Pour arriver à un enseignement de qualité, le nombre d'enseignants nécessaires à l'encadrement de 1.200.000 étudiants devra être, d'ici à l'année 2013, de l'ordre de 57.000. Parmi eux 15.000 professeurs et maîtres de conférence, à raison d'un taux d'encadrement d'un enseignant de rang magistral pour 80 étudiants. Cette projection a été faite hier à Alger par les participants au Colloque international sur l'assurance-qualité dans l'enseignement supérieur. Pour cela, le département de Harraoubia investira dans la post-graduation en tentant de cumuler un effectif de 23.500 nouveaux diplômés pour consolider le corps enseignant. Les participants ont toutefoisqu'il se fera sentir un besoin de 12.000 enseignants qu'il s'agira de couvrir par "d'autres moyens complémentaires". Par exemple faire appel aux enseignants et chercheurs algériens installés à l'étranger ou aux cadres des secteurs non académiques qui peuvent intervenir pour l'encadrement de travaux dirigés ou pratiques, des séminaires et stages en milieu professionnel. Il est à noter que les besoins en 2010 s'élèveraient à environ 26.000 nouveaux enseignants qui viendront s'ajouter aux effectifs actuels, abstraction faite des enseignants qui d'ici à cette date seraient admis à la retraite. D'ailleurs, pour bien évaluer l'impact des réformes introduites par le système LMD, la tutelle compte organiser, en octobre prochain, une réflexion globale sur la portée stratégique des ressources humaines dans la formation supérieure et la recherche scientifique. Pour ce qui est de la coopération étrangère, le ministère de l'Enseignement supérieur travaille déjà sur la création d'écoles doctorales mixtes visant à "renforcer le niveau qualitatif et le degré d'efficacité de la formation post-graduée", ainsi que des universités mixtes intégrées de formation et de recherche. Il agit aussi dans le cadre des programmes "Tempus IV" et "Erasmus Mundus" avec l'Union européenne pour la dynamisation des stages de perfectionnement et de finalisation des thèses dans les universités étrangères considérées comme des partenaires "à part entière". D'autres intervenants ont précisé que les diplômés de l'université algérienne "devront pouvoir satisfaire aux mêmes critères de certification que ceux exigés dans les universités les plus avancées du monde". Pour arriver à un enseignement de qualité, le nombre d'enseignants nécessaires à l'encadrement de 1.200.000 étudiants devra être, d'ici à l'année 2013, de l'ordre de 57.000. Parmi eux 15.000 professeurs et maîtres de conférence, à raison d'un taux d'encadrement d'un enseignant de rang magistral pour 80 étudiants. Cette projection a été faite hier à Alger par les participants au Colloque international sur l'assurance-qualité dans l'enseignement supérieur. Pour cela, le département de Harraoubia investira dans la post-graduation en tentant de cumuler un effectif de 23.500 nouveaux diplômés pour consolider le corps enseignant. Les participants ont toutefoisqu'il se fera sentir un besoin de 12.000 enseignants qu'il s'agira de couvrir par "d'autres moyens complémentaires". Par exemple faire appel aux enseignants et chercheurs algériens installés à l'étranger ou aux cadres des secteurs non académiques qui peuvent intervenir pour l'encadrement de travaux dirigés ou pratiques, des séminaires et stages en milieu professionnel. Il est à noter que les besoins en 2010 s'élèveraient à environ 26.000 nouveaux enseignants qui viendront s'ajouter aux effectifs actuels, abstraction faite des enseignants qui d'ici à cette date seraient admis à la retraite. D'ailleurs, pour bien évaluer l'impact des réformes introduites par le système LMD, la tutelle compte organiser, en octobre prochain, une réflexion globale sur la portée stratégique des ressources humaines dans la formation supérieure et la recherche scientifique. Pour ce qui est de la coopération étrangère, le ministère de l'Enseignement supérieur travaille déjà sur la création d'écoles doctorales mixtes visant à "renforcer le niveau qualitatif et le degré d'efficacité de la formation post-graduée", ainsi que des universités mixtes intégrées de formation et de recherche. Il agit aussi dans le cadre des programmes "Tempus IV" et "Erasmus Mundus" avec l'Union européenne pour la dynamisation des stages de perfectionnement et de finalisation des thèses dans les universités étrangères considérées comme des partenaires "à part entière". D'autres intervenants ont précisé que les diplômés de l'université algérienne "devront pouvoir satisfaire aux mêmes critères de certification que ceux exigés dans les universités les plus avancées du monde".