Le Soudan a rompu ses relations avec le Tchad, accusant son voisin d'avoir soutenu l'attaque d'un groupe rebelle du Darfour contre Khartoum, en mai dernier. Le Soudan a rompu ses relations avec le Tchad, accusant son voisin d'avoir soutenu l'attaque d'un groupe rebelle du Darfour contre Khartoum, en mai dernier. Le Soudan a accepté de rétablir ses relations diplomatiques avec le Tchad rompues depuis mai dernier et N'Djamena a pris acte de cette volonté, au terme d'une réunion du Groupe de contact dont les travaux se sont achevés dans la nuit de jeudi à hier à Dakar. «Le président soudanais, M. Omar al-Bachir accepte la reprise des relations entre Tchad et le Soudan», lit-on dans un communiqué de presse rendu public au terme d'une réunion du Groupe de contact chargé de la mise en oeuvre de accords de paix signés entre les deux pays. Le même texte qui a couronné la réunion consacrée à l'examen et à l'adoption des conclusions de la 2ème réunion des experts militaires a ajouté que «le Tchad qui a été informé de cette nouvelle, en a pris acte». Le Soudan a rompu ses relations avec le Tchad, accusant son voisin d'avoir soutenu l'attaque d'un groupe rebelle du Darfour contre Khartoum, en mai dernier, rappelle-t-on. De son côté le Tchad avait décidé la fermeture de sa frontière avec ce pays. Lors de la réunion de Dakar consacrée à l'examen de la mise en place de la force de paix et de sécurité à la frontière entre les deux pays, le Tchad et le Soudan ont été appelés à rétablir, «sans délai et sans condition», leurs relations diplomatiques afin de «franchir l'étape supplémentaire dans le sens de la restauration de la paix et d'une stabilité durables». En outre, la réunion qui a entériné les conclusions des experts militaires, notamment le document intitulé «mémoire de propositions, relatifs à la mise en oeuvre de la Force de paix et de sécurité à la frontière entre les deux pays», a également adopté le projet de budget qui s'élève pour l'instant à 30.595.000 dollars. Pour ce qui est de la prochaine réunion du Groupe de contact, précise le communiqué, elle se tiendra dès que les conditions le permettront au Tchad ou au Soudan, à l'effet de «poursuivre les efforts pour parvenir à une solution définitive au différend qui oppose les deux pays». Le Groupe de contact avait affirmé que l'application «intégrale et de bonne foi» des engagements pris par le Tchad et le Soudan, notamment la mise en place de la force de paix et de sécurité à la frontière, requiert «la restauration d'un climat de confiance, l'interdiction, par les deux Etats, aux mouvements rebelles de faire de leurs territoires respectifs des bases arrières et surtout l'arrêt de toute surenchère médiatique». Le Groupe de contact issu de l'accord de Dakar signé en mars dernier entre le Tchad et le Soudan comprend deux pays facilitateurs (le Sénégal et le Gabon), deux pays médiateurs officiels de l'Union africaine (le Congo et la Libye), les deux pays belligérants (le Tchad et le Soudan), l'Erythrée ayant abrité l'un des accords signés entre les deux pays. Siègent également, comme observateurs, au sein de ce Groupe, l'Union africaine (UA), l'Organisation de la conférence islamique (OCI), l'Union européenne (UE), l'Organisation des Nations unies (ONU), les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC) et la Communauté des Etats sahélo-sahariens (CEN-SAD). Le Soudan a accepté de rétablir ses relations diplomatiques avec le Tchad rompues depuis mai dernier et N'Djamena a pris acte de cette volonté, au terme d'une réunion du Groupe de contact dont les travaux se sont achevés dans la nuit de jeudi à hier à Dakar. «Le président soudanais, M. Omar al-Bachir accepte la reprise des relations entre Tchad et le Soudan», lit-on dans un communiqué de presse rendu public au terme d'une réunion du Groupe de contact chargé de la mise en oeuvre de accords de paix signés entre les deux pays. Le même texte qui a couronné la réunion consacrée à l'examen et à l'adoption des conclusions de la 2ème réunion des experts militaires a ajouté que «le Tchad qui a été informé de cette nouvelle, en a pris acte». Le Soudan a rompu ses relations avec le Tchad, accusant son voisin d'avoir soutenu l'attaque d'un groupe rebelle du Darfour contre Khartoum, en mai dernier, rappelle-t-on. De son côté le Tchad avait décidé la fermeture de sa frontière avec ce pays. Lors de la réunion de Dakar consacrée à l'examen de la mise en place de la force de paix et de sécurité à la frontière entre les deux pays, le Tchad et le Soudan ont été appelés à rétablir, «sans délai et sans condition», leurs relations diplomatiques afin de «franchir l'étape supplémentaire dans le sens de la restauration de la paix et d'une stabilité durables». En outre, la réunion qui a entériné les conclusions des experts militaires, notamment le document intitulé «mémoire de propositions, relatifs à la mise en oeuvre de la Force de paix et de sécurité à la frontière entre les deux pays», a également adopté le projet de budget qui s'élève pour l'instant à 30.595.000 dollars. Pour ce qui est de la prochaine réunion du Groupe de contact, précise le communiqué, elle se tiendra dès que les conditions le permettront au Tchad ou au Soudan, à l'effet de «poursuivre les efforts pour parvenir à une solution définitive au différend qui oppose les deux pays». Le Groupe de contact avait affirmé que l'application «intégrale et de bonne foi» des engagements pris par le Tchad et le Soudan, notamment la mise en place de la force de paix et de sécurité à la frontière, requiert «la restauration d'un climat de confiance, l'interdiction, par les deux Etats, aux mouvements rebelles de faire de leurs territoires respectifs des bases arrières et surtout l'arrêt de toute surenchère médiatique». Le Groupe de contact issu de l'accord de Dakar signé en mars dernier entre le Tchad et le Soudan comprend deux pays facilitateurs (le Sénégal et le Gabon), deux pays médiateurs officiels de l'Union africaine (le Congo et la Libye), les deux pays belligérants (le Tchad et le Soudan), l'Erythrée ayant abrité l'un des accords signés entre les deux pays. Siègent également, comme observateurs, au sein de ce Groupe, l'Union africaine (UA), l'Organisation de la conférence islamique (OCI), l'Union européenne (UE), l'Organisation des Nations unies (ONU), les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC) et la Communauté des Etats sahélo-sahariens (CEN-SAD).