La propreté de la ville d'Alger fait plus que jamais l'objet de polémiques et de débats à n'en plus finir. Face aux efforts considérables consentis par les autorités locales se trouvent les citoyens qui se plaignent de l'insalubrité grandissante. La situation empire en été et laisse planer le spectre des épidémies et le fléau des moustiques qui envahissent les habitations. La collecte des ordures ménagères est réellement devenu un casse-tête insolubre dans la wilaya d'Alger. Il faut dire qu'à l'échelle de cette wilaya surpeuplée une seule et unique société s'occupe du ramassage des ordures. Net Com puisque c'est d'elle qu'il s'agit demeure impuissante face aux décharges sauvages qui pullulent un peu partout à travers Alger. Net Com vient de lancer un avis d'appel d'offres national, concernant des travaux de réalisation et d'aménagement au niveau de ses divers parcs et dépôts, la réparation de son matériel roulant, de même que l'acquisition de 6.500 paires de chaussures de sécurité pour son personnel. Ces démarches visant à améliorer les conditions de travail aboutront-elles à améliorer l'hygiène, cela reste à prouver, car il faut bien plus que cela pour redonner sa blancheur à Alger. L'activité commerciale est l'une des sources grandes génératrices de détritus et autres déchets, la consommation tous azimuts en gendre un surplus d'ordures et la ville s'en trouve asphyxiée. Emballages divers, bouteilles vides, épluchures, gobelets... aucun endroit n'est épargné. En été et avec la chaleur ambiante, les déchets se décomposant rapidement, les Algérois suffoquent en passant devant ces décharges qui dorénavant font partie du décor de la ville. L'été est également exploité par certaines familles pour effectuer des travaux de réparation, et d'extension … chez eux, et bien sûr les gravats sont abandonnés dehors en attendant que les services de la ville, en désespoir de cause, se décident à envoyer un camion pour les évacuer, alors qu'il est du devoir de ces citoyens de les convoyer eux-mêmes vers la décharge. Les spécialistes de l'hygiène ne cessent pourtant d'appeller à la prudence, face aux danger des maladies à transmission hydrique (MTH) et des zoonoses, mais peine perdue ! La propreté de la ville d'Alger fait plus que jamais l'objet de polémiques et de débats à n'en plus finir. Face aux efforts considérables consentis par les autorités locales se trouvent les citoyens qui se plaignent de l'insalubrité grandissante. La situation empire en été et laisse planer le spectre des épidémies et le fléau des moustiques qui envahissent les habitations. La collecte des ordures ménagères est réellement devenu un casse-tête insolubre dans la wilaya d'Alger. Il faut dire qu'à l'échelle de cette wilaya surpeuplée une seule et unique société s'occupe du ramassage des ordures. Net Com puisque c'est d'elle qu'il s'agit demeure impuissante face aux décharges sauvages qui pullulent un peu partout à travers Alger. Net Com vient de lancer un avis d'appel d'offres national, concernant des travaux de réalisation et d'aménagement au niveau de ses divers parcs et dépôts, la réparation de son matériel roulant, de même que l'acquisition de 6.500 paires de chaussures de sécurité pour son personnel. Ces démarches visant à améliorer les conditions de travail aboutront-elles à améliorer l'hygiène, cela reste à prouver, car il faut bien plus que cela pour redonner sa blancheur à Alger. L'activité commerciale est l'une des sources grandes génératrices de détritus et autres déchets, la consommation tous azimuts en gendre un surplus d'ordures et la ville s'en trouve asphyxiée. Emballages divers, bouteilles vides, épluchures, gobelets... aucun endroit n'est épargné. En été et avec la chaleur ambiante, les déchets se décomposant rapidement, les Algérois suffoquent en passant devant ces décharges qui dorénavant font partie du décor de la ville. L'été est également exploité par certaines familles pour effectuer des travaux de réparation, et d'extension … chez eux, et bien sûr les gravats sont abandonnés dehors en attendant que les services de la ville, en désespoir de cause, se décident à envoyer un camion pour les évacuer, alors qu'il est du devoir de ces citoyens de les convoyer eux-mêmes vers la décharge. Les spécialistes de l'hygiène ne cessent pourtant d'appeller à la prudence, face aux danger des maladies à transmission hydrique (MTH) et des zoonoses, mais peine perdue !