Le Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP), après avoir bouclé un mois de grève, a décidé de geler sa grève momentanément. Une décision prise lundi dernier suite au vote des membres du Conseil national du syndicat. Un vote serré du fait que les résultats font ressortir 31 voix pour le gel de la grève et 23 pour son maintien. La décision du gel de ce débrayage est motivée, selon les membres du bureau national du SNPSP, par les élections présidentielles. « Nous ne voulons pas influer sur les cours des élections » a souligné un membre du bureau national du syndicat. Au fait, le gel de ce débrayage se veut être une réponse au Dr. Saïd Barkat, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière qui avait qualifié ce mouvement de contestation de « grève politicienne ». Néanmoins, décision est d'ores et déjà prise pour la reprise du mouvement de grève dès le 9 avril, soit au lendemain de la proclamation des résultats des élections présidentielles. Ainsi, les revendications de ce syndicat regroupant les médecins généralistes, spécialistes, pharmaciens et dentistes ne sortiront pas de leur contexte socio-économique. Pour rappel, les patriciens de la santé publique ont enclenché une grève ouverte depuis le 24 février dernier pour faire aboutir leurs revendications qui sont la promulgation du statut particulier de la profession et l'ouverture des négociations pour l'instauration d'un régime indemnitaire. Tout au long de ces semaines, le suivi de la grève n'a pas baissé. Il se situait, selon l'initiateur de cette grève, à 80%. Et ce, malgré les intimidations exercées par les administrations des établissements hospitaliers de proximité et le recours à la justice par le département de Berkat. Ce dernier a saisi la justice en référé et la cour d'Alger a ordonné au syndicat l'arrêt de la grève un jour avant son enclenchement. N'ayant pas reçu de notification écrite de cette décision, les syndicalistes ont décidé de poursuivre leur grève pour répondre au « mépris » affiché par leur tutelle. Le Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP), après avoir bouclé un mois de grève, a décidé de geler sa grève momentanément. Une décision prise lundi dernier suite au vote des membres du Conseil national du syndicat. Un vote serré du fait que les résultats font ressortir 31 voix pour le gel de la grève et 23 pour son maintien. La décision du gel de ce débrayage est motivée, selon les membres du bureau national du SNPSP, par les élections présidentielles. « Nous ne voulons pas influer sur les cours des élections » a souligné un membre du bureau national du syndicat. Au fait, le gel de ce débrayage se veut être une réponse au Dr. Saïd Barkat, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière qui avait qualifié ce mouvement de contestation de « grève politicienne ». Néanmoins, décision est d'ores et déjà prise pour la reprise du mouvement de grève dès le 9 avril, soit au lendemain de la proclamation des résultats des élections présidentielles. Ainsi, les revendications de ce syndicat regroupant les médecins généralistes, spécialistes, pharmaciens et dentistes ne sortiront pas de leur contexte socio-économique. Pour rappel, les patriciens de la santé publique ont enclenché une grève ouverte depuis le 24 février dernier pour faire aboutir leurs revendications qui sont la promulgation du statut particulier de la profession et l'ouverture des négociations pour l'instauration d'un régime indemnitaire. Tout au long de ces semaines, le suivi de la grève n'a pas baissé. Il se situait, selon l'initiateur de cette grève, à 80%. Et ce, malgré les intimidations exercées par les administrations des établissements hospitaliers de proximité et le recours à la justice par le département de Berkat. Ce dernier a saisi la justice en référé et la cour d'Alger a ordonné au syndicat l'arrêt de la grève un jour avant son enclenchement. N'ayant pas reçu de notification écrite de cette décision, les syndicalistes ont décidé de poursuivre leur grève pour répondre au « mépris » affiché par leur tutelle.