La chambre d'accusation de la cour de Djelfa vient d'annuler l'ordonnance du juge d'instruction du tribunal portant le non-lieu dans l'affaire de faux et usage de faux de l'APC de Aïn-Chouhada déclenchée par un fonctionnaire en avril 2004 et confirmée par l'expertise du laboratoire de la Police scientifique d'Alger. Ainsi, après l'appel formulé par l'avocat Me Ahmed Triki, le président de la chambre d'accusation a confié ce dossier au juge d'instruction pour une nouvelle enquête afin de déterminer les responsabilités. Pour rappel, l'ancien DEC de Aïn-Chouhada, dans la wilaya de Djelfa, n'est autre que l'actuel comptable de ladite APC, et il est directement impliqué dans cette affaire qui risque d'éclabousser, également, le maire qui règne à Aïn-Chouhada depuis 1990. Affaire à suivre. L. G.