La Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH) a estimé que la situation en Tchétchénie ne justifie par le recours à la prise d'otage. “Les crimes commis par les forces russes contre la population civile tchétchène ne peuvent, en aucune manière, justifier des représailles contre la population civile russe”, a déclaré la FIDH dans un communiqué commun avec le Comité Tchétchénie de Paris. La FIDH et le Comité Tchétchénie ont appelé à la “libération sans condition” des otages et demande aux autorités russes de s'abstenir d'exercer des représailles sur les populations tchétchènes. Les deux organisations ont aussi demandé la reprise des négociations entre les autorités russes et le président tchétchène, Aslan Mashkhadov, “qui a été légitimement élu”.