Pour la troisième fois consécutive l'Institut français d'Algérie lance le concours de la nouvelle fantastique en plus du Prix du jeune écrivain. Après le climat, thème choisi en 2015 en raison de la tenue du Sommet international autour de cette problématique, cette année, le thème abordé par les participants sera «Les fous du stade» et ce, à l'orée des Jeux olympiques et de l'Euro 2016. En effet, L'Institut français donne pour piste (sic) la compétitivité et le dépassement de soi que l'on retrouve dans les activités sportives. Tant d'émotions se voient liées à ce thème et la victoire comme la défaite fera tout le dénouement du récit. Les participants doivent répondre à quelques conditions avant de pouvoir envoyer leurs oeuvres. Leur âge doit être compris entre 18 et 35 ans et ils doivent impérativement être de nationalité algérienne et résider sur le sol algérien. Les nouvelles ne peuvent contenir que dix pages au maximum et être rédigées en langue française en Times New Roman de taille 12. Un jury composé d'écrivains, d'éditeurs, de spécialistes de la littérature et de représentants de l'Institut sera chargé de sélectionner les dix meilleurs textes qui seront rendus publics le 31 juillet 2016 et feront l'objet d'une parution aux éditions Médiaplus, tandis que la meilleure de ces 10 nouvelles sera primée. A l'issue du concours, les 10 auteurs sélectionnés seront amenés à participer à des ateliers d'écritures, afin de perfectionner leurs plumes et de rencontrer des professionnels de l'édition. Pour participer, il suffit d'envoyer les nouvelles avant le 31 mai 2016 à l'adresse suivante: [email protected]. Pour rappel, le gagnant du Prix de la meilleure nouvelle fantastique était Walid Sidi Saïd pour sa nouvelle intitulée «Les carnets du Wasteland». Il avait à cette occasion empoché 200.000 dinars offerts par BNP Paribas, sa nouvelle fera l'ouverture du recueil des 10 nouvelles 2015. Dans ce dernier figuraient aussi Zayan Guedim avec son texte «Un soupçon de paradis», Yacine Rouibi avec «le reg de tous les climats», Adnène Amara avec un texte appelé «Thermophobie», Karim Belghanem avec l'entité «Climat», Ryma DIB avec la nature déchaînée, Nesrine Filali avec sa nouvelle intitulée «Marylin, Kahina Hadjara avec «Emotions climatiques», Mohamed Anis Saïdoun avec le destin des givrés et enfin Fouad Touchene avec son texte appelé «Le lys magnétique».