La poissonnerie, qui était la fierté de la ville, a cessé ses activités et a été aménagée en locaux commerciaux, fruits et légumes, boucheries et alimentation générale au grand dam des Guelmis déçus par la décision de l'APC de l'époque, car c'était un patrimoine communal. La poissonnerie, qui était la fierté de la ville, a cessé ses activités et a été aménagée en locaux commerciaux, fruits et légumes, boucheries et alimentation générale au grand dam des Guelmis déçus par la décision de l'APC de l'époque, car c'était un patrimoine communal. Dans un passé récent, le marché couvert Ahcène-Harcha, implanté au centre-ville, abritait au rez-de-chaussée une vaste poissonnerie dotée de tous les équipements spécifiques et qui attirait une multitude de clients qui avaient ainsi l'opportunité d'acheter une variété de produits frais de la mer à savoir merlans, rougets, crevettes, sardines, soles, thon, bonite, etc. Cette structure, qui répondait aux normes requises d'hygiène et de sécurité, était gérée par des professionnels qui s'attelaient à fidéliser une clientèle soucieuse de la qualité des prestations de service et de la disponibilité des fruits de la grande bleue. Au fil des ans, cette poissonnerie, qui était la fierté de la ville, a cessé ses activités et a été aménagée en locaux commerciaux, fruits et légumes, boucheries et alimentation générale au grand dam des Guelmis déçus par la décision de l'APC de l'époque, car c'était un patrimoine communal. Cette carence encouragera des marchands à la sauvette à squatter les trottoirs du marché Harcha en y disposant leurs casiers de sardines et divers poissons et ce, au mépris des règles élémentaires d'hygiène et salubrité. Certains sillonnent les cités et quartiers en traînant des charrettes où s'entassent des cagettes de sardines et ils pratiquent la vente à la criée, notamment durant les grandes chaleurs de la saison estivale ! Les nouveaux élus de la ville du 8- Mai-45, qui ont entamé leur mandat électif par de louables actions , gagneraient à se pencher sur ce dossier sensible et à réglementer la commercialisation de ce produit périssable. La création d'une poissonnerie moderne est vivement souhaitée par la population sachant que tous les étals du marché Harcha sont disponibles suite au départ définitif de leurs gérants. Dans un passé récent, le marché couvert Ahcène-Harcha, implanté au centre-ville, abritait au rez-de-chaussée une vaste poissonnerie dotée de tous les équipements spécifiques et qui attirait une multitude de clients qui avaient ainsi l'opportunité d'acheter une variété de produits frais de la mer à savoir merlans, rougets, crevettes, sardines, soles, thon, bonite, etc. Cette structure, qui répondait aux normes requises d'hygiène et de sécurité, était gérée par des professionnels qui s'attelaient à fidéliser une clientèle soucieuse de la qualité des prestations de service et de la disponibilité des fruits de la grande bleue. Au fil des ans, cette poissonnerie, qui était la fierté de la ville, a cessé ses activités et a été aménagée en locaux commerciaux, fruits et légumes, boucheries et alimentation générale au grand dam des Guelmis déçus par la décision de l'APC de l'époque, car c'était un patrimoine communal. Cette carence encouragera des marchands à la sauvette à squatter les trottoirs du marché Harcha en y disposant leurs casiers de sardines et divers poissons et ce, au mépris des règles élémentaires d'hygiène et salubrité. Certains sillonnent les cités et quartiers en traînant des charrettes où s'entassent des cagettes de sardines et ils pratiquent la vente à la criée, notamment durant les grandes chaleurs de la saison estivale ! Les nouveaux élus de la ville du 8- Mai-45, qui ont entamé leur mandat électif par de louables actions , gagneraient à se pencher sur ce dossier sensible et à réglementer la commercialisation de ce produit périssable. La création d'une poissonnerie moderne est vivement souhaitée par la population sachant que tous les étals du marché Harcha sont disponibles suite au départ définitif de leurs gérants.