Intitulé «Epopée de Novembre, épopée des peuples», l'Edito de la revue mensuelle d'El-Djeïch, parue pour ce mois de novembre, a célébré, dignement, hautement et fortement, l'anniversaire de la grande et historique Révolution algérienne du 1er Novembre 1954, «une date glorieuse qui a changé le cours de l'Histoire », rappela la voix d'El-Djeïch. Tout en célébrant avec grande fierté la glorieuse Révolution du 1er Novembre 1954, le nouveau numéro de la revue d'El-Djeïch paru pour ce mois de novembre, est revenue sur ce qui se passe à Ghaza, sur la guerre ethnique qu'est en train de subir le peuple palestinien, sur les génocides sionistes commis contre des femmes et enfants, sur le nouveau plan sioniste de liquidation de tout un peuple, sur le double langage et «les deux poids, deux mesures » des médias occidentaux cachant l'atrocité et la brutalité sionistes. Très explicite, la revue d'El-Djeïch a rappelé, devant ce changement géopolitique mondiale troublant et incertain, la glorieuse Révolution du 1er Novembre 1954, qui, décrypte ladite revue, « a changé le cours de l'Histoire et détruit le mythe de l'armée invincible de la puissance coloniale ». L'Edito d'El-Djeïch titré : « Epopée de Novembre, épopée des peuples » a été porteur d'un message clair et fort de son destin, en rappelant que la grandeur de la Révolution du 1er Novembre « ne réside pas seulement dans le ralliement du peuple algérien autour d'elle et dans la réalisation, par l'Armée de libération nationale, de hauts faits d'armes qui ont ébloui le monde, mais s'explique aussi par le fait qu'elle a changé, de l'avis unanime de tous, le cours de l'Histoire », remémore la revue d'El-Djeïch. La résistance et la force sont les deux principales conceptions pour pouvoir changer le cours de l'Histoire et la cause palestinienne est en mesure de réaliser son indépendance. Abordant la question palestinienne, l'Edito d'El-Djeïch a relevé que « tous les indicateurs et les faits montrent que l'occupation sioniste a planifié sa liquidation, comme le traduit le génocide perpétré contre les civils palestiniens, en particulier les enfants et les femmes, en violation flagrante de toutes les normes et conventions internationales ». La même revue a soulevé un autre fait marquant sur la guerre ethnique que subie la population de Ghaza et de Cisjordanie : il s'agit de la guerre des communications, en citant l'exemple parfait des médias occidentaux et leurs traitements odieux et flagrant par rapport aux génocides et crimes de guerre commis par l'armée sioniste contre la population sans défense de Ghaza et en Cisjordanie. « L'alignement total des médias occidentaux aux côtés de l'entité sioniste par le recours au double langage et au deux poids, deux mesures dans le traitement de la juste cause d'un peuple qui lutte, depuis plus de 75 ans, pour recouvrer son droit légitime à établir son Etat indépendant », indique la revue. Assurant et rassurant de la fermeté de la position de l'Algérie par rapport à la cause palestinienne, issue, ajoute la même revue, des principes de sa glorieuse Révolution, l'Edito d'El-Djeich a rappelé que « notre pays, le premier au monde à reconnaître l'Etat palestinien lorsque le défunt Président palestinien, Yasser Arafat, a proclamé sa création en Algérie, le 15 novembre 1988 ».