Benbouzid a, dans une directive, demandé aux directeurs de l'éducation de prendre toutes "les mesures nécessaires" pour ne pas priver les élèves des classes d'examen de certains cours, en raison des absences, parfois prolongées, des enseignants. Benbouzid a, dans une directive, demandé aux directeurs de l'éducation de prendre toutes "les mesures nécessaires" pour ne pas priver les élèves des classes d'examen de certains cours, en raison des absences, parfois prolongées, des enseignants. L'absentéisme commence à irriter sérieusement le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid. Cette fois-ci, ce sont les enseignants qui sont rappelés à l'ordre. En effet, Boubekeur Benbouzid a, dans une directive, demandé aux directeurs de l'éducation de prendre toutes "les mesures nécessaires" pour ne pas priver les élèves des classes d'examen, de certains cours, en raison des absences, parfois prolongées, des enseignants. M. Benbouzid a affirmé que ces absences sont "totalement inacceptables", assurant au passage que "le ministère de l'Education nationale a mis en place un dispositif humain et matériel pour prendre en charge ces élèves et leur permettre de suivre leur scolarité dans les meilleures conditions". Dans la même directive, le ministre a exigé des directeurs de l'éducation de "veiller à l'assiduité et à la présence des enseignants dans leurs classes et de prendre les dispositions adéquates conjointement avec les directeurs d'établissement, pour assurer la continuité des cours en évitant de recourir à des remplaçants, sauf en cas de nécessité extrême". Sur ce point, Boubekeur Benbouzid s'est montré encore plus intransigeant en appelant solennellement les inspecteurs de l'éducation nationale à effectuer des inspections régulières et à veiller à l'application des programmes conformément au calendrier arrêté. Il faut dire, à ce sujet, qu'au niveau du ministère de l'Education nationale, on s'inquiète sérieusement des retards que peuvent occasionner les différents mouvements de grève enclenchés par les enseignants, surtout lorsqu'on sait que le dernier mouvement contestataire des lycéens qui a touché, rappelons-le, l'ensemble des établissements secondaires du pays, a sérieusement mis à mal le calendrier du suivi du programme scolaire. De leur côté, les parents d'élèves ne cachent pas, non plus, leur angoisse face à cette situation même si Benbouzid leur a assuré, à maintes reprises, qu'à la fin de ce mois, son département connaîtra déjà les chapitres des programmes qui seront pris en considération dans l'élaboration des sujets du Bac. Dans ce sens, la directive communiquée par Benbouzid à tous les directeurs de l'éducation, souligne l'importance du suivi et du soutien des élèves des classes d'examen, notamment, ceux de terminale. A ce propos, Boubekeur Benbouzid les tient pour responsables, pour tout manquement en la matière. L'absentéisme commence à irriter sérieusement le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid. Cette fois-ci, ce sont les enseignants qui sont rappelés à l'ordre. En effet, Boubekeur Benbouzid a, dans une directive, demandé aux directeurs de l'éducation de prendre toutes "les mesures nécessaires" pour ne pas priver les élèves des classes d'examen, de certains cours, en raison des absences, parfois prolongées, des enseignants. M. Benbouzid a affirmé que ces absences sont "totalement inacceptables", assurant au passage que "le ministère de l'Education nationale a mis en place un dispositif humain et matériel pour prendre en charge ces élèves et leur permettre de suivre leur scolarité dans les meilleures conditions". Dans la même directive, le ministre a exigé des directeurs de l'éducation de "veiller à l'assiduité et à la présence des enseignants dans leurs classes et de prendre les dispositions adéquates conjointement avec les directeurs d'établissement, pour assurer la continuité des cours en évitant de recourir à des remplaçants, sauf en cas de nécessité extrême". Sur ce point, Boubekeur Benbouzid s'est montré encore plus intransigeant en appelant solennellement les inspecteurs de l'éducation nationale à effectuer des inspections régulières et à veiller à l'application des programmes conformément au calendrier arrêté. Il faut dire, à ce sujet, qu'au niveau du ministère de l'Education nationale, on s'inquiète sérieusement des retards que peuvent occasionner les différents mouvements de grève enclenchés par les enseignants, surtout lorsqu'on sait que le dernier mouvement contestataire des lycéens qui a touché, rappelons-le, l'ensemble des établissements secondaires du pays, a sérieusement mis à mal le calendrier du suivi du programme scolaire. De leur côté, les parents d'élèves ne cachent pas, non plus, leur angoisse face à cette situation même si Benbouzid leur a assuré, à maintes reprises, qu'à la fin de ce mois, son département connaîtra déjà les chapitres des programmes qui seront pris en considération dans l'élaboration des sujets du Bac. Dans ce sens, la directive communiquée par Benbouzid à tous les directeurs de l'éducation, souligne l'importance du suivi et du soutien des élèves des classes d'examen, notamment, ceux de terminale. A ce propos, Boubekeur Benbouzid les tient pour responsables, pour tout manquement en la matière.