En Libye, au Yémen, la guerre fait de nombreux morts en ce mois sacré du Ramadhan. Certains pays musulmans, dont l'Arabie saoudite, tuent d'autres musulmans. Nombre d'autres musulmans ne dénoncent pas. Le mois sacré du Ramadhan n'a pas empêché certains pays musulmans, dont l'Arabie saoudite et les Emirats, de lancer les attaques contre les musulmans du Yémen, tandis que ces pays soutiennent la guerre en Libye. Les crimes de guerre ont lieu pendant le mois sacré du Ramadhan. Les civils du Yémen sont tués par la coalition arabe, dirigée par l'Arabie saoudite, et presque aucun pays musulman ne dénonce. Les Houthis ont dû riposter en tirant contre un champ de pétrole de l'Arabie saoudite et là, comble d'hypocrisie, certains pays musulmans ont dénoncé la riposte des Houthis. La dénonciation est exprimée par les responsables en contradiction avec les convictions de leurs peuples, qui dénoncent les crimes de guerre commis par la coalition arabe, dirigée par l'Arabie saoudite. Durant le mois sacré du Ramadhan, l'Arabie saoudite et les Emirats ont bombardé les civils au Yémen, mais presque aucun des pays musulmans n'a dénoncé les crimes de guerre. Durant le mois sacré du Ramadhan, Israël frappe Ghaza, et aucun de ces pays musulmans n'a dénoncé. C'est pendant le mois sacré du Ramadhan, que l'Arabie saoudite et les Emirats tentent d'impliquer l'Egypte contre l'Iran. Les musulmans, qui souhaitaient ne serait ce que la trêve pendant le mois sacré, ont été déçus, et ne comprennent pas l'allégeance de certains pays musulmans à Washington et Israël. Tandis que nombre de juifs favorables à la paix appellent au respect des droits des palestiniens, certains pays musulmans, dont l'Arabie saoudite et les Emirats, applaudissent la politique hostile aux palestiniens et musulmans, lancée par le président américain. En ce mois sacré du Ramadhan, l'Arabie saoudite participe aux préparatifs du président américain d'une guerre contre les musulmans iraniens. L'allégeance au président américain et au premier ministre d'Israël, Netanyahou, est très importante pour ces pays, qui ont commis les crimes de guerre au Yémen. Le président américain, lui, ne dénonce pas ces crimes, dont le meurtre du journaliste Khashoggi. Le prince de l'Arabie saoudite, principal accusé, est béni par Washington pour sa politique hostile aux musulmans.