Par Maamar Farah Des quatre coins du pays, des amis lecteurs me demandent avec insistance de r�pondre � l�actuelle campagne de d�nigrement qui touche Boumedi�ne, l�un des hommes d�Etat les plus aim�s du peuple alg�rien. Je pense que l�auteur de ces graves accusations est plus avis� que moi et a en sa possession des dossiers qui �tayent ses dires. Quand il �voque la v�rit� historique, il serait hasardeux de lui opposer les sentiments ou les r�alit�s de l�Alg�rie postind�pendance, d�autant plus que M. Ma�rfia est un moudjahid reconnu et un citoyen int�gre. Je m��tonne seulement du silence de ses compagnons d�armes et de tous ceux qui se r�clament encore de son h�ritage. Oui, c�est parfois l�che de cribler un mort d�accusations de toutes sortes, mais c�est encore plus l�che de le trahir en se taisant ! [email protected] �Lorsque notre haine est trop vive, elle nous met au-dessous de ceux que nous ha�ssons.�