Le Hezbollah a appelé mercredi le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, qui a récemment dénoncé dans un rapport les menaces proférées par le mouvement chiite libanais contre Israël, à être plus objectif et à tenir compte du droit à la «légitime défense». Dans son rapport publié la semaine dernière sur la mise en application de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU qui a mis fin à la guerre de 34 jours au Liban entre le Hezbollah et Israël à l'été 2006, M. Ban s'est déclaré «préoccupé par les menaces de guerre ouverte lancée contre Israël» le 14 février par le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah. Il a estimé qu'il s'agissait d'»une rhétorique qui allait à l'encontre de la résolution 1701 qui vise à obtenir un cessez-le-feu permanent». M. Ban doit «faire preuve de plus d'objectivité et d'impartialité», a réagi le Hezbollah dans un communiqué, estimant que les propos de cheikh Nasrallah avaient été retirés de leur «contexte». «Le chef du Hezbollah s'exprimait dans le cadre du droit du recours à la légitime défense, autorisé par les conventions internationales», selon ce parti chiite, proche de l'Iran et de la Syrie. «Nous sommes soucieux d'éviter toute déstabilisation de la région et partageons les inquiétudes du secrétaire général de l'ONU sur le climat instable dans la région», a assuré le Hezbollah en estimant «nécessaire de ne pas adopter le point de vue d'une seule partie si l'ont veut juger la mise en application correcte des résolutions internationales». Hassan Nasrallah avait appelé à une «guerre ouverte» contre Israël deux jours après l'assassinat d'un chef de la branche armée du parti, Imad Moughnieh, tué le 12 février à Damas dans un attentat non revendiqué, mais attribué par le Hezbollah aux Israéliens. Le Hezbollah a appelé mercredi le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, qui a récemment dénoncé dans un rapport les menaces proférées par le mouvement chiite libanais contre Israël, à être plus objectif et à tenir compte du droit à la «légitime défense». Dans son rapport publié la semaine dernière sur la mise en application de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU qui a mis fin à la guerre de 34 jours au Liban entre le Hezbollah et Israël à l'été 2006, M. Ban s'est déclaré «préoccupé par les menaces de guerre ouverte lancée contre Israël» le 14 février par le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah. Il a estimé qu'il s'agissait d'»une rhétorique qui allait à l'encontre de la résolution 1701 qui vise à obtenir un cessez-le-feu permanent». M. Ban doit «faire preuve de plus d'objectivité et d'impartialité», a réagi le Hezbollah dans un communiqué, estimant que les propos de cheikh Nasrallah avaient été retirés de leur «contexte». «Le chef du Hezbollah s'exprimait dans le cadre du droit du recours à la légitime défense, autorisé par les conventions internationales», selon ce parti chiite, proche de l'Iran et de la Syrie. «Nous sommes soucieux d'éviter toute déstabilisation de la région et partageons les inquiétudes du secrétaire général de l'ONU sur le climat instable dans la région», a assuré le Hezbollah en estimant «nécessaire de ne pas adopter le point de vue d'une seule partie si l'ont veut juger la mise en application correcte des résolutions internationales». Hassan Nasrallah avait appelé à une «guerre ouverte» contre Israël deux jours après l'assassinat d'un chef de la branche armée du parti, Imad Moughnieh, tué le 12 février à Damas dans un attentat non revendiqué, mais attribué par le Hezbollah aux Israéliens.