«Le manque d'hygiène et de sécurité dans les bureaux et les inspections des impôts à travers la wilaya, les transferts de fonds, qui se font par endroits sans sécurisation», alors qu'en même temps «les recettes des impôts de Amizour et de Thala Ouriane sont dépourvus d'agents de sécurité», ce sont les principales revendications qui ont motivé le débrayage des fonctionnaires des impôts des deux circonscriptions de Béjaïa et de Tichy dans un mouvement de grève de trois jours, suivi, selon un syndicaliste, «à près de 70% sur 271 agents, plus de 150 sont en grève», a-t-on précisé. Le syndicat des impôts exige «la confirmation des agents occupant un poste spécifique depuis de années» et «dénoncent le blocage des carrières de certains agents dont la prime de rendement n'a pas été perçue depuis cinq ans».