L'agence allemande GTZ, qui supervise un programme d'appui au PME en Algérie, a fait hier, le point de situation avec les patrons de la région sud du pays. Il faut savoir que ce programme qui a débuté en 2007 s'étalera, en principe, sur huit années. L'une des missions premières de ce programme consiste, comme l'a rappelé hier la directrice de l'agence allemande "GTZ" Algérie, MM Ulrike Rosler, «à vulgariser et présenter le programme de développement économique durable, dont l'objectif essentiel est de rendre les PME qualifiées et plus compétitives et performantes à la veille de l'adhésion de l'Algérie à l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC)». Ce programme est scindé en trois phases dont la première s'achèvera en 2009. Celle-ci a déjà coûté 8,7 millions d'Euros, déboursés par le gouvernement allemand. Concrètement, l'expertise de GTZ est destinée à soutenir le programme national de mise à niveau des PME. Le point nodal de cette démarche est tourné vers le renforcement des politiques et stratégies des petites et moyennes entreprises, le développement des services destinés aux PME, l'amélioration de l'accès des PME aux services financiers et le renforcement des capacités des associations professionnelles et organisations patronales, a-t-on expliqué. La journée d'études qui a regroupé l'ensemble des directeurs des PME, les directeurs de chambres de commerce et de l'industrie, les responsables des organisations patronales et associations professionnelles, des chefs d'entreprises et des responsables de banques des wilayas de Ghardaïa, Laghouat, Ouargla, El Oued, Djelfa, Adrar, Illizi a été axé sur le «Développement économique durable». L'occasion pour le représentant du ministère de la PME et de l'artisanat de souligner l'importance de cette rencontre qui s'inscrit dans le cadre du programme national de mise à niveau des PME initié par le gouvernement. Le vœu des autorités centrales consiste à «améliorer la relation de l'environnement immédiat, notamment les institutions financières, par la garantie de crédit au profit des petites et moyennes entreprises». Tout un programme. L'agence allemande GTZ, qui supervise un programme d'appui au PME en Algérie, a fait hier, le point de situation avec les patrons de la région sud du pays. Il faut savoir que ce programme qui a débuté en 2007 s'étalera, en principe, sur huit années. L'une des missions premières de ce programme consiste, comme l'a rappelé hier la directrice de l'agence allemande "GTZ" Algérie, MM Ulrike Rosler, «à vulgariser et présenter le programme de développement économique durable, dont l'objectif essentiel est de rendre les PME qualifiées et plus compétitives et performantes à la veille de l'adhésion de l'Algérie à l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC)». Ce programme est scindé en trois phases dont la première s'achèvera en 2009. Celle-ci a déjà coûté 8,7 millions d'Euros, déboursés par le gouvernement allemand. Concrètement, l'expertise de GTZ est destinée à soutenir le programme national de mise à niveau des PME. Le point nodal de cette démarche est tourné vers le renforcement des politiques et stratégies des petites et moyennes entreprises, le développement des services destinés aux PME, l'amélioration de l'accès des PME aux services financiers et le renforcement des capacités des associations professionnelles et organisations patronales, a-t-on expliqué. La journée d'études qui a regroupé l'ensemble des directeurs des PME, les directeurs de chambres de commerce et de l'industrie, les responsables des organisations patronales et associations professionnelles, des chefs d'entreprises et des responsables de banques des wilayas de Ghardaïa, Laghouat, Ouargla, El Oued, Djelfa, Adrar, Illizi a été axé sur le «Développement économique durable». L'occasion pour le représentant du ministère de la PME et de l'artisanat de souligner l'importance de cette rencontre qui s'inscrit dans le cadre du programme national de mise à niveau des PME initié par le gouvernement. Le vœu des autorités centrales consiste à «améliorer la relation de l'environnement immédiat, notamment les institutions financières, par la garantie de crédit au profit des petites et moyennes entreprises». Tout un programme.