«146 entreprises ont été acceptées et les dossiers des 62 restantes, sont actuellement, en cours d'analyse», a tenu à préciser M. Moussaoui DG de l'Agence nationale de développement de la PME. «146 entreprises ont été acceptées et les dossiers des 62 restantes, sont actuellement, en cours d'analyse», a tenu à préciser M. Moussaoui DG de l'Agence nationale de développement de la PME. La mise à niveau, définie comme un processus continu d'apprentissage, de réflexion, d'information et d'acculturation en vue d'acquérir des attitudes nouvelles et des méthodes de management dynamiques et innovantes, semble connaître un fort dynamisme au niveau du ministère de la PME et de l'Artisanat. En effet, le Directeur-général de l'Agence nationale de développement de la PME (ANDPME), M. Rachid Moussaoui, a affirmé, hier, au Forum d'El Moudjahid, qu'au cours de l'année 2007, 208 PME, activant dans divers secteurs, ont déposé leurs dossiers d'adhésion au Programme national de mise à niveau des petites et moyennes entreprises. Parmi ces PME, «146 entreprises ont été acceptées et les dossiers des 62 restantes sont actuellement en cours d'analyse», a tenu à préciser M. Moussaoui. La petite et moyenne entreprise, considérée comme source de vitalité et de souplesse, nécessite un appui et un accompagnement pour le renforcement de ses capacités managériales, techniques et technologiques. C'est justement l'objectif escompté du lancement de ce programme qui se définit comme un ensemble de mesures contribuant au renforcement de la compétitivité des entreprises dans le but d'une accélération de la croissance et une création d'emplois, a affirmé M. Moussaoui. Les PME en Algérie se trouvent confrontées à de nombreuses difficultés, notamment dans la maîtrise des méthodes modernes de managements, la connaissance des marchés et le faible recours au conseil et à l'expertise. Cette situation a rendu ces entreprises vulnérables au moindre changement intervenant sur la conjoncture économique et sociale du pays d'où l'intérêt de la mise en œuvre d'un processus d'accompagnement sous forme de service de conseil, d'expertises et de formation qui s'avère, plus que jamais, indispensable pour préserver la pérennité de nos entreprises, a indiqué M. Moussaoui en ajoutant qu'actuellement, le taux de croissance des PME enregistré en Algérie est estimé à 10% qui est «un taux plus au moins satisfaisant», affirme-t-il. Au titre des statistiques, il serait utile de rappeler qu'il existe à la fin de l'année 2007 plus de 396.972 petites et moyennes entreprises à travers le territoire national, employant un effectif de près de 1,2 million de personnes. Le nombre des PME privées a atteint, à cette date, 284.244 entreprises soit 71,61% de l'ensemble des PME. Les PME étatiques sont de l'ordre de 711 entreprises soit 0,19%, et enfin le nombre de PME artisanales a été estimé à 112.017 soit 28,19% de l'ensemble des PME recensées à la fin de l'année précédente. Selon leurs secteurs d'activités, ces PME sont réparties comme suit : 90.702 PME soit 33,62% activent dans le BTP, 46.461 (17,22%) dans le commerce, 16.320 (6,06%) dans l'hôtellerie et la restauration, 15.270 dans les produits alimentaires et enfin 33.572 dans les services. Par ailleurs, au sujet de la création d'une banque pour le financement des PME, M. Moussaoui a affirmé que ce qui manque réellement pour inciter les banques à participer davantage dans le processus de financement des PME, c'est l'existence d'intermédiaires entre banques et PME afin d'améliorer les relations entres les deux parties. Dans ce contexte, le responsable a suggéré la création d'un groupe de travail qui jouera ce rôle d'intermédiation. La mise à niveau, définie comme un processus continu d'apprentissage, de réflexion, d'information et d'acculturation en vue d'acquérir des attitudes nouvelles et des méthodes de management dynamiques et innovantes, semble connaître un fort dynamisme au niveau du ministère de la PME et de l'Artisanat. En effet, le Directeur-général de l'Agence nationale de développement de la PME (ANDPME), M. Rachid Moussaoui, a affirmé, hier, au Forum d'El Moudjahid, qu'au cours de l'année 2007, 208 PME, activant dans divers secteurs, ont déposé leurs dossiers d'adhésion au Programme national de mise à niveau des petites et moyennes entreprises. Parmi ces PME, «146 entreprises ont été acceptées et les dossiers des 62 restantes sont actuellement en cours d'analyse», a tenu à préciser M. Moussaoui. La petite et moyenne entreprise, considérée comme source de vitalité et de souplesse, nécessite un appui et un accompagnement pour le renforcement de ses capacités managériales, techniques et technologiques. C'est justement l'objectif escompté du lancement de ce programme qui se définit comme un ensemble de mesures contribuant au renforcement de la compétitivité des entreprises dans le but d'une accélération de la croissance et une création d'emplois, a affirmé M. Moussaoui. Les PME en Algérie se trouvent confrontées à de nombreuses difficultés, notamment dans la maîtrise des méthodes modernes de managements, la connaissance des marchés et le faible recours au conseil et à l'expertise. Cette situation a rendu ces entreprises vulnérables au moindre changement intervenant sur la conjoncture économique et sociale du pays d'où l'intérêt de la mise en œuvre d'un processus d'accompagnement sous forme de service de conseil, d'expertises et de formation qui s'avère, plus que jamais, indispensable pour préserver la pérennité de nos entreprises, a indiqué M. Moussaoui en ajoutant qu'actuellement, le taux de croissance des PME enregistré en Algérie est estimé à 10% qui est «un taux plus au moins satisfaisant», affirme-t-il. Au titre des statistiques, il serait utile de rappeler qu'il existe à la fin de l'année 2007 plus de 396.972 petites et moyennes entreprises à travers le territoire national, employant un effectif de près de 1,2 million de personnes. Le nombre des PME privées a atteint, à cette date, 284.244 entreprises soit 71,61% de l'ensemble des PME. Les PME étatiques sont de l'ordre de 711 entreprises soit 0,19%, et enfin le nombre de PME artisanales a été estimé à 112.017 soit 28,19% de l'ensemble des PME recensées à la fin de l'année précédente. Selon leurs secteurs d'activités, ces PME sont réparties comme suit : 90.702 PME soit 33,62% activent dans le BTP, 46.461 (17,22%) dans le commerce, 16.320 (6,06%) dans l'hôtellerie et la restauration, 15.270 dans les produits alimentaires et enfin 33.572 dans les services. Par ailleurs, au sujet de la création d'une banque pour le financement des PME, M. Moussaoui a affirmé que ce qui manque réellement pour inciter les banques à participer davantage dans le processus de financement des PME, c'est l'existence d'intermédiaires entre banques et PME afin d'améliorer les relations entres les deux parties. Dans ce contexte, le responsable a suggéré la création d'un groupe de travail qui jouera ce rôle d'intermédiation.