Le tristement célèbre Mohamed Larbi Zitout continue sa campagne insidieuse contre l'Armée nationale populaire. Il ne se passe pas un jour sans que cet illustre inconnu de beaucoup d'Algériens, n'invente comme il l'imagine un scénario pour tenter de toucher à la crédibilité de l'ANP. Des tentatives qui ont échoué. Bien avant le 22 février date à laquelle le peuple algérien est sorti dans la rue pour demander le changement, ce sinistre personnage contre un euro ou un dollar était prêt à tout pour nuire à l'image du pays. Fort heureusement vainement. Ses inventions mensongères ont atteint le ridicule, ne pouvant s'empêcher de ressasser, à partir de sa retraite dorée à Londres, le subversif individu avance «qu'il existe des dissensions au sein du Haut commandement de l'ANP». Ceci ne peut être admis par des personnes censées sauf bien sûr ceux qui sont de la même nature, c'est-à-dire ignorant tout du pays et ses institutions, notamment qu'il est loin du pays depuis des années après l'avoir trahi alors qu'il était employé au niveau de l'ambassade d'Algérie en Libye avant la destruction de ce pays. Aux yeux du monde entier, l'ANP a démontré sa cohésion en tant qu'institution républicaine dans la délicate phase traversée par le pays. Malheureusement, ce personnage douteux continue de se faire passer pour un expert en matière de connaissance. Il verse toute sa haine contre l'ANP et son commandement dans pas moins de 130 vidéos, depuis le 22 février 2019 le dissident londonien évoque «des luttes d'influence et des guerres de clans au sein de l'ANP» en lançant des scénarios farfelus et à la limite de nature burlesque dont les critiques se sont évidemment effondrées comme un château de cartes. Or, comme il est loin et ne peut comprendre ni savoir la réalité du terrain, il fait dans la désinformation. Cette haine qu'il porte n'est pas uniquement exprimée à l'égard de l'ANP, mais aussi son peuple qui constitue, à juste titre, la traduction d'une osmose née depuis la lutte contre le colonialisme français. Cet hurluberlu des réseaux sociaux pense pouvoir attenter au moral des troupes de l'ANP en distillant ces proverbiales effronteries. Il ignore peut-être à quel point son personnage est rejeté par la majorité des Algériens et rien qu'à voir ce qui se dit sur ses interventions, on constate que le peuple est hostile à son ingérence. Il ignore aussi que le peuple algérien est foncièrement hostile à toute atteinte à son armée, en témoignent les marches de soutien à l'ANP et à son état-major. Le plus beau témoignage de solidarité entre le peuple et son armée ne date pas d'hier et a été démontré dans plusieurs occasions. Cela d'autant que durant toutes les marches du Hirak, le slogan «Djeich chaâb, khawa khawa (armée et peuple, des frères)» est constamment repris en cœur par les marcheurs dans toutes les villes du pays. A l'évidence, cette réalité agace les nervis du colonialisme, et les traîtres de tout poil, tant l'armée est demeurée une forteresse imprenable et une institution sûre et sereine accomplissant avec dévouement sa mission de maintien de la stabilité du pays face aux dangers internes, notamment à travers l'accompagnement neutre du processus électoral, souhaité par des pans entiers du peuple algérien.