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Les cèdres : tout est à craindre !
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 17 - 06 - 2015

Même dans son état sauvage, la nature reste captivante, clémente, vraiment séduisante et très généreuse. A contrario, tout être humain connu dans cet état isolé et abandonné où l'esprit traversé par ce courant dangereux ne pense qu'à la détruire pour, au final, inéluctablement se détruire lui-même, Mieux encore, ceux considérés dans leur mental plutôt comme «très naturels», ne font, eux aussi, parfois qu'emboîter le pas à ces gens un peu assez ou trop zélés dans leurs néfastes attitudes et comportements négatifs.
La nature, au travers de son beau couvert végétal, constitue incontestablement leur véritable souffre-douleur, tous pressés d'ailleurs de la déposséder de ses nombreux atouts, en vue de la dépouiller de son joli manteau, couleur herbacée, porté parfois été comme hiver, tel ce vert univers qui égaie nos plaines et enchante nos très hauts reliefs. C'est justement au sein de nos imposants reliefs que le désastre écologique est bien grand et que la catastrophe naturelle est des plus imminente. Après ces riches plaines livrées sans merci à ce béton envahisseur et très destructeur de notre environnement, voilà que le tour est venu de dévaster notre joli patrimoine forestier.
La forêt du Mont El Meddad qui surplombe la ville de Theniet El Had compte justement parmi ces merveilles de la belle nature, mais qui risque à terme de se dénuder complètement de sa verdure et très sobre habit végétal, tissé de cette fibre naturelle assez exceptionnelle.
Emmitouflée dans sa longue combe, creusée tout naturellement dans un relief qui se révèle déjà à fleur de peau, Theniet El Had, discrète et plutôt très inquiète au sujet de son avenir qui tarde étrangement à se manifester, se calfeutre dans ses haillons de très vieux guêtres pour regarder le temps lentement s'écouler, sans pourtant jamais pouvoir profiter de ses nombreux bienfaits.
De Khemis-Miliana à Theniet El Had, la route qui s'élance et s'enfonce à l'allure d'une hyène vers le sud semble très rude. Sinueuse et nerveuse, elle coupe net par endroits, se trémousse, s'efface ou se retrousse dans ses cambrures, échancrures et fourrures de ses belles parures, à la manière d'un agneau gambadant gaiement ou d'un tout petit lièvre qui fait ses premiers pas, en s'adonnant à cœur-joie à son jeu innocent dont sa mère ne peut vraiment suivre la cadence et le rythme imprimés à ses répétés mouvements.
Traversant en coup de vent et à la foulée plusieurs collines et de nombreux vallons, elle jouxte par endroits ces cours d'eau asséchés par mégarde ou par défaut de cette nature humaine qui ne sait malheureusement jamais profiter des indéniables opportunités qu'offrent pourtant ces hauts reliefs en matière d'emmagasinement des fortes pluies hivernales que connaît cette région montagneuse.
Son itinéraire en forme de labyrinthe, truffé d'escarpements rocheux et de plusieurs crêts escortant de nombreuses combes, invite à cette formidable balade en hauteur d'où se dégage en période de chaleur cet air frais qui défie à distance celui purement marin.
Des jas éparpillés çà et là et disséminés sur ces sommets de collines ou encore flanqués au sein de ces basses clairières, animent les lieux et peuplent cette nature en jachère où quelques pasteurs nonchalants et à l'attitude très dilettante, traînent toujours le pas pour faire paître leurs troupeaux de bovins aux robes rousses et mauves de ces quelques rares races du terroir.
En une véritable retraite d'aurochs, ce maquis chaque jour se dénude, se débride et s'érode. Et tout un chacun y trouve son compte: les bêtes, leur tout désiré royaume de pacage, et les bûcherons, leur filon qui sert de vraie fortune, mais qui cause tout ce désastre de drame à cette belle nature.
Au loin, quelques zébrures de drailles, vrais dessins de murailles, en de véritables fils d'Ariane de couleur blanche ou ocre, séparent difficilement une très dense verdure, faite de petits bosquets mais aussi d'arbres géants, appartenant à cette magnifique nature qui étale au grand jour, dans un moment d'inattention, son charme discret d'où émergent ses beaux atours.
Allongée au ras du sol, à plat ventre même, et de tout son poids fort imposant, sur cette terre ferme et très rocheuse, la ville de Theniet El Had semble avoir perdu tout espoir dans la vie, ne pouvant bien malheureusement complètement se débarrasser de la hantise de son drame qui dure encore dans le temps.
Abandonnée par ses poètes, plutôt des plumes de renom, et par ses artistes, de véritables stars du ballon rond, la ville pleure sa progéniture qui lui tourne le dos. Presque tous partis à jamais de cette pourtant belle contrée, à la recherche d'un exil doré pour les uns, ou pour ces autres, d'une vie plus tranquille dans ces plaines tapies en contrebas de forteresse rocheuse, elle ne retrouve pourtant son véritable réconfort que dans le long soupir de ce vent infernal et frais, qui la parcourt dans tous les sens et directions, en quête d'un salvateur espoir de réhabilitation.
A l'abordage de cette grande haie rocheuse, dense et imposante, l'asphalte envahit sans avertir ces lieux paradisiaques, en arpentant et serpentant dangereusement entre ces collines et monceaux, traversant menus ponts et longs contournements du relief de ces sentinelles rocailleuses qui lui tracent la courbe majestueuse de son chaotique chemin, tout comme d'ailleurs l'horizon de sa probable ou supposée direction.
Farcie de ses habituelles bêtes de somme et autre bétail de relève saisonnière, la forêt a plutôt vraiment bien peur de ces êtres envahisseurs d'occasion, souvent armés jusqu'aux dents, venant tous lui ravir ces arbres dont les longues branches cachent ses grandes misères ou obstruent au regard des indiscrets les parties intimes de son corps nu, qu'elle refuse justement d'exposer aux badauds de passage par cette route tracée en véritables lacets qui passe par la contrée.
Trop jalouse de ses nombreux attraits et paysages pittoresques qui parent son relief monstrueux, cette partie boisée par où la route escalade la roche montagneuse en gémissant, offre pourtant au visiteur ces images féeriques, toutes volées à l'idylle des grands paradis terrestres de verdure, dont regorge justement cette autre fascinante région du pays.
A mesure que la pente se raidit, le paysage rocheux se durcit, les virages se multiplient à l'envi, certains en dents de scie ; d'où d'ailleurs ces ralentissements de files de véhicules qui éprouvent cette grande peine à vraiment coller à ce relief fort accidenté, lequel tantôt pleure sa misère et tantôt vous sourit, grâce à ces facettes magnifiques d'une nature sauvage qui renonce à être si vulgairement inspectée, aussi bassement regardée de près.
C'est à partir du bourg de Tarik Ibnou Ziad, à mi-distance du niveau de la plaine du Chélif et de celui du sommet de l'Ouarsenis, que le territoire physique du relief parcouru change véritablement de physionomie, présentant à l'usager de la route un tracé fort nuancé, plutôt bien vertical dans son prolongement et reste à parcourir en cette côte devenant subitement assez raide et plus ou moins difficilement carrossable.
En certains endroits, ce haut relief se présente, à nos yeux, complètement nu, totalement molesté ou délesté de sa couverture végétale et forestière. Œuvre macabre de pyromanes ou juste un cas de laisser-aller ayant pris de l'ampleur au fil du temps, la forêt s'en trouve carrément dénudée.
Aux cols plus ou moins abrupts, l'impact de ces incendies des années antérieures laisse transparaître ces éraflures méchamment portées à cette belle couverture végétale, portant, par ailleurs, un sacré coup à son uniformité et homogénéité.
Tantôt le visage complètement glabre, telle une frimousse à la peau bien lisse, tantôt la joue latéralement labourée de manière laborieuse et honteuse, à l'image de la gueule qu'exhibent ces ratés de la société, elle s'efforce de retenir son souffle.
Par contre, sur d'autres versants traînant en public l'impact indélébile de leur horreur, cette partie nord du mont de l'Ouarsenis n'arrive plus à cacher les stigmates de la décennie noire du siècle dernier. Montée à la peine ou descendue avec une très grande précaution, cette côte, hérissé de ses nombreux dangers, parée de ses nombreux virages en épingle à cheveux, très difficiles d'accès mène de la plaine du haut Chélif vers celle du Sersou, berceau céréalier du pays, via ce haut périmètre du mont d'El Meddad.
Plus haut que le hameau d'El Kerrouch (l'actuel Tarik Ibnou Ziad), le relief devient étrangement des plus accidentés, les virages plus menaçants, la route moins praticable que plus bas et le panorama à vue plongeante plus beau que jamais.
A la vue vraiment splendide, imprenable et insaisissable, l'image féerique que renvoie cette nature sauvage en différents endroits s'impose donc à la vue du visiteur telle une destination privilégiée, au regard des nombreux atouts que compte la région.
Toutefois, les stigmates de la marque indélébile de ces années de braise de la décennie noire ou rouge restent encore très présentes, marquantes, et plus que jamais très vivaces dans l'esprit des badauds et autres nombreux riverains.
Avec en particulier cette stèle réalisée en bordure de la route dans ce virage routier et de la vie, en hommage à l'assassinat de ce très haut commis de l'Etat de la région (ex- Wali de Tissemsilt) et également certains membres de la délégation qui l'accompagnait dans sa visite d'inspection et de travail dans la région.
A cause de ses virages très serrés, en épingle à cheveux, la route qui passe par ce massif montagneux est déjà considérée comme meurtrière. Quant à en faire cette rétrospective des années de violence, celle-ci risque de se classer parmi celles où le drame était leur lot quotidien. Agrippée aux flancs rocheux de ce paysage, en apparence pauvre, elle ouvre sur une succession de rangées de nopal qui ceinturent de très vielles masures ou reliques de mansardes bâties à base de pierres et d'argile.
Quelques arbustes, engraissés par l'humus de la plaine égaie encore l'étroite chaussée qui se faufile et se dérobe entre les broussailles des valons pour disparaître au loin derrière la haute montagne.
Mais à mesure que l'on monte plus haut, toute trace de végétation soudainement s'efface. Pas même un brin d'herbe ne pousse dans les anfractuosités des rochers sur une terre rougeâtre, privée d'éléments nourriciers.
Cependant, la physionomie de la montagne change assez brusquement dès qu'on aborde la descente de l'autre versant. Favorisés par l'humidité qu'entretient le barrage implanté plus bas dans le voisinage, des bouquets de peupliers et de genets meublent un sol des plus fécond et très généreux.
A quelques encablures de Theniet El Had, le terrain jusque-là en légère inclinaison, se renfle soudain pour accoucher d'une ondulation rocailleuse qui, vue de loin, prend l'allure d'une imposante montagne.
Pays de la figue de barbarie de premier choix, Theniet El Had et ses bourgs avoisinants par où transite justement cette route qui mène vers la plaine du Chélif, lui assure dès l'automne de chaque année cette fête symbole plus ou moins discrète qui n'échappe cependant guère au regard intéressé du visiteur qui l'emprunte de façon régulière.
A coup de seaux et de cageots pleins à craquer, rangés souvent les uns contre les autres à la lisière de l'asphalte, celle-ci est exposée depuis tôt le matin sous les vifs rayons d'un soleil de feu qui en rajoute à sa couleur déjà rougeoyante la rendant bien visible de loin.
Fruit succulent, il supplante, grâce à ses grandes qualités culinaires tous les autres fruits de la saison pour leur ravir la vedette.
Cependant, non loin de là, la bourgade étale en plein jour l'effet pervers de son inexplicable drame : une véritable escouade de non-voyants, presque tous émargeant au troisième âge, assis sur une borne près des accotements, une main appuyée à leur canne et l'autre tendant un ustensile en guise de tirelire à remplir par des automobilistes galants et bienveillants, meuble ces parages presque déserts, les uns presque collés aux autres, défiant toutefois la rigueur hivernale et les grandes chaleurs estivales.
Ce boulet qu'elle traîne comme un véritable malheur dure dans le temps, sans que les services de l'action sociale concernée ne puissent s'en occuper en vue d'éradiquer ce phénomène, pour le moins assez bizarre.
Cet aspect très triste de la région renvoie à cette ère de la colonisation qui semble se prolonger dans les temps présents, anéantissant tous les efforts entrepris dans le sens de l'amélioration des conditions d'hygiène et de la santé publique.
Un malin raccourci entre l'impact que produisent les épines de la figue de barbarie et cet épiphénomène qui fait perdre la vue à un aussi grand nombre de citoyens de cette bourgade est très vite instrumentalisé, pour servir de véritable cause au problème soulevé, faute de diagnostic sérieux et de solutions idoines.
Ce haut relief ne constitue pas seulement un très sérieux handicap pour ces vaillants montagnards, dans la mesure où il représentait autrefois ce véritable test de vérité pour ces remarquables grimpeurs parmi les coureurs cyclistes en compétition pour le grand tour d'Algérie dont le tracé passait par la région.
Epreuve tout de même assez dure à remporter, au vu de son tracé complexe et très vertical où seuls les vrais grimpeurs pouvaient au bout d'efforts colossaux vraiment se distinguer à la ligne d'arrivée.
Cette ligne d'arrivée était située à quelques lieues seulement de ce magnifique territoire forestier de la cédraie qui couvre de sa magnifique verdure les cimes d'El Meddad, souvent enneigé durant de longs mois en période hivernale.
Toutefois, cette cédraie-là se meurt chaque jour davantage. Ou un peu plus. Cette forêt, essentiellement constituée du cèdre de l'Atlas (cedrus atlantica), plante dominante à hauteur de 80%, suivi du chêne vert (Querçus Ilex), du chêne-liège (Querçus Suber) et du chêne-zen (Querçus Zen), reste exposée à une très sérieuse menace de disparition, puisque ayant déjà entamé une pente décadente.
A vue d'œil, cette foret dépérit, se déprécie, s'anéantit. L'activité biologique y est quasiment nulle. Pas même un chant d'oiseau ne vient perturber sa sérénité ou interrompre ce silence de cathédrale, comme signe d'équilibre écologique; ce qui explique, par conséquent, que l'écosystème qui existait avant s'est au fil du temps altéré ou s'est détruit.
La régénération du peuplement de cette cédraie s'impose donc, étant logiquement arrivée à son âge d'exploitabilité ; d'où l'urgence d'un plan de réhabilitation, puisque ayant déjà dépassé deux siècle d'existence.
L'urgence que commande l'aménagement proprement dit de la foresterie doit s'articuler autour d'un plan de charge qui prenne en ligne de compte les plants du stade de semis jusqu'à celui final que constitue la futaie à l'effet de la régénérer graduellement tout en préservant l'espace boisé.
Une étude phytosociologie assez poussée demeure obligatoire en vue de dégager un plan d'action tendant à la réalisation d'un aménagement transitoire nécessaire à une forêt équilibrée, forte de plusieurs générations de plants, sur une période d'au moins vingt ans pour enfin arriver à un aménagement sylvicole proprement dit.
Les membres très actifs de l'association des ‘'amis du cèdre'', auxquels revient ce mérite de tenter de protéger ces espèces rares, ont vraiment du pain sur la planche ; sachant que l'entreprise dans laquelle ils se sont engouffrés est des plus périlleuses.
A très grande portée écologique et touristique, leur projet compte déjà parmi les plus prioritaires au regard de ses retombées très positives sur l'économie de la région et du pays.
A vrai dire : tout est à craindre pour ces beaux cèdres ! Si jamais cet écho de détresse n'est pas intercepté à la volée par les responsables concernées! Car le temps n'est plus un allié.


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