Malgré l'intervention du wali de Boumerdès au sujet des 700 logements AADL de Khemis El Khechna du programme 2001-2002 sise à l'ex-Fondouk actuellement Khemis El Khechna, les bénéficiaires de logements sont fatigués des promesses sans lendemain de la part des autorités locales et wilayales. Dix-sept ans de souffrances et rien n'a changé malgré l'intervention de Madani Fouatih Abderahmane d'annuler la construction d'une école primaire en forme de chalet en ordonnant que cette enceinte censée procurer le savoir à nos enfants doit être construite en béton armé. Malheureusement, et à ce jour, les habitants de la cité des 700 logements AADL n'ont rien vu veni. «Nos foyers ne sont toujours pas raccordés au gaz naturel, les branchements tardent à venir, le problème en eau potable qui n'arrive pas au premier étage et l'éclairage de la cité qui ne fonctionne pas», affirme un protestataire tout en ajoutant «depuis le 2 décembre 2017, date d'inauguration du site en présence des divers ministres et protocoles accompagnateurs, le site a été livré sans commodités nécessaires, indispensables pour une vie descente harmonieuse d'une famille béneficiaire d'un logement dans le site des 700 logements AADL précédemment enoncé : il y a un manque en gaz naturel, un manque en éclairage public, l'inexistence des emplacements pour enlèvement des ordures qui pousse les citoyens à l'incivisme en créant des décharges sauvages et dépotoirs à ciel ouvert qui sont signalés aux quatre coins de la cité. Des points noirs qui se multiplient en dehors du périmètre de la cité, représentant un véritable risque sur l'environnement. Les habitants espèrent des gestes de la part des élus locaux et surtout de la Direction de l'AADL pour améliorer le cadre de vie des citoyens. Eclairage public défaillant, penurie d'eau, route impraticable, les habitants de la cité des 700 logements AADL interpellent les autorités communales à l'effet de prendre en charge leurs doléances. Les citoyens de la cité des 700 logements AADL de Khemis El Khechna sont en train de prendre leur mal en patience en attendant la délivrance après plus de 17 années d'attente. Présentement, la mise en service du gaz naturel est tributaire de la fin des travaux et de la levée des reserves techniques soulevées par les agents de la SDC. Les protestataires interpellent les responsables de l'AADL à l'effet de prendre en charge leurs doléances et améliorer leur cadre de vie. Ces derniers rappellent dans de nombreuses correspondances que leur cité est dépourvue des moindres commodités à l'image de l'éclairage public qui est défaillant, de l'eau potable qui n'arrive même pas au premier étage. Les habitants lancent un appel aux autorités compétentes à l'effet de prendre en charge leurs revendications pour que cesse le calvaire qu'ils endurent depuis plus de 17 ans.