Mohamed Benchicou ne bénéficiera pas de la grâce. Dans l'absolu, il y a droit car il entre dans la catégorie des détenus éligibles à une remise de peine. Le restant de sa condamnation n'excédant pas 8 mois, le directeur du quotidien Le Matin quitterait la maison d'arrêt d'El-Harrach, au pire dans un mois. Or, son affaire est toujours en appel au niveau de la Cour suprême. Dans un dernier communiqué paru il y a quelques jours, le comité de soutien mis en place par sa famille a de nouveau exigé sa libération. S. L.