Victimes d'invectives et d'agressions à l'intérieur même des campus universitaires de la part d'intrus, plusieurs organisations estudiantines ont tiré la sonnette d'alarme dénonçant les sévices et autres agressions que subissent quotidiennement les étudiants dans ces lieux censés être réservés au savoir, à l'échange de connaissances et à la recherche scientifique. Une situation des plus préoccupantes pour les étudiants qui confirment avoir sollicité l'administration à plusieurs reprises, en vain. Une administration pointée du doigt et accusée d'inertie et parfois de complicité face à ce qui est considéré comme une grave atteinte à la franchise universitaire. Interrogé à ce sujet, un responsable du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique nous répondra clairement que «c'est aux recteurs d'assumer leurs responsabilités». Une situation qui a atteint des degrés alarmants et qui dure depuis des années. Les cas les plus recurrents d'atteinte à la franchise universitaire ont été enregistrés dans l'université de Bouzaréah où un grand nombre de vols et d'agressions à l'arme blanche se sont produits, facilités par l'absence totale de clôture, et ce, depuis 1989, c'est-à-dire depuis la réception des locaux par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Sur ce cas précis, notre interlocuteur nous dira que son département n'a «jamais refusé d'ériger une clôture ou d'octroyer une rallonge budgétaire, surtout en cette période d'aisance financière». Une déclaration pour signifier qu'aucune demande n'a était formulée dans ce sens par l'administration en charge de veiller au bon fonctionnement des université, le rectorat d'Alger en l'occurrence. En ce qui concerne les personnes qui occupent des logements de fonction et qui squattent des salles d'études, dont Midi Libre a évoqué ce sujet dans des éditions précédentes, on saura qu'une procédure en justice est entreprise depuis un certain temps contre ceux qui ont déjà bénéficié de logements sociaux et qui refusent toujours de quitter les lieux. Quant à ceux qui n'ont jamais bénéficié de logements, des mesures sont prises en collaboration avec les services de différentes wilayas pour essayer de les reloger et vider définitivement les campus universitaires . Victimes d'invectives et d'agressions à l'intérieur même des campus universitaires de la part d'intrus, plusieurs organisations estudiantines ont tiré la sonnette d'alarme dénonçant les sévices et autres agressions que subissent quotidiennement les étudiants dans ces lieux censés être réservés au savoir, à l'échange de connaissances et à la recherche scientifique. Une situation des plus préoccupantes pour les étudiants qui confirment avoir sollicité l'administration à plusieurs reprises, en vain. Une administration pointée du doigt et accusée d'inertie et parfois de complicité face à ce qui est considéré comme une grave atteinte à la franchise universitaire. Interrogé à ce sujet, un responsable du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique nous répondra clairement que «c'est aux recteurs d'assumer leurs responsabilités». Une situation qui a atteint des degrés alarmants et qui dure depuis des années. Les cas les plus recurrents d'atteinte à la franchise universitaire ont été enregistrés dans l'université de Bouzaréah où un grand nombre de vols et d'agressions à l'arme blanche se sont produits, facilités par l'absence totale de clôture, et ce, depuis 1989, c'est-à-dire depuis la réception des locaux par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Sur ce cas précis, notre interlocuteur nous dira que son département n'a «jamais refusé d'ériger une clôture ou d'octroyer une rallonge budgétaire, surtout en cette période d'aisance financière». Une déclaration pour signifier qu'aucune demande n'a était formulée dans ce sens par l'administration en charge de veiller au bon fonctionnement des université, le rectorat d'Alger en l'occurrence. En ce qui concerne les personnes qui occupent des logements de fonction et qui squattent des salles d'études, dont Midi Libre a évoqué ce sujet dans des éditions précédentes, on saura qu'une procédure en justice est entreprise depuis un certain temps contre ceux qui ont déjà bénéficié de logements sociaux et qui refusent toujours de quitter les lieux. Quant à ceux qui n'ont jamais bénéficié de logements, des mesures sont prises en collaboration avec les services de différentes wilayas pour essayer de les reloger et vider définitivement les campus universitaires .