Menée trois ans après la mise en œuvre de l'interdiction de fumer sur le lieu de travail, cette enquête originale a tenté d'établir une relation entre le nombre de cigarettes fumées et le temps de pause des travailleurs. Globalement, plus on fume, plus on multiplie les interruptions de travail. Ce phénomène a été mesuré : un fumeur d'un paquet par jour fait 8 pauses dans sa journée de travail, soit quelque 80 minutes d'arrêt. Ce qu'il ne faut pas oublier de mentionner, c'est que depuis l'interdiction de fumer au travail, la plupart des fumeurs doivent sortir à l'extérieur pour assouvir leur besoin de nicotine. En effet, peu d'espaces fumeurs ont été aménagés dans les locaux professionnels, devant notamment répondre à des normes strictes de ventilation. Moins de 3% des fumoirs sont installés à l'intérieur des locaux professionnels. Enfin, notons que parmi les fumeurs faisant partie des 2.000 sujets actifs participant à cette enquête, seule la moitié d'entre eux fumaient pendant leurs horaires de travail. Les fumeurs sont-ils aussi plus souvent en retard et plus souvent malades ? Et bien oui, ils sont aussi accusés de ces deux méfaits. Les fumeurs arrivent en moyenne 15 minutes plus tard par rapport à leurs collègues non fumeurs. 1,6% d'entre eux ont été victimes d'un accident de la route sur le trajet de leur travail, contre 0 ,9% des non-fumeurs. Et pour finir, 19% des fumeurs déclarent au moins un arrêt de travail au cours des 6 derniers mois, contre 11,5% de leurs collègues. Encore une étude qui pointe du doigt les fumeurs. Cette fois-ci, les fumeurs sont tout simplement accusés d'être moins productifs au travail. Pourquoi ? Leurs habitudes tabagiques les incitent à multiplier les pauses et à arriver plus tardivement sur leur lieu de travail... Menée trois ans après la mise en œuvre de l'interdiction de fumer sur le lieu de travail, cette enquête originale a tenté d'établir une relation entre le nombre de cigarettes fumées et le temps de pause des travailleurs. Globalement, plus on fume, plus on multiplie les interruptions de travail. Ce phénomène a été mesuré : un fumeur d'un paquet par jour fait 8 pauses dans sa journée de travail, soit quelque 80 minutes d'arrêt. Ce qu'il ne faut pas oublier de mentionner, c'est que depuis l'interdiction de fumer au travail, la plupart des fumeurs doivent sortir à l'extérieur pour assouvir leur besoin de nicotine. En effet, peu d'espaces fumeurs ont été aménagés dans les locaux professionnels, devant notamment répondre à des normes strictes de ventilation. Moins de 3% des fumoirs sont installés à l'intérieur des locaux professionnels. Enfin, notons que parmi les fumeurs faisant partie des 2.000 sujets actifs participant à cette enquête, seule la moitié d'entre eux fumaient pendant leurs horaires de travail. Les fumeurs sont-ils aussi plus souvent en retard et plus souvent malades ? Et bien oui, ils sont aussi accusés de ces deux méfaits. Les fumeurs arrivent en moyenne 15 minutes plus tard par rapport à leurs collègues non fumeurs. 1,6% d'entre eux ont été victimes d'un accident de la route sur le trajet de leur travail, contre 0 ,9% des non-fumeurs. Et pour finir, 19% des fumeurs déclarent au moins un arrêt de travail au cours des 6 derniers mois, contre 11,5% de leurs collègues. Encore une étude qui pointe du doigt les fumeurs. Cette fois-ci, les fumeurs sont tout simplement accusés d'être moins productifs au travail. Pourquoi ? Leurs habitudes tabagiques les incitent à multiplier les pauses et à arriver plus tardivement sur leur lieu de travail...