Chakib Khelil a affirmé jeudi dernier que l'Opep est prête à augmenter son offre en brut, si toutefois la demande des pays consommateurs est réelle. «S'il n'y a pas de demande réelle, il n'y a pas de raison d'augmenter l'offre», faisant, ainsi, allusion à la prochaine réunion extraordinaire de l'organisation prévue en février à Vienne. Cela dit, «il n'est pas nécessaire d'augmenter l'offre, car la demande va baisser au deuxième trimestre», ce qui va aider les stocks à se reconstituer à des niveaux raisonnables, a-t-il expliqué. Une autre augmentation de l'offre ne va pas freiner l'envolée des prix, donnant comme preuve, l'augmentation de novembre avec les (500 mille) barils/jour qui n'a pas réussi à faire baisser les prix. Le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, en sa qualité de président de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a affirmé par ailleurs que de la consommation mondiale en pétrole se maintiendra à long terme. Sur la question de la facturation du baril de pétrole, le ministre s'est limité à dire que la «Banque centrale gère assez bien la situation et qu'il n'est pas nécessaire pour l'Algérie de changer de monnaie de facturation de son pétrole, puisque la monnaie de référence du pétrole est le dollar». Evoquant la stratégie de l'Algérie en matière d'hydrocarbures, le ministre a affirmé que Sonatrach va privilégier désormais les partenaires pouvant apporter de la technologie et du savoir-faire en matière de management. Chakib Khelil a affirmé jeudi dernier que l'Opep est prête à augmenter son offre en brut, si toutefois la demande des pays consommateurs est réelle. «S'il n'y a pas de demande réelle, il n'y a pas de raison d'augmenter l'offre», faisant, ainsi, allusion à la prochaine réunion extraordinaire de l'organisation prévue en février à Vienne. Cela dit, «il n'est pas nécessaire d'augmenter l'offre, car la demande va baisser au deuxième trimestre», ce qui va aider les stocks à se reconstituer à des niveaux raisonnables, a-t-il expliqué. Une autre augmentation de l'offre ne va pas freiner l'envolée des prix, donnant comme preuve, l'augmentation de novembre avec les (500 mille) barils/jour qui n'a pas réussi à faire baisser les prix. Le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, en sa qualité de président de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a affirmé par ailleurs que de la consommation mondiale en pétrole se maintiendra à long terme. Sur la question de la facturation du baril de pétrole, le ministre s'est limité à dire que la «Banque centrale gère assez bien la situation et qu'il n'est pas nécessaire pour l'Algérie de changer de monnaie de facturation de son pétrole, puisque la monnaie de référence du pétrole est le dollar». Evoquant la stratégie de l'Algérie en matière d'hydrocarbures, le ministre a affirmé que Sonatrach va privilégier désormais les partenaires pouvant apporter de la technologie et du savoir-faire en matière de management.