Mohamed Laksaci a affirmé, hier, qu'en l'espace de six mois, c'est-à-dire de décembre 2008 à juin 2009, une augmentation de 1,2 milliard de dollars a été enregistrée sachant qu'à la fin de l'année précédente, les caisses de l'Etat affichaient 143,1 milliards de dollars, provenant à 97 % des recettes des hydrocarbures (pétrole et gaz). Mohamed Laksaci a affirmé, hier, qu'en l'espace de six mois, c'est-à-dire de décembre 2008 à juin 2009, une augmentation de 1,2 milliard de dollars a été enregistrée sachant qu'à la fin de l'année précédente, les caisses de l'Etat affichaient 143,1 milliards de dollars, provenant à 97 % des recettes des hydrocarbures (pétrole et gaz). Pas moins de 144,3 milliards de dollars en termes de réserves de change ont été comptabilisés à fin juin 2009, selon le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Laksaci qui a affirmé, hier, qu'en l'espace de six mois, c'est-à-dire de décembre 2008 à juin 2009, une augmentation de 1,2 milliard de dollars a été enregistrée sachant qu'à la fin de l'année précédente, les caisses de l'Etat affichaient 143,1 milliards de dollars, provenant à 97 % des recettes des hydrocarbures (pétrole et gaz). Ces chiffres vont au-delà des statistiques et des prévisions du Fonds monétaire international (FMI) qui a pourtant annoncé un bilan très positif concernant l'économie algérienne en tablant sur 3,9 % de croissance en 2010 et en projetant des réserves de change évaluées à 145,6 milliards de dollars à la fin 2008, 173,4 milliards en 2009, 197,5 milliards de dollars en 2010, 218,9 milliards de dollars en 2011 et enfin 238,9 milliards de dollars en 2012. Par ailleurs, Les crédits octroyés par les banques pour financer l'économie nationale ont augmenté de 7,8% durant le premier semestre 2009, a indiqué M. Laksaci. «Les crédits distribués par les banques, durant les six premiers mois de l'année, ont enregistré un accroissement de 7,8%», a déclaré M. Laksaci lors d'une réunion de travail avec les responsables des banques, rapporte l'APS. Par secteur, les crédits octroyés au secteur public ont augmenté de 9,2% durant cette période alors que ceux accordés au secteur privé et aux ménages ont progressé de 6,7%, a précisé ce responsable. La part des crédits à moyen terme du total des crédits octroyés a atteint 57,9% à fin juin 2009 contre 54,5% à fin 2008. Ces chiffres traduisent, selon le gouverneur de la Banque d'Algérie, «une dynamique de financement à long terme des grands projets de l'économie qui est en train de se développer». En revanche, «le développement des crédits aux PME reste en deçà de l'objectif recherché à travers les différentes mesures prises par les pouvoirs publics pour faciliter l'accès des PME aux crédits», a-t-il relevé. Parallèlement, les ressources collectées par les banques ont enregistré une baisse de 3,4 % durant les six premiers mois de l'année, a ajouté M. Laksaci qui a expliqué cette contraction par la forte diminution des dépôts du secteur public et un accroissement des dépôts auprès des entreprises publiques et des ménages et la hausse des dépôts préalables à l'importation. Concernant la liquidité des banques qui reste «fortement excédentaire», selon M. Laksaci, elle a baissé durant cette période passant de 2.845 milliards de dinars à fin 2008 à 2.749 milliards de dinars à fin juin 2009, soit une contraction globale des liquidités au niveau des banques de 10,4%. Quant à l'épargne accumulée par le Trésor durant le premier semestre, elle a enregistré une importante augmentation puisque ses dépôts auprès de la Banque d'Algérie ont progressé de 142,4%. Cette situation monétaire consolidée du premier semestre s'est également caractérisée «par un léger recul de la masse monétaire de 0,2%», note le premier responsable de la Banque d'Algérie, citant des données provisoires des banques. M. Laksaci a recommandé «de suivre de très près ce recul de la masse monétaire'» car, selon lui «il doit contenir un certain nombre d'indications sur la conjoncture du premier semestre de l'année en cours». «Il s'agit d'un phénomène monétaire nouveau puisque durant les années passées, la forte expansion de la masse monétaire a été tirée par les avoirs extérieurs nets», a-t-il expliqué. Par ailleurs, le gouverneur de la Banque d'Algérie a estimé «que le système bancaire en Algérie reste stable dans le contexte actuel de grave crise financière internationale malgré la persistance de quelque difficultés des banques en matière de système d'information et de gestion de risques». Il s'agit, pour l'Algérie, «de continuer à gérer au mieux cette période de crise économique et financière internationale, vu l'apparition de signes précurseurs de choc externe à fin 2008 tout en poursuivant la mise en place des conditions nécessaires pour diversifier davantage l'économie nationale», a-t-il conclu. Pas moins de 144,3 milliards de dollars en termes de réserves de change ont été comptabilisés à fin juin 2009, selon le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Laksaci qui a affirmé, hier, qu'en l'espace de six mois, c'est-à-dire de décembre 2008 à juin 2009, une augmentation de 1,2 milliard de dollars a été enregistrée sachant qu'à la fin de l'année précédente, les caisses de l'Etat affichaient 143,1 milliards de dollars, provenant à 97 % des recettes des hydrocarbures (pétrole et gaz). Ces chiffres vont au-delà des statistiques et des prévisions du Fonds monétaire international (FMI) qui a pourtant annoncé un bilan très positif concernant l'économie algérienne en tablant sur 3,9 % de croissance en 2010 et en projetant des réserves de change évaluées à 145,6 milliards de dollars à la fin 2008, 173,4 milliards en 2009, 197,5 milliards de dollars en 2010, 218,9 milliards de dollars en 2011 et enfin 238,9 milliards de dollars en 2012. Par ailleurs, Les crédits octroyés par les banques pour financer l'économie nationale ont augmenté de 7,8% durant le premier semestre 2009, a indiqué M. Laksaci. «Les crédits distribués par les banques, durant les six premiers mois de l'année, ont enregistré un accroissement de 7,8%», a déclaré M. Laksaci lors d'une réunion de travail avec les responsables des banques, rapporte l'APS. Par secteur, les crédits octroyés au secteur public ont augmenté de 9,2% durant cette période alors que ceux accordés au secteur privé et aux ménages ont progressé de 6,7%, a précisé ce responsable. La part des crédits à moyen terme du total des crédits octroyés a atteint 57,9% à fin juin 2009 contre 54,5% à fin 2008. Ces chiffres traduisent, selon le gouverneur de la Banque d'Algérie, «une dynamique de financement à long terme des grands projets de l'économie qui est en train de se développer». En revanche, «le développement des crédits aux PME reste en deçà de l'objectif recherché à travers les différentes mesures prises par les pouvoirs publics pour faciliter l'accès des PME aux crédits», a-t-il relevé. Parallèlement, les ressources collectées par les banques ont enregistré une baisse de 3,4 % durant les six premiers mois de l'année, a ajouté M. Laksaci qui a expliqué cette contraction par la forte diminution des dépôts du secteur public et un accroissement des dépôts auprès des entreprises publiques et des ménages et la hausse des dépôts préalables à l'importation. Concernant la liquidité des banques qui reste «fortement excédentaire», selon M. Laksaci, elle a baissé durant cette période passant de 2.845 milliards de dinars à fin 2008 à 2.749 milliards de dinars à fin juin 2009, soit une contraction globale des liquidités au niveau des banques de 10,4%. Quant à l'épargne accumulée par le Trésor durant le premier semestre, elle a enregistré une importante augmentation puisque ses dépôts auprès de la Banque d'Algérie ont progressé de 142,4%. Cette situation monétaire consolidée du premier semestre s'est également caractérisée «par un léger recul de la masse monétaire de 0,2%», note le premier responsable de la Banque d'Algérie, citant des données provisoires des banques. M. Laksaci a recommandé «de suivre de très près ce recul de la masse monétaire'» car, selon lui «il doit contenir un certain nombre d'indications sur la conjoncture du premier semestre de l'année en cours». «Il s'agit d'un phénomène monétaire nouveau puisque durant les années passées, la forte expansion de la masse monétaire a été tirée par les avoirs extérieurs nets», a-t-il expliqué. Par ailleurs, le gouverneur de la Banque d'Algérie a estimé «que le système bancaire en Algérie reste stable dans le contexte actuel de grave crise financière internationale malgré la persistance de quelque difficultés des banques en matière de système d'information et de gestion de risques». Il s'agit, pour l'Algérie, «de continuer à gérer au mieux cette période de crise économique et financière internationale, vu l'apparition de signes précurseurs de choc externe à fin 2008 tout en poursuivant la mise en place des conditions nécessaires pour diversifier davantage l'économie nationale», a-t-il conclu.