La sensibilisation du citoyen sur les risques encourus par la cybercriminalité et le rôle des providers dans la protection et l'assistance apportées aux entreprises contre les cybercriminels sont les deux thèmes qui ont fait l'objet hier d'une journée d'études à l'hôtel El Aurassi animée par Algérie Telecom et le provider Eepad. Au moment où les hackers, les délinquants informatique et toutes sortes de cybercriminels arnaquent et utilisent des méthodes illégales pour le détournement de données et d'informations, ainsi que d'extorsion de fonds, de sabotage et d'atteintes graves aux intérêts des entreprises et des particuliers, les pouvoirs publics ont élaboré un projet de loi visant à criminaliser et réprimer sévèrement les délits inhérents à l'utilisation d'Internet pour commettre des infractions. La rencontre d'hier, animée par des experts algériens résidant à l'étranger et des intervenants locaux, a permis de déceler les dangers et les risques susceptibles de nuire aux entreprises et aux institutions si elles ne se prémunissent pas. Ainsi, le DG de l'Eepad, Nour Harzellah, a déclaré que la démarche initiée par Algérie Telecom et par son entreprise «répond aux attentes de l'Etat dans la mesure où elle se propose de mettre en synergie l'expérience des experts nationaux de la diaspora avec celle de leurs concitoyens exerçant en Algérie». Le DG du Centre de recherche en informations scientifiques et techniques (CERIST), Nadjib Badache, estime que «la lutte contre la cybercriminalité commence avec l'intervention au niveau du fournisseur d'accès à Internet en utilisant les techniques de filtrage», alors que le directeur général de la modernisation au ministère de la Justice, Abderrezak Henni, a mis en relief l'intensification de la lutte contre la cybercriminalité en affirmant : «Nous utilisons nous-mêmes nos filtres à notre niveau et nous avons beaucoup de matériels et logiciels pour les techniques de filtrage». Pour sa part, le chef de cabinet du Conseil national économique et social (CNES), Malik Si Mohamed, a indiqué que cette structure rendra public, dans quinze jours, un rapport circonstancié sur le projet E-Algérie 2013. «Il devient impérieux d'identifier le risque maximum admissible en accentuant la prévention avant d'investir et savoir quels sont les dangers et les risques liés au financement et au fonctionnement de la clientèle et de l'économie. Il s'agit aussi de connaître le profil de celui qui veut vous attaquer sachant que la sécurité absolue n'existe pas». Bachir Halimi, expert international travaillant au Canada, a insisté sur la loi afin de sévir et traquer les malfaiteurs en utilisant des systèmes technologiques afin des protéger les institutions, les entreprises et les citoyens. «Pour cela, l'intervention efficace des pouvoirs publics est indispensable pour instaurer des mesures défensives et poursuivre les délinquants informatiques afin de sauvegarder l'économie nationale», a-t-il notamment souligné. Un simple virus informatique, piloté par des malfaiteurs, pourrait faire de l'intelligence économique et détruire une entreprise compétitive jalousée par des entreprises s'adonnant à la concurrence déloyale et illicite. La sensibilisation du citoyen sur les risques encourus par la cybercriminalité et le rôle des providers dans la protection et l'assistance apportées aux entreprises contre les cybercriminels sont les deux thèmes qui ont fait l'objet hier d'une journée d'études à l'hôtel El Aurassi animée par Algérie Telecom et le provider Eepad. Au moment où les hackers, les délinquants informatique et toutes sortes de cybercriminels arnaquent et utilisent des méthodes illégales pour le détournement de données et d'informations, ainsi que d'extorsion de fonds, de sabotage et d'atteintes graves aux intérêts des entreprises et des particuliers, les pouvoirs publics ont élaboré un projet de loi visant à criminaliser et réprimer sévèrement les délits inhérents à l'utilisation d'Internet pour commettre des infractions. La rencontre d'hier, animée par des experts algériens résidant à l'étranger et des intervenants locaux, a permis de déceler les dangers et les risques susceptibles de nuire aux entreprises et aux institutions si elles ne se prémunissent pas. Ainsi, le DG de l'Eepad, Nour Harzellah, a déclaré que la démarche initiée par Algérie Telecom et par son entreprise «répond aux attentes de l'Etat dans la mesure où elle se propose de mettre en synergie l'expérience des experts nationaux de la diaspora avec celle de leurs concitoyens exerçant en Algérie». Le DG du Centre de recherche en informations scientifiques et techniques (CERIST), Nadjib Badache, estime que «la lutte contre la cybercriminalité commence avec l'intervention au niveau du fournisseur d'accès à Internet en utilisant les techniques de filtrage», alors que le directeur général de la modernisation au ministère de la Justice, Abderrezak Henni, a mis en relief l'intensification de la lutte contre la cybercriminalité en affirmant : «Nous utilisons nous-mêmes nos filtres à notre niveau et nous avons beaucoup de matériels et logiciels pour les techniques de filtrage». Pour sa part, le chef de cabinet du Conseil national économique et social (CNES), Malik Si Mohamed, a indiqué que cette structure rendra public, dans quinze jours, un rapport circonstancié sur le projet E-Algérie 2013. «Il devient impérieux d'identifier le risque maximum admissible en accentuant la prévention avant d'investir et savoir quels sont les dangers et les risques liés au financement et au fonctionnement de la clientèle et de l'économie. Il s'agit aussi de connaître le profil de celui qui veut vous attaquer sachant que la sécurité absolue n'existe pas». Bachir Halimi, expert international travaillant au Canada, a insisté sur la loi afin de sévir et traquer les malfaiteurs en utilisant des systèmes technologiques afin des protéger les institutions, les entreprises et les citoyens. «Pour cela, l'intervention efficace des pouvoirs publics est indispensable pour instaurer des mesures défensives et poursuivre les délinquants informatiques afin de sauvegarder l'économie nationale», a-t-il notamment souligné. Un simple virus informatique, piloté par des malfaiteurs, pourrait faire de l'intelligence économique et détruire une entreprise compétitive jalousée par des entreprises s'adonnant à la concurrence déloyale et illicite.