Faut-il rapatrier l'ensemble des 45.000 sites Web hébergés à l'étranger ? Devant l'impossibilité de le faire, certains participants ont préconisé de faire des doublures de ces sites. Ali Kahlane directeur général de la société SATLinker est parmi ceux-ci. Faut-il rapatrier l'ensemble des 45.000 sites Web hébergés à l'étranger ? Devant l'impossibilité de le faire, certains participants ont préconisé de faire des doublures de ces sites. Ali Kahlane directeur général de la société SATLinker est parmi ceux-ci. Comment réconcilier les propriétaires de sites Web ou noms de domaine algériens avec le ".dz" ? Telle était la question posée hier au Centre de recherche sur l'information scientifique et technique (Cerist) par les participants à la journée d'information consacrée au nom de domaine ".dz". Faut-il rapatrier l'ensemble des 45.000 sites Web hébergés à l'étranger ? Devant l'impossibilité de le faire, certains participants ont préconisé de faire des doublures de ces sites. Ali Kahlane directeur général de la société SATLinker est parmi ceux-ci. Pour lui, deux étapes sont à même de permettre un réel "décollage" de l'utilisation du ".dz". Dans une déclaration au Midi Libre en marge de cette journée, M. Kahlane a indiqué "je vois deux étapes pour voir réellement décoller l'utilisation du ".dz" : la première consiste à évaluer le nombre de sites Web algériens hébergés à l'étranger". Une première évaluation fait état de 45.000 noms de domaines hébergés à l'étranger."Si on arrivait, par une campagne de sensibilisation et de promotion, à faire en sorte que tous les détenteurs de ces sites Web, au moins 15 à 20%, soit environ 3.000, aient chacun une doublure. Je préconise que ces sites soient doublés dans un premier temps". La 2e étape consiste en la promotion pure du ".dz" en y incluant par exemple les Chambres de l'agriculture et de l'artisanat, etc. "Et cela, c'est aux professionnels, chacun dans son domaine, de le faire, en l'occurrence les ministères (Tourisme, Commerce, TIC, etc). Chacun doit promouvoir son domaine". Les appréhensions du ".dz" existent encore, affirme un autre intervenant. "Quand on va sur un site en ".dz", l'accès y est difficile voire impossible. Il n'y qu'à voir, pour s'en convaincre, les sites enregistrés sous ce nom de domaine". "Cette appréhension est tout à fait justifiée, dit-il, et on n'a pas encore dépassé cette étape-là". Aux voix qui appellent au rapatriement des 45.000 sites Web hébergés à l'étranger, l'intervenant pose la question : "Est-ce qu'il est facile d'octroyer le ".dz" sachant que c'est un problème de propriétaire du site. Accepteront-ils de venir et dans quelles conditions ? De plus, a-t-on les possibilités de les héberger ? En sus des problèmes existants, les gens ont toujours peur de se voir contraints de fournir plusieurs documents pour pouvoir postuler au ".dz ". Il faudrait qu'il y ait une promotion réelle du ".dz" ", affirme-t-il. D'autant plus que "les tarifs pratiqués par les ISP (providers) sont excessivement chers par rapport à ce que l'on offre à l'étranger". Comment réconcilier les propriétaires de sites Web ou noms de domaine algériens avec le ".dz" ? Telle était la question posée hier au Centre de recherche sur l'information scientifique et technique (Cerist) par les participants à la journée d'information consacrée au nom de domaine ".dz". Faut-il rapatrier l'ensemble des 45.000 sites Web hébergés à l'étranger ? Devant l'impossibilité de le faire, certains participants ont préconisé de faire des doublures de ces sites. Ali Kahlane directeur général de la société SATLinker est parmi ceux-ci. Pour lui, deux étapes sont à même de permettre un réel "décollage" de l'utilisation du ".dz". Dans une déclaration au Midi Libre en marge de cette journée, M. Kahlane a indiqué "je vois deux étapes pour voir réellement décoller l'utilisation du ".dz" : la première consiste à évaluer le nombre de sites Web algériens hébergés à l'étranger". Une première évaluation fait état de 45.000 noms de domaines hébergés à l'étranger."Si on arrivait, par une campagne de sensibilisation et de promotion, à faire en sorte que tous les détenteurs de ces sites Web, au moins 15 à 20%, soit environ 3.000, aient chacun une doublure. Je préconise que ces sites soient doublés dans un premier temps". La 2e étape consiste en la promotion pure du ".dz" en y incluant par exemple les Chambres de l'agriculture et de l'artisanat, etc. "Et cela, c'est aux professionnels, chacun dans son domaine, de le faire, en l'occurrence les ministères (Tourisme, Commerce, TIC, etc). Chacun doit promouvoir son domaine". Les appréhensions du ".dz" existent encore, affirme un autre intervenant. "Quand on va sur un site en ".dz", l'accès y est difficile voire impossible. Il n'y qu'à voir, pour s'en convaincre, les sites enregistrés sous ce nom de domaine". "Cette appréhension est tout à fait justifiée, dit-il, et on n'a pas encore dépassé cette étape-là". Aux voix qui appellent au rapatriement des 45.000 sites Web hébergés à l'étranger, l'intervenant pose la question : "Est-ce qu'il est facile d'octroyer le ".dz" sachant que c'est un problème de propriétaire du site. Accepteront-ils de venir et dans quelles conditions ? De plus, a-t-on les possibilités de les héberger ? En sus des problèmes existants, les gens ont toujours peur de se voir contraints de fournir plusieurs documents pour pouvoir postuler au ".dz ". Il faudrait qu'il y ait une promotion réelle du ".dz" ", affirme-t-il. D'autant plus que "les tarifs pratiqués par les ISP (providers) sont excessivement chers par rapport à ce que l'on offre à l'étranger".