aïn m'lila journées d'étude sur le patrimoine archéologique de l'est algérien À l'occasion de l'ouverture de l'annexe du centre national de recherche en préhistoire et de l'anthropologie d'Aïn M'lila, le complexe culturel Maâti-Bachir a abrité deux journées d'étude sur le patrimoine archéologique de la région Est. Cette manifestation culturelle a regroupé nombreux chercheurs en histoire et archéologie provenant des universités de Constantine, Guelma, Souk-Ahras, Batna, Sétif… “Aïn M'lila, à travers les vestiges archéologiques et historiques de la wilaya d'Oum El Bouaghi” ; “aperçu sur le patrimoine archéologique des Aurès” ; “patrimoine archéologique de Jijel” ; “l'industrie lithique” ; “monuments funéraires”, “sites archéologiques de Roknia” ; “mosaïque des jeux” ; “épigraphie cirtéenne”… sont autant de communications programmées à l'occasion. K. MESSAÂD guelma 55,22% de réussite au baccalauréat Avec 3 294 admis sur 5 997 inscrits et 5 965 présents, la wilaya de Guelma a enregistré un taux de réussite de 55,22 %, se classant ainsi 11e à l'échelle nationale. Dans l'enseignement général, ils sont 51,76% à avoir obtenu leur bac et 81,44% dans l'enseignements technique. S'agissant des résultats du BEM, le taux de réussite est de 53,54% et une 8e place à l'échelle nationale, 6 élèves ont obtenu plus de 18 de moyenne et l'établissement Mohamed-Abdou a réalisé un taux de réussite de 97,80%. Selon le directeur de l'éducation, 8 établissements du moyen, dont le CEM de Bordj-Sabat qui a réalisé un taux de 28,95%, feront l'objet de mesures pour déterminer les faiblesses. Dans le cycle moyen toujours et dans le cadre des nouvelles mesures prises par le ministère en matière de passage au secondaire, suite aux instructions du président de la République, 203 élèves ont bénéficié du passage en 1re année secondaire. B. NACER les tébessis à la conquête des villes côtières tunisiennes À l'approche de la période estivale, nombreuses sont les familles tébessies qui se préparent pour passer des vacances sur l'autre rive de la frontière, précisément à Tunis, Sousse, Hammam Lif, Hammamet et Nabel. Ces villes côtières deviennent des pôles attractifs pour un nombre important d'estivants, surtout ceux originaires de la ville de Tébessa. Selon une source bien informée et crédible, durant une semaine seulement, plus de 3 000 visiteurs ont été recensés au niveau des bureaux de douanes à Bouchebka et Rous El Ayoun. C'est ce qui laisse entendre que les familles tébessies préfèrent, de loin, les villes côtières tunisiennes. Cette réalité absolue s'argumente par différents facteurs générateurs du tourisme chez nos voisins qui ont déjà acquis une culture onéreuse dans le secteur du tourisme et de l'hospitalité. La majorité des Tébessis, surtout la gent féminine, estiment qu'en Tunisie, les rues et les plages sont plus sécurisées qu'en Algérie. D'une part, le bon accueil et, d'autre autre part, l'ambiance et les aires de détente ne manquent pas. La ruée des Tébessis vers la Tunisie stimule, potentiellement, le marché parallèle de la monnaie, précisément durant cette période. Ce qui a ouvert le champ aux filières parallèles pour imposer leur diktat à toute personne désirant partir en Tunisie. Hafid Maâlem