Louisa Hanoune s'élève et dénonce d'un ton virulent les velléités du président de la chambre basse du Parlement «d'institutionnaliser le nomadisme politique». C'est une dérive grave et sans précédent, a-t-elle affirmé, accusant Abdelaziz Ziari «d'inciter les députés à la prendre en grippe». Louisa Hanoune s'élève et dénonce d'un ton virulent les velléités du président de la chambre basse du Parlement «d'institutionnaliser le nomadisme politique». C'est une dérive grave et sans précédent, a-t-elle affirmé, accusant Abdelaziz Ziari «d'inciter les députés à la prendre en grippe». Le torchon brûle entre la secrétaire générale du PT (Parti des travailleurs), Louisa Hanoune et le président de l'APN (Assemblée populaire nationale), Abdelaziz Ziari. Les revendications de la pasionaria du PT de dissoudre la chambre basse du Parlement et opérer des élections législatives anticipées, constituent la toile de fond de la passe d'armes entre la première responsable du PT et du troisième personnage de l'Etat. Les déclarations faites aux médias à propos de cette question par Louisa Hanoune et Abdelaziz Ziari ont envenimé leurs relations. La tension est allée crescendo. Jusqu'à ces derniers jours, les discours des deux parties ne sont pas allés au-delà d'une certaine ligne rouge qui a été allègrement franchie. Hier, au cours de la conférence de presse qu'elle a animée au siège de son parti, Louisa Hanoune ne s'est pas contentée de tirer à boulets rouges sur Abdelaziz Ziari. Elle a haussé le ton, accusant le président de l'APN «d'œuvrer de toutes ses forces pour dissoudre le groupe parlementaire du PT». Elle est convaincue qu'il y a «une démarche en ce sens», et pour preuve, elle avance que des fonctionnaires de l'APN ont tenté d'approcher certains de ses députés pour leur demander de leur fournir leur numéro de compte bancaire personnel pour leur verser les indemnités qui leur reviennent à la place du compte du parti. Elle qualifie cette démarche de «très grave». Pour elle «c'est une ingérence dans les affaires internes du parti». On ose, a-t-elle souligné, «défaire une résolution d'un congrès souverain, c'est du jamais vu». Elle estime que cette manière de faire «est illégale et que les députés ne sont pas des fonctionnaires». Le timing choisi pour s'attaquer au PT et sa première responsable, n'est pas un hasard, selon elle. «Celui qui me bâillonnera, n'est pas encore né », s'est-elle exclamé, rappelant son parcours de militante et ses déboires avec les autorités du pays. Elle s'élève et dénonce d'un ton virulent les velléités du président de la chambre basse du Parlement «d'institutionnaliser le nomadisme politique». C'est une dérive grave et sans précédent, a-t-elle affirmé, accusant Abdelaziz Ziari «d'inciter les députés à la prendre en grippe». il n'en faut pas plus, pour Louisa Hanoune d'exprimer ses vives craintes quant aux dérapages qui peuvent survenir lors des séances plénières (aujourd'hui), consacrées au débat sur le plan d'action du gouvernement que présentera le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Elle prévient que Louisa Hanoune et le PT répondront à toutes menaces ou provocations et tient pour responsable le président de l'Assemblée populaire nationale pour tout incident à l'intérieur de l'hémicycle. Le torchon brûle entre la secrétaire générale du PT (Parti des travailleurs), Louisa Hanoune et le président de l'APN (Assemblée populaire nationale), Abdelaziz Ziari. Les revendications de la pasionaria du PT de dissoudre la chambre basse du Parlement et opérer des élections législatives anticipées, constituent la toile de fond de la passe d'armes entre la première responsable du PT et du troisième personnage de l'Etat. Les déclarations faites aux médias à propos de cette question par Louisa Hanoune et Abdelaziz Ziari ont envenimé leurs relations. La tension est allée crescendo. Jusqu'à ces derniers jours, les discours des deux parties ne sont pas allés au-delà d'une certaine ligne rouge qui a été allègrement franchie. Hier, au cours de la conférence de presse qu'elle a animée au siège de son parti, Louisa Hanoune ne s'est pas contentée de tirer à boulets rouges sur Abdelaziz Ziari. Elle a haussé le ton, accusant le président de l'APN «d'œuvrer de toutes ses forces pour dissoudre le groupe parlementaire du PT». Elle est convaincue qu'il y a «une démarche en ce sens», et pour preuve, elle avance que des fonctionnaires de l'APN ont tenté d'approcher certains de ses députés pour leur demander de leur fournir leur numéro de compte bancaire personnel pour leur verser les indemnités qui leur reviennent à la place du compte du parti. Elle qualifie cette démarche de «très grave». Pour elle «c'est une ingérence dans les affaires internes du parti». On ose, a-t-elle souligné, «défaire une résolution d'un congrès souverain, c'est du jamais vu». Elle estime que cette manière de faire «est illégale et que les députés ne sont pas des fonctionnaires». Le timing choisi pour s'attaquer au PT et sa première responsable, n'est pas un hasard, selon elle. «Celui qui me bâillonnera, n'est pas encore né », s'est-elle exclamé, rappelant son parcours de militante et ses déboires avec les autorités du pays. Elle s'élève et dénonce d'un ton virulent les velléités du président de la chambre basse du Parlement «d'institutionnaliser le nomadisme politique». C'est une dérive grave et sans précédent, a-t-elle affirmé, accusant Abdelaziz Ziari «d'inciter les députés à la prendre en grippe». il n'en faut pas plus, pour Louisa Hanoune d'exprimer ses vives craintes quant aux dérapages qui peuvent survenir lors des séances plénières (aujourd'hui), consacrées au débat sur le plan d'action du gouvernement que présentera le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Elle prévient que Louisa Hanoune et le PT répondront à toutes menaces ou provocations et tient pour responsable le président de l'Assemblée populaire nationale pour tout incident à l'intérieur de l'hémicycle.