La Banque nationale du Koweït, a affirmé par la voix de son directeur général, son intention d'élargir son réseau à l'international, notamment dans la région du Maghreb et plus spécifiquement en Algérie où elle souhaite explorer les opportunités d'investissement qu'offre son marché de la finance. Déjà présente dans plusieurs pays arabes, notamment au Qatar, en Jordanie et en Egypte, la Banque nationale du Koweït avec ses capacités financières importantes, devrait permettre d'accélérer la réalisation de projets d'investissements des groupes issus de cette région. Il faut dire qu'investir en Algérie est devenu l'objectif des sociétés arabes de renommée régionale et même mondiale. De facto, les secteurs hors hydrocarbures, essentiellement le marché financier, constitutent désormais des pôles d'intérêt pour ces investisseurs. La Banque nationale du Koweït est la seconde banque du Golfe à manifester son intérêt pour le marché algérien, en l'espace de quelques jours seulement. En effet, la banque islamique de Bahrein Gulf Finance House a annoncé, avant-hier, son intention d'investir 3 milliards de dollars pour la création d'une zone de développement économique dans la banlieue d'Alger. Mieux encore, une dizaine de banques étrangères dont des institutions financières arabes parmi les plus renommées sur la scène financière internationale, avaient fait part à la Banque d'Algérie de leur souhait de s'implanter dans notre pays. Cet intérêt s'est confirmé d'avantage avec la visite de plusieurs représentants de banques arabes, dans le cadre des manifestations organisées par l'Algérie afin d'attirer les investisseurs étrangers, notamment le troisième Forum économique en Algérie qui s'est tenu les 20 et 21 janvier dernier. Cette manifestation, rappelons-le, a servi à la concrétisation de plusieurs projets d'investissement arabes en Algérie, notamment dans les domaines du tourisme, l'industrie, la pétrochimie, les infrastructures et l'énergie, outre les secteurs des banques, des assurances et des services, qui ont été au centre des débats lors de cette rencontre. Il est à rappeler, également, que le volume des investissements arabes se situe à hauteur de 35 milliards de dollars dont 10 milliards sont versés dans des projets sur le marché algérien. La Banque nationale du Koweït, a affirmé par la voix de son directeur général, son intention d'élargir son réseau à l'international, notamment dans la région du Maghreb et plus spécifiquement en Algérie où elle souhaite explorer les opportunités d'investissement qu'offre son marché de la finance. Déjà présente dans plusieurs pays arabes, notamment au Qatar, en Jordanie et en Egypte, la Banque nationale du Koweït avec ses capacités financières importantes, devrait permettre d'accélérer la réalisation de projets d'investissements des groupes issus de cette région. Il faut dire qu'investir en Algérie est devenu l'objectif des sociétés arabes de renommée régionale et même mondiale. De facto, les secteurs hors hydrocarbures, essentiellement le marché financier, constitutent désormais des pôles d'intérêt pour ces investisseurs. La Banque nationale du Koweït est la seconde banque du Golfe à manifester son intérêt pour le marché algérien, en l'espace de quelques jours seulement. En effet, la banque islamique de Bahrein Gulf Finance House a annoncé, avant-hier, son intention d'investir 3 milliards de dollars pour la création d'une zone de développement économique dans la banlieue d'Alger. Mieux encore, une dizaine de banques étrangères dont des institutions financières arabes parmi les plus renommées sur la scène financière internationale, avaient fait part à la Banque d'Algérie de leur souhait de s'implanter dans notre pays. Cet intérêt s'est confirmé d'avantage avec la visite de plusieurs représentants de banques arabes, dans le cadre des manifestations organisées par l'Algérie afin d'attirer les investisseurs étrangers, notamment le troisième Forum économique en Algérie qui s'est tenu les 20 et 21 janvier dernier. Cette manifestation, rappelons-le, a servi à la concrétisation de plusieurs projets d'investissement arabes en Algérie, notamment dans les domaines du tourisme, l'industrie, la pétrochimie, les infrastructures et l'énergie, outre les secteurs des banques, des assurances et des services, qui ont été au centre des débats lors de cette rencontre. Il est à rappeler, également, que le volume des investissements arabes se situe à hauteur de 35 milliards de dollars dont 10 milliards sont versés dans des projets sur le marché algérien.