer avec force" la vaccination systématique contre l'hépatite B de tous les enfants, dès l'âge de 2 mois et avant 13 ans. Le schéma vaccinal "préférentiel" est en trois injections avec un intervalle d'au moins un mois entre la première et la deuxième, et de cinq à douze mois entre la deuxième et la troisième. Infections à rotavirus : depuis l'hiver dernier deux vaccins (Rotarix et Rotateq) sont disponibles pour protéger les bébés des gastro-entérites aiguës et sévères. Cependant, il faut une prise en charge" rigoureuse des diarrhées des jeunes enfants par le biais d'une "utilisation beaucoup plus large des solutés de réhydratation orale". Rougeole-oreillons-rubéole (ROR) Diphtérie-tétanos-polio (DTP) : la primo-vaccination reste obligatoire à 2, 3 et 4 mois, tout comme les rappels (avant 18 ans pour la diphtérie et jusqu'à 13 ans pour la polio). Le calendrier vaccinal n'est pas immuable. La levée de l'obligation du BCG (vaccin contre la tuberculose). En France, le ministère de la santé, a recommandé récemment la vaccination pour toutes les jeunes filles dès 14 ans contre les in fections à papillomavirus pour les protéger du cancer du col de l'utérus La politique vaccinale évolue rapidement car elle doit s'adapter en permanence aux résultats des nouvelles études, au suivi épidémiologique des maladies, à la vaccino-vigilance et à l'apparition de nouveaux vaccins", selon Christian Perronne, président du comité technique des vaccinations (CTV) à l'occasion de la publication, mardi 24 juillet, dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) du calendrier vaccinal 2007. En Algérie, les enfants ne sont pas vaccinés contre la varicelle et pourtant. "Cela éviterait de déplacer les cas de varicelle vers les populations d'adolescents ou d'adultes susceptibles de faire des formes graves de cette maladie et d'éviter la hausse des cas de zona chez les personnes âgées", selon une étude publiée sur un bulletin épidémiologique 2007. Cependant, il est déconseillé de remplacer le vaccin trivalent rougeole-rubéole-oreillons par le quadrivalent ROR-varicelle. En revanche, les adolescents et les femmes en âge de procréer qui n'ont pas eu la varicelle doivent se faire vacciner avec le vaccin, selon la même étude Infections invasives à pneumocoque : le vaccin antipneumococcique est destiné à prévenir les septicémies et méningites du nourrisson. "Les études récentes ont montré son effet préventif sur les otites moyennes aiguës à pneumocoque de l'enfant et sur les pneumonies des personnes âgées. Ce vaccin est recommandé à l'ensemble des enfants de moins de 2 ans avec trois injections, la première dès 2 mois puis à 12 et 15 mois. Coqueluche : la primo-vaccination doit se faire à 2, 3, et 4 mois et le rappel à 16-18 mois. "Compte tenu d'une recrudescence de cas de coqueluche chez de très jeunes nourrissons", il est recommandé d'effectuer un rappel coquelucheux chez les adultes susceptibles de devenir parents. Hépatite B : les autorités sanitaires estiment nécessaire de "relancer avec force" la vaccination systématique contre l'hépatite B de tous les enfants, dès l'âge de 2 mois et avant 13 ans. Le schéma vaccinal "préférentiel" est en trois injections avec un intervalle d'au moins un mois entre la première et la deuxième, et de cinq à douze mois entre la deuxième et la troisième. Infections à rotavirus : depuis l'hiver dernier deux vaccins (Rotarix et Rotateq) sont disponibles pour protéger les bébés des gastro-entérites aiguës et sévères. Cependant, il faut une prise en charge" rigoureuse des diarrhées des jeunes enfants par le biais d'une "utilisation beaucoup plus large des solutés de réhydratation orale". Rougeole-oreillons-rubéole (ROR) Diphtérie-tétanos-polio (DTP) : la primo-vaccination reste obligatoire à 2, 3 et 4 mois, tout comme les rappels (avant 18 ans pour la diphtérie et jusqu'à 13 ans pour la polio).