Le premier secrétaire national du FFS, Karim Tabbou, rencontrera demain à Paris le président du parti, Hocine Aït Ahmed, en marge de la rencontre que les deux responsables du FFS doivent tenir avec les membres de l'Internationale socialiste. Il sera sûrement question des élections présidentielles et de la campagne nationale de boycott que le FFS vient de lancer à travers des meetings et des affichages sur le territoire national. La campagne de boycott a eu son premier couac, mercredi, lorsque des agents de l'APC du coin sont venus arracher des affiches placardées sur le mur de clôture du siège national du parti à Alger. Le parti de Hocine Aït Ahmed, qui prône le boycott de l'élection présidentielle du 09 avril, dénonce la tentative d'arrachage de ces affiches du parti. Selon le chargé de la communication du FFS, Chakib Sadeg, «des agents de l'APC d'El-Mouradia ont tenté d'enlever les affiches du parti qui appellent les citoyens au boycott». Le responsable du parti s'élève contre cette situation et rappelle que le FFS «est un parti agréé» et souligne que sa formation politique «travaille presque dans la clandestinité face aux pressions et aux intimidations des autorités». A Alger, «nous avons pu déjouer cette tentative», indique-t-il, «mais dans les autres wilayas de l'Algérie profonde, nos militants font face à des actes de terreur», s'insurge-t-il. Toujours est-il que malgré tous ces aléas, le responsable affirme que «toute la machine mise en œuvre par le FFS durant cette campagne électorale fonctionne». Pas plus tard que jeudi dernier, le premier secrétaire national du parti, Karim Tabbou a animé un meeting en plein air à Bouira qui a réuni, selon le chargé de la communication au sein du parti, «plus de 3.000 personnes». Le meeting s'est déroulé normalement sans incident particulier, a tenu à souligner Chakib Sadeg qui relève que «le conseil fédéral qui doit se tenir, aujourd'hui (NDLR, hier) à Tizi-Ouzou, jour de la visite du candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika, est maintenu, nonobstant les interventions des autorités pour l'annuler». Les autres conseil fédéraux des autres wilayas sont prévus, aussi pour le même jour, pour préparer les sorties du premier secrétaire national du parti qui prendra la tête d'une caravane pour sillonner le territoire national. Les femmes militantes du FFS ne sont pas en reste. Elles se sont réunies, jeudi à Alger, dans le cadre du Forum national de débats pour «saluer la résolution de boycott», qu'elles qualifient de «décision révolutionnaire» et appellent «les femmes algériennes à boycotter ce scrutin et à s'engager dans le combat pour le respect intégral du droit». Le premier secrétaire national du FFS, Karim Tabbou, rencontrera demain à Paris le président du parti, Hocine Aït Ahmed, en marge de la rencontre que les deux responsables du FFS doivent tenir avec les membres de l'Internationale socialiste. Il sera sûrement question des élections présidentielles et de la campagne nationale de boycott que le FFS vient de lancer à travers des meetings et des affichages sur le territoire national. La campagne de boycott a eu son premier couac, mercredi, lorsque des agents de l'APC du coin sont venus arracher des affiches placardées sur le mur de clôture du siège national du parti à Alger. Le parti de Hocine Aït Ahmed, qui prône le boycott de l'élection présidentielle du 09 avril, dénonce la tentative d'arrachage de ces affiches du parti. Selon le chargé de la communication du FFS, Chakib Sadeg, «des agents de l'APC d'El-Mouradia ont tenté d'enlever les affiches du parti qui appellent les citoyens au boycott». Le responsable du parti s'élève contre cette situation et rappelle que le FFS «est un parti agréé» et souligne que sa formation politique «travaille presque dans la clandestinité face aux pressions et aux intimidations des autorités». A Alger, «nous avons pu déjouer cette tentative», indique-t-il, «mais dans les autres wilayas de l'Algérie profonde, nos militants font face à des actes de terreur», s'insurge-t-il. Toujours est-il que malgré tous ces aléas, le responsable affirme que «toute la machine mise en œuvre par le FFS durant cette campagne électorale fonctionne». Pas plus tard que jeudi dernier, le premier secrétaire national du parti, Karim Tabbou a animé un meeting en plein air à Bouira qui a réuni, selon le chargé de la communication au sein du parti, «plus de 3.000 personnes». Le meeting s'est déroulé normalement sans incident particulier, a tenu à souligner Chakib Sadeg qui relève que «le conseil fédéral qui doit se tenir, aujourd'hui (NDLR, hier) à Tizi-Ouzou, jour de la visite du candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika, est maintenu, nonobstant les interventions des autorités pour l'annuler». Les autres conseil fédéraux des autres wilayas sont prévus, aussi pour le même jour, pour préparer les sorties du premier secrétaire national du parti qui prendra la tête d'une caravane pour sillonner le territoire national. Les femmes militantes du FFS ne sont pas en reste. Elles se sont réunies, jeudi à Alger, dans le cadre du Forum national de débats pour «saluer la résolution de boycott», qu'elles qualifient de «décision révolutionnaire» et appellent «les femmes algériennes à boycotter ce scrutin et à s'engager dans le combat pour le respect intégral du droit».