Un document ferait état de la présence d'un fichier de 600 djihadistes entrés en Irak. Selon le décompte, 18,8 % des combattants étrangers viennent de Libye, 7,2 % d'Algérie, 6,1 % du Maroc, 5,5 % de Tunisie. Un document ferait état de la présence d'un fichier de 600 djihadistes entrés en Irak. Selon le décompte, 18,8 % des combattants étrangers viennent de Libye, 7,2 % d'Algérie, 6,1 % du Maroc, 5,5 % de Tunisie. Une grossière manipulation voudrait faire accroire que l'Algérie serait un important pourvoyeur en combattants de la nébuleuse Al-Qaïda en Irak. Selon les faits révélés très récemment par l'armée américaine, un fichier informatique concernant Al Qaïda aurait été découvert. Dans ce fichier, on dénombre 600 « djihadistes » étrangers en Irak. Ce document, que les forces américaines ont rendu public et qui aurait été saisi sur un membre d'Al Qaïda ferait état de la présence d'un fichier de 600 djihadistes entrés en Irak à travers la Syrie. Le fichier en question aurait été découvert sur un ordinateur portable saisi dans la localité de Sinjar, près de la frontière syrienne. D'une précision remarquable, le document comporterait, pour chacun des 600 djihadistes, son âge, son identité, le pays d'origine et sa photo. Selon le décompte qui en a été fait par les Américains, 18,8 % des combattants étrangers viennent de Libye, 7,2 % d'Algérie, 6,1 % du Maroc, 5,5 % de Tunisie. A ceux-là s'ajouteraient deux jeunes Français. Bizarrement, ce fichier ne contiendrait aucun nom d'un volontaire venant des monarchies du Golfe ainsi que des autres voisins immédiats de l'Irak. Tout comme d'ailleurs tout ce qui concerne les conditions de recrutement de ces volontaires, on leur itinéraire depuis leur pays d'origine. Paradoxalement, il n'y a aucun Saoudien, ni Jordanien, ni encore Soudanais ou Yéménite sur cette « providentielle » liste.Quelle finesse de la part des USA pour couvrir leurs alliés saoudiens et moyen-orientaux. Rappelons-nous le fameux montage médiatique préparé par les Américains, en montrant Ben Laden désignant de la main les tours jumelles comme cible à a battre, et ce, quelques mois après l'attaque du 11 septembre 2001. Pour les spécialistes de la chose terroriste, il n'y a aucun doute que partout où passe Al-Qaïda, elle s'efforce de laisser des traces indélébiles… empreintes de manipulation. En effet, il est admis par un bon nombre d'observateurs qu'il est stupide, voire « débile » de comparer la nébuleuse terroriste à une administration régissant ses combattants comme une armée régulière. Concernant l'allégation selon laquelle les Algériens constitueraient le gros des troupes d'Al-Qaïda en Irak, l'existence du fait n'excuse point son exagération. Il y a lieu de rappeler, à cet effet, la fameuse lettre authentifiée et publiée par le journal Al-Qods Al-Arabi, qu'Al-Zawahiri avait envoyé à l'émir d'Al-Qaïda en Irak, le Jordanien Al-Zarqaoui, abattu quelque temps après, et dans laquelle il lui recommandait de se méfier des recrues algériennes. De ce fait, ce document sur les étrangers combattant en Irak, que manipule allègrement la chaîne qatarie Al-Jazeera, tente d'accréditer la thèse selon laquelle l'Algérie serait un pays gros pourvoyeur de partisans d'Al-Qaïda dans ce pays en proie à la violence depuis son invasion par les alliés en mars 2003. La réalité est que le nombre d'Algériens qui se sont fait enrôler dans l'« armée » de Ben Laden en Mésopotamie est infime par rapport aux « contingents » qui affluent des pays alliés stratégiques des USA dans la région, à savoir : l'Arabie saoudite, la Jordanie et l'Egypte. Par ailleurs, les Américains et leurs souteneurs médiatiques seraient-ils amnésiques au point d'oublier que les chefs d'Al-Qaïda, dont les têtes sont d'ailleurs mises à prix par les States, sont le Saoudien Ben Laden, l'Egyptien Al-Zaouahiri, et le Jordanien Al-Zarqaoui. Pour l'histoire, les attaques du 11 septembre 2001 contre le World Trade Center (WTC) et le Pentagone ont été l'œuvre de 19 kamikazes, parmi lesquels il a été dénombré 16 Saoudiens, 2 Jordaniens et leur chef de file, l'Egyptien Mohamed Atta. L'acharnement US en Irak et la tournée des popotes de Georges W. Bush au Khalidj, s'inscrivent en droite ligne de la couverture des ses alliés et de la quête de boucs-émissaires, à l'image de l'Algérie. Une grossière manipulation voudrait faire accroire que l'Algérie serait un important pourvoyeur en combattants de la nébuleuse Al-Qaïda en Irak. Selon les faits révélés très récemment par l'armée américaine, un fichier informatique concernant Al Qaïda aurait été découvert. Dans ce fichier, on dénombre 600 « djihadistes » étrangers en Irak. Ce document, que les forces américaines ont rendu public et qui aurait été saisi sur un membre d'Al Qaïda ferait état de la présence d'un fichier de 600 djihadistes entrés en Irak à travers la Syrie. Le fichier en question aurait été découvert sur un ordinateur portable saisi dans la localité de Sinjar, près de la frontière syrienne. D'une précision remarquable, le document comporterait, pour chacun des 600 djihadistes, son âge, son identité, le pays d'origine et sa photo. Selon le décompte qui en a été fait par les Américains, 18,8 % des combattants étrangers viennent de Libye, 7,2 % d'Algérie, 6,1 % du Maroc, 5,5 % de Tunisie. A ceux-là s'ajouteraient deux jeunes Français. Bizarrement, ce fichier ne contiendrait aucun nom d'un volontaire venant des monarchies du Golfe ainsi que des autres voisins immédiats de l'Irak. Tout comme d'ailleurs tout ce qui concerne les conditions de recrutement de ces volontaires, on leur itinéraire depuis leur pays d'origine. Paradoxalement, il n'y a aucun Saoudien, ni Jordanien, ni encore Soudanais ou Yéménite sur cette « providentielle » liste.Quelle finesse de la part des USA pour couvrir leurs alliés saoudiens et moyen-orientaux. Rappelons-nous le fameux montage médiatique préparé par les Américains, en montrant Ben Laden désignant de la main les tours jumelles comme cible à a battre, et ce, quelques mois après l'attaque du 11 septembre 2001. Pour les spécialistes de la chose terroriste, il n'y a aucun doute que partout où passe Al-Qaïda, elle s'efforce de laisser des traces indélébiles… empreintes de manipulation. En effet, il est admis par un bon nombre d'observateurs qu'il est stupide, voire « débile » de comparer la nébuleuse terroriste à une administration régissant ses combattants comme une armée régulière. Concernant l'allégation selon laquelle les Algériens constitueraient le gros des troupes d'Al-Qaïda en Irak, l'existence du fait n'excuse point son exagération. Il y a lieu de rappeler, à cet effet, la fameuse lettre authentifiée et publiée par le journal Al-Qods Al-Arabi, qu'Al-Zawahiri avait envoyé à l'émir d'Al-Qaïda en Irak, le Jordanien Al-Zarqaoui, abattu quelque temps après, et dans laquelle il lui recommandait de se méfier des recrues algériennes. De ce fait, ce document sur les étrangers combattant en Irak, que manipule allègrement la chaîne qatarie Al-Jazeera, tente d'accréditer la thèse selon laquelle l'Algérie serait un pays gros pourvoyeur de partisans d'Al-Qaïda dans ce pays en proie à la violence depuis son invasion par les alliés en mars 2003. La réalité est que le nombre d'Algériens qui se sont fait enrôler dans l'« armée » de Ben Laden en Mésopotamie est infime par rapport aux « contingents » qui affluent des pays alliés stratégiques des USA dans la région, à savoir : l'Arabie saoudite, la Jordanie et l'Egypte. Par ailleurs, les Américains et leurs souteneurs médiatiques seraient-ils amnésiques au point d'oublier que les chefs d'Al-Qaïda, dont les têtes sont d'ailleurs mises à prix par les States, sont le Saoudien Ben Laden, l'Egyptien Al-Zaouahiri, et le Jordanien Al-Zarqaoui. Pour l'histoire, les attaques du 11 septembre 2001 contre le World Trade Center (WTC) et le Pentagone ont été l'œuvre de 19 kamikazes, parmi lesquels il a été dénombré 16 Saoudiens, 2 Jordaniens et leur chef de file, l'Egyptien Mohamed Atta. L'acharnement US en Irak et la tournée des popotes de Georges W. Bush au Khalidj, s'inscrivent en droite ligne de la couverture des ses alliés et de la quête de boucs-émissaires, à l'image de l'Algérie.