D'emblée, Robert S. Ford a exprimé sa «tristesse de quitter l'Algérie» où il compte plusieurs amis et regrette qu'il n'ait pu mettre en pratique de nombreux programmes. D'emblée, Robert S. Ford a exprimé sa «tristesse de quitter l'Algérie» où il compte plusieurs amis et regrette qu'il n'ait pu mettre en pratique de nombreux programmes. Pour sa dernière sortie devant les médias, l'ambassadeur des Etats-Unis à Alger, Robert S. Ford a animé, hier, un point de presse au siège de la représentation diplomatique US à Alger. Relations algéro-américaines, le projet du nucléaire civil, le problème du Sahara Occidental, l'Union pour la Méditerranée, les détenus algériens de Guatanamo, l'Africom, ont été les principaux points sur lesquels le diplomate US a développé son analyse. D'emblée Robert Ford a exprimé sa «tristesse de quitter l'Algérie» où il compte de nombreux amis et regrette qu'il n'ait pu mettre en pratique de nombreux programmes. Toutefois il exprime sa satisfaction du développement exemplaire des relations algéro-américaines dans tous les domaines, soulignant qu'il appartient aux algériens eux-mêmes de décider du « rythme et de la cadence de l'ouverture sur les plans politique, économique et social ». Il nuancera ses propos, un peu plus loin en affirmant que sur le plan politique « la question reste posée ». Questionné sur le récent accord entre l'Algérie et la France sur le nucléaire civil, le diplomate Us a rappelé que son gouvernement a signé, il y a un an, avec le gouvernement algérien un accord de coopération dans ce domaine, précisant que sur ce volet «il n'y a pas de concurrence entre les Etats-Unis et la France». Sur le sujet de l'Africom, Robert S. Ford a indiqué que ce projet « n'est pas mort », et que son gouvernement « travaille dessus », soulignant que son pays « ne cherche pas à déployer des forces américaines sur le Continent africain », mais qu'il cherche « à aider et à renforcer les capacités des africains à sécuriser leurs frontières ». Pragmatisme, est le mot sur lequel il s'est basé pour développer son argumentaire concernant le problème du Sahara Occidental. «Il faut être pragmatique pour aller de l'avant dans ce dossier qui dure depuis plus de trente ans», a-t-il déclaré, rappelant que les «USA encouragent les discussions directes entre le Front Polisario et le Maroc sous l'égide des Nations Unies». A propos des détenus algériens de Guatanamo, le représentant US à Alger a indiqué que son gouvernement a demandé des éclaircissements sur certains points aux autorités algériens qui ont répondu. Il pense qu'il est probable que ces détenus reviennent en Algérie. Sur le projet de l'UPM (Union pour la Méditerranée), Robert Ford, fait remarquer que «cette initiative ne concerne pas directement les Etats-Unis», souhaitant pour les pays amis «paix et prospérité». Pour sa dernière sortie devant les médias, l'ambassadeur des Etats-Unis à Alger, Robert S. Ford a animé, hier, un point de presse au siège de la représentation diplomatique US à Alger. Relations algéro-américaines, le projet du nucléaire civil, le problème du Sahara Occidental, l'Union pour la Méditerranée, les détenus algériens de Guatanamo, l'Africom, ont été les principaux points sur lesquels le diplomate US a développé son analyse. D'emblée Robert Ford a exprimé sa «tristesse de quitter l'Algérie» où il compte de nombreux amis et regrette qu'il n'ait pu mettre en pratique de nombreux programmes. Toutefois il exprime sa satisfaction du développement exemplaire des relations algéro-américaines dans tous les domaines, soulignant qu'il appartient aux algériens eux-mêmes de décider du « rythme et de la cadence de l'ouverture sur les plans politique, économique et social ». Il nuancera ses propos, un peu plus loin en affirmant que sur le plan politique « la question reste posée ». Questionné sur le récent accord entre l'Algérie et la France sur le nucléaire civil, le diplomate Us a rappelé que son gouvernement a signé, il y a un an, avec le gouvernement algérien un accord de coopération dans ce domaine, précisant que sur ce volet «il n'y a pas de concurrence entre les Etats-Unis et la France». Sur le sujet de l'Africom, Robert S. Ford a indiqué que ce projet « n'est pas mort », et que son gouvernement « travaille dessus », soulignant que son pays « ne cherche pas à déployer des forces américaines sur le Continent africain », mais qu'il cherche « à aider et à renforcer les capacités des africains à sécuriser leurs frontières ». Pragmatisme, est le mot sur lequel il s'est basé pour développer son argumentaire concernant le problème du Sahara Occidental. «Il faut être pragmatique pour aller de l'avant dans ce dossier qui dure depuis plus de trente ans», a-t-il déclaré, rappelant que les «USA encouragent les discussions directes entre le Front Polisario et le Maroc sous l'égide des Nations Unies». A propos des détenus algériens de Guatanamo, le représentant US à Alger a indiqué que son gouvernement a demandé des éclaircissements sur certains points aux autorités algériens qui ont répondu. Il pense qu'il est probable que ces détenus reviennent en Algérie. Sur le projet de l'UPM (Union pour la Méditerranée), Robert Ford, fait remarquer que «cette initiative ne concerne pas directement les Etats-Unis», souhaitant pour les pays amis «paix et prospérité».