Le groupe privé Cevital vient de se lancer dans le domaine des énergies renouvelables par la création de «Cevital Energies Renouvelables ER», a appris Midi Libre de sources sûres. Des métiers nouveaux qui s'insèrent dans la vision internationale du développement durable. Le groupe privé Cevital vient de se lancer dans le domaine des énergies renouvelables par la création de «Cevital Energies Renouvelables ER», a appris Midi Libre de sources sûres. Des métiers nouveaux qui s'insèrent dans la vision internationale du développement durable. Société par actions capitalisée à hauteur de vingt millions de dinars, «Cevital Energies renouvelables ER», a pour objets la production, la distribution et le transport de l'électricité, la fabrication de matériels et équipements liés aux domaines de l'énergie solaire et électrique, la réalisation et conception de composants électroniques destinés à la maintenance industrielle, l'installation de réseaux et de centrales électriques et téléphoniques, l'importation des matériels et produits liés au domaine de l'énergie, l'installation et la réparation de matériels et équipements liés au domaine de l'énergie solaire et électrique ainsi que les installations électriques industrielles et leur maintenance. La nouvelle entreprise pourrait disposer, par ailleurs, de son propre bureau d'ingénierie et d'études techniques. La filiale qui prendra quartier dans la tour de Cevital de Garidi sera gérée par M.Yaici Boukhalfa, alors que la présidence du conseil d'administration a été confiée à l'un des fils Rebrab, en l'occurrence Salim Rebrab. Avec ses 3.500 heures d'ensoleillement par an, l'Algérie est un des pays les plus riches en potentiel énergétique renouvelable au monde. Les pouvoirs publics algériens misent sur la production d'énergies alternatives aux deux sources énergétiques actuellement exportées, le pétrole et le gaz. Le groupe Cevital veut ainsi être le premier investisseur sur ce gisement. Alors que le taux d'intégration des énergies renouvelables ne dépasse les 5 %, un plan national de développement des énergies renouvelables a été adopté pour la période 2008-2017. Il prévoit la production de 17.000 mégawatts pour le marché local et 6.000 MW pour les besoins d'exportations. Soit 30 % du bilan énergétique national d'ici 2050. C'est dire le potentiel de la filière qui bénéficie d'un cadre réglementaire, certes à parfaire, mais néanmoins incitatif. 300 millions d'euros ont déjà été investis dans le projet d'installations de centrales électriques solaires ou à cycle combiné gaz-solaire. Les espagnols et les allemands veulent aussi investir le créneau qui reste vierge. Première entreprise privée et sixième entreprise Algérienne, le groupe Cevital, outre ce nouvel investissement, est présent dans plusieurs autres secteurs, notamment l'agroalimentaire, l'industrie, le commerce et la distribution. Il est composé de plusieurs filiales : Cevital Agroalimentaire, Mediterranean float glass, Cevielec, Logistic-One, Samha, Numidis, Ceviagro, Cevico, Hyundai Motor Algérie, ACTS et Nolis. Il détient aussi des participations dans plusieurs autres firmes, notamment dans la téléphonie mobile. Le groupe doit son succès essentiellement à ses investissements dans le secteur agroalimentaire qui réalise les deux tiers du chiffre d'affaires du groupe. Une réussite qui sera complète avec la réalisation d'un pôle industriel de grande envergure à Cap Djinet. A terme, le groupe prévoit un investissement total supérieur à 20 milliards de dollars et des exportations hors hydrocarbures de 15 milliards de dollars avec, à la clé, des milliers d'emplois directs et indirects. Société par actions capitalisée à hauteur de vingt millions de dinars, «Cevital Energies renouvelables ER», a pour objets la production, la distribution et le transport de l'électricité, la fabrication de matériels et équipements liés aux domaines de l'énergie solaire et électrique, la réalisation et conception de composants électroniques destinés à la maintenance industrielle, l'installation de réseaux et de centrales électriques et téléphoniques, l'importation des matériels et produits liés au domaine de l'énergie, l'installation et la réparation de matériels et équipements liés au domaine de l'énergie solaire et électrique ainsi que les installations électriques industrielles et leur maintenance. La nouvelle entreprise pourrait disposer, par ailleurs, de son propre bureau d'ingénierie et d'études techniques. La filiale qui prendra quartier dans la tour de Cevital de Garidi sera gérée par M.Yaici Boukhalfa, alors que la présidence du conseil d'administration a été confiée à l'un des fils Rebrab, en l'occurrence Salim Rebrab. Avec ses 3.500 heures d'ensoleillement par an, l'Algérie est un des pays les plus riches en potentiel énergétique renouvelable au monde. Les pouvoirs publics algériens misent sur la production d'énergies alternatives aux deux sources énergétiques actuellement exportées, le pétrole et le gaz. Le groupe Cevital veut ainsi être le premier investisseur sur ce gisement. Alors que le taux d'intégration des énergies renouvelables ne dépasse les 5 %, un plan national de développement des énergies renouvelables a été adopté pour la période 2008-2017. Il prévoit la production de 17.000 mégawatts pour le marché local et 6.000 MW pour les besoins d'exportations. Soit 30 % du bilan énergétique national d'ici 2050. C'est dire le potentiel de la filière qui bénéficie d'un cadre réglementaire, certes à parfaire, mais néanmoins incitatif. 300 millions d'euros ont déjà été investis dans le projet d'installations de centrales électriques solaires ou à cycle combiné gaz-solaire. Les espagnols et les allemands veulent aussi investir le créneau qui reste vierge. Première entreprise privée et sixième entreprise Algérienne, le groupe Cevital, outre ce nouvel investissement, est présent dans plusieurs autres secteurs, notamment l'agroalimentaire, l'industrie, le commerce et la distribution. Il est composé de plusieurs filiales : Cevital Agroalimentaire, Mediterranean float glass, Cevielec, Logistic-One, Samha, Numidis, Ceviagro, Cevico, Hyundai Motor Algérie, ACTS et Nolis. Il détient aussi des participations dans plusieurs autres firmes, notamment dans la téléphonie mobile. Le groupe doit son succès essentiellement à ses investissements dans le secteur agroalimentaire qui réalise les deux tiers du chiffre d'affaires du groupe. Une réussite qui sera complète avec la réalisation d'un pôle industriel de grande envergure à Cap Djinet. A terme, le groupe prévoit un investissement total supérieur à 20 milliards de dollars et des exportations hors hydrocarbures de 15 milliards de dollars avec, à la clé, des milliers d'emplois directs et indirects.