Cela fait sept ans que le terrorisme a frappé le cœur des Etat-Unis d'Amérique. La date du onze septembre 2001 a marqué un tournant dans les relations internationales, notamment dans la politique de la lutte antiterroriste mondiale, caractérisée par une lutte sans merci contre tous les foyers suspects. Les bombardements des deux tours du World Trade Center perpétrés par El-Qaida, ont marqué de leur empreinte l'histoire qui retiendra toujours cette spectaculaire explosion. Cependant, si les Etats-Unis de Georges Bush a depuis redoublé de vigilance et de combat contre l'hydre terroriste, la nébuleuse d'El-Qaida, elle, a changé de stratégie et de mode opératoire dans l'exécution de ses forfaits. En Algérie comme ailleurs dans plusieurs pays, le Pakistan et l'Afghanistan notamment, les hordes criminelles de Ben Laden recourent à des attentats kamikazes, qui représentent un réel casse-tête pour les corps de sécurité. En plus, les groupes terroristes qui écument les maquis ont fait preuve depuis les fameux attentats du 11 septembre, d'une organisation presque infaillible, mettant le monde entier en haleine les premières années qui suivront cette date. C'est ainsi qu'El-Qaida avait frappé consécutivement à Madrid (Espagne) en 2004 et à Londres (Angleterre) en 2005, tous deux un onze du mois, ce qui avait mis toute l'Europe en émoi et stupeur, devant l'ampleur des dégâts et l'imminence d'autres attaques terroristes. L'Algérie n'est pas restée en reste de cette nouvelle dynamique d'El-Qaida. Le 11 avril 2007, un attentat kamikaze frappa de plein fouet le Palais du gouvernement, simultanément avec un autre à Bab Ezzouar, et puis le 11 décembre de la même année, deux autres attentats kamikazes ciblèrent les sièges du Conseil constitutionnel et celui du Haut commissariat aux réfugiés de Hydra. C'est dire que la hantise du « 11 » a fait également des siennes en Algérie, et ce depuis que le groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) eut déclaré son allégeance, en 2006, à El Quaida. En effet, plusieurs attentats kamikazes avaient également été perpétrés depuis, notamment en cette année 2008, dont les deux derniers aux Issers (Boumerdès) et Bouira ont fait des dizaines de morts et plusieurs blessés. Auparavant, c'était le commissariat de la ville de Tizi-Ouzou et des convois militaires à la région de Lakhdaria, qui ont payé les frais de ces opérations criminelles. Toutefois, il convient de signaler que sept années après les fameux attentats de Manhattan (Etats-Unis), le terrorisme n'a pas cessé et sa force de nuisance est restée intacte, pour ne pas dire s'est accentuée davantage, notamment au Moyen-Orient, en Irak et en Palestine surtout. Néanmoins, la lutte antiterroriste s'est renforcée depuis le 11 septembre 2001, après le changement de cap effectué par les Etats-Unis, meurtris après avoir senti toute la nuisance des groupes terroristes d'El-Qaida. Cela fait sept ans que le terrorisme a frappé le cœur des Etat-Unis d'Amérique. La date du onze septembre 2001 a marqué un tournant dans les relations internationales, notamment dans la politique de la lutte antiterroriste mondiale, caractérisée par une lutte sans merci contre tous les foyers suspects. Les bombardements des deux tours du World Trade Center perpétrés par El-Qaida, ont marqué de leur empreinte l'histoire qui retiendra toujours cette spectaculaire explosion. Cependant, si les Etats-Unis de Georges Bush a depuis redoublé de vigilance et de combat contre l'hydre terroriste, la nébuleuse d'El-Qaida, elle, a changé de stratégie et de mode opératoire dans l'exécution de ses forfaits. En Algérie comme ailleurs dans plusieurs pays, le Pakistan et l'Afghanistan notamment, les hordes criminelles de Ben Laden recourent à des attentats kamikazes, qui représentent un réel casse-tête pour les corps de sécurité. En plus, les groupes terroristes qui écument les maquis ont fait preuve depuis les fameux attentats du 11 septembre, d'une organisation presque infaillible, mettant le monde entier en haleine les premières années qui suivront cette date. C'est ainsi qu'El-Qaida avait frappé consécutivement à Madrid (Espagne) en 2004 et à Londres (Angleterre) en 2005, tous deux un onze du mois, ce qui avait mis toute l'Europe en émoi et stupeur, devant l'ampleur des dégâts et l'imminence d'autres attaques terroristes. L'Algérie n'est pas restée en reste de cette nouvelle dynamique d'El-Qaida. Le 11 avril 2007, un attentat kamikaze frappa de plein fouet le Palais du gouvernement, simultanément avec un autre à Bab Ezzouar, et puis le 11 décembre de la même année, deux autres attentats kamikazes ciblèrent les sièges du Conseil constitutionnel et celui du Haut commissariat aux réfugiés de Hydra. C'est dire que la hantise du « 11 » a fait également des siennes en Algérie, et ce depuis que le groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) eut déclaré son allégeance, en 2006, à El Quaida. En effet, plusieurs attentats kamikazes avaient également été perpétrés depuis, notamment en cette année 2008, dont les deux derniers aux Issers (Boumerdès) et Bouira ont fait des dizaines de morts et plusieurs blessés. Auparavant, c'était le commissariat de la ville de Tizi-Ouzou et des convois militaires à la région de Lakhdaria, qui ont payé les frais de ces opérations criminelles. Toutefois, il convient de signaler que sept années après les fameux attentats de Manhattan (Etats-Unis), le terrorisme n'a pas cessé et sa force de nuisance est restée intacte, pour ne pas dire s'est accentuée davantage, notamment au Moyen-Orient, en Irak et en Palestine surtout. Néanmoins, la lutte antiterroriste s'est renforcée depuis le 11 septembre 2001, après le changement de cap effectué par les Etats-Unis, meurtris après avoir senti toute la nuisance des groupes terroristes d'El-Qaida.