Que du bonheur ! C'est le moins que l'on puisse dire de cette soirée ramadhanesque mémorable qui a illuminé tous les coins et recoins d'Algérie. Que du bonheur ! C'est le moins que l'on puisse dire de cette soirée ramadhanesque mémorable qui a illuminé tous les coins et recoins d'Algérie. Les Verts ont encore une fois tenu parole devant des milliers d'Algériens assoiffés de victoires, dans un match coriace face à une robuste équipe zambienne. La torpeur qui avait caractérisé l'ensemble des quartiers d'Alger durant les 90 minutes du jeu a subitement cédé la place à une joie indescriptible au moment du coup de sifflet final de l'arbitre. Une véritable délivrance pour des millions d'Algériens ayant vécu sur les nerfs et sous une insoutenable pression un match qui semblait s'éterniser. Les fans de l'EN ont envahi les rues et ruelles de toute l'Algérie, dans une sorte de festival populaire où régnait une ambiance extraordinaire provoquée par des fans en délire. D'Oran à Annaba, en passant par les villes du Sud, les mêmes scènes de liesse et de joie ont marqué cette nuit là. Tout y été préparé : pétards, feux d'artifice, derbouka et surtout le drapeau national. Dans les quartiers populaires de la capitale, notamment, Bab El Oued, Soustara ou la place Audin, les supporters ont rendu hommage aux Fennecs, chacun à sa manière, en descendant dans les rues à pied ou en voiture, klaxonnant à tout va et créant de monstrueux embouteillages. «Ce soir, nous fêterons notre qualification au Mondial. Ce sont des moments que nous attendions depuis 1986», a lancé un jeune homme, accroché à la portière d'une voiture. D'autres jeunes, les drapeaux en mains, des bandeaux verts et rouges attachés à leurs têtes se mettent carrément à danser au milieu de la chaussée, au rythme de la même musique qui provient de toutes les voitures. Des scènes de joie ont été enregistré chez les nombreuses femmes en délire sorties pour fêter cette victoire de marque, comme en 82. «One, two, three…viva l'Algérie» scandaient ces supporters, filles et garçons, juchés sur les portières, les capots et les toits des voitures, tandis qu'explosaient pétards et feux d'artifice tirés des toits des immeubles et des youyous fusaient des balcons. «Cette fois-ci, c'est la bonne. On ira en Coupe du monde», s'est exclamé une jeune fille, usant de toute sa voix vocale pour célébrer cette ultime victoire qui projette les Verts vers Afrique du Sud. De longues et interminables processions de voitures avançaient à pas de tortue, notamment, à la place Audin où une masse humaine s'est rassemblée. «Sincèrement, j'appréhendais ce match après la victoire de l'Egypte, mais à présent, plus aucune équipe ne pourra nous arrêter. A nous le Mondial», lance un autre jeune, drapé de l'emblème national, fumigène à la main. Les mêmes paroles se répétaient à chaque coin et recoin. En outre, ces moments de joie ont été immortalisés par plusieurs supporters qui prenaient des photos souvenir au milieu de la foule avec des téléphones portables, des appareils photographiques ou des caméscopes. Il est vrai qu'il s'agit de scènes d'allégresse qui feront date dans l'histoire du football algérien. Les Algériens sont aux anges, leur souhait s'exauce petit à petit, celui d'aller disputer cette compétition tant convoitée par toutes les sélections du monde. Que la joie des Algériens continue, que les victoires s'enchaînent…«Merci les verts !». Les Verts ont encore une fois tenu parole devant des milliers d'Algériens assoiffés de victoires, dans un match coriace face à une robuste équipe zambienne. La torpeur qui avait caractérisé l'ensemble des quartiers d'Alger durant les 90 minutes du jeu a subitement cédé la place à une joie indescriptible au moment du coup de sifflet final de l'arbitre. Une véritable délivrance pour des millions d'Algériens ayant vécu sur les nerfs et sous une insoutenable pression un match qui semblait s'éterniser. Les fans de l'EN ont envahi les rues et ruelles de toute l'Algérie, dans une sorte de festival populaire où régnait une ambiance extraordinaire provoquée par des fans en délire. D'Oran à Annaba, en passant par les villes du Sud, les mêmes scènes de liesse et de joie ont marqué cette nuit là. Tout y été préparé : pétards, feux d'artifice, derbouka et surtout le drapeau national. Dans les quartiers populaires de la capitale, notamment, Bab El Oued, Soustara ou la place Audin, les supporters ont rendu hommage aux Fennecs, chacun à sa manière, en descendant dans les rues à pied ou en voiture, klaxonnant à tout va et créant de monstrueux embouteillages. «Ce soir, nous fêterons notre qualification au Mondial. Ce sont des moments que nous attendions depuis 1986», a lancé un jeune homme, accroché à la portière d'une voiture. D'autres jeunes, les drapeaux en mains, des bandeaux verts et rouges attachés à leurs têtes se mettent carrément à danser au milieu de la chaussée, au rythme de la même musique qui provient de toutes les voitures. Des scènes de joie ont été enregistré chez les nombreuses femmes en délire sorties pour fêter cette victoire de marque, comme en 82. «One, two, three…viva l'Algérie» scandaient ces supporters, filles et garçons, juchés sur les portières, les capots et les toits des voitures, tandis qu'explosaient pétards et feux d'artifice tirés des toits des immeubles et des youyous fusaient des balcons. «Cette fois-ci, c'est la bonne. On ira en Coupe du monde», s'est exclamé une jeune fille, usant de toute sa voix vocale pour célébrer cette ultime victoire qui projette les Verts vers Afrique du Sud. De longues et interminables processions de voitures avançaient à pas de tortue, notamment, à la place Audin où une masse humaine s'est rassemblée. «Sincèrement, j'appréhendais ce match après la victoire de l'Egypte, mais à présent, plus aucune équipe ne pourra nous arrêter. A nous le Mondial», lance un autre jeune, drapé de l'emblème national, fumigène à la main. Les mêmes paroles se répétaient à chaque coin et recoin. En outre, ces moments de joie ont été immortalisés par plusieurs supporters qui prenaient des photos souvenir au milieu de la foule avec des téléphones portables, des appareils photographiques ou des caméscopes. Il est vrai qu'il s'agit de scènes d'allégresse qui feront date dans l'histoire du football algérien. Les Algériens sont aux anges, leur souhait s'exauce petit à petit, celui d'aller disputer cette compétition tant convoitée par toutes les sélections du monde. Que la joie des Algériens continue, que les victoires s'enchaînent…«Merci les verts !».