Comme à chaque intempérie ou pluies torrentielles, les rues de la cité « Dahnoune Bouhadjar, implantée au chef-lieu de wilaya d'Ain-Temouchent, à proximité de la route allant vers la localité de Terga, deviennent impraticables et causent des désagréments aux automobilistes et aux piétons, plus particulièrement, les écoliers qui trouvent de grandes difficultés pour quitter et rejoindre leurs domiciles parentaux. Les eaux pluviales ont dévoilé et agrandi les nids de poules qu'abritent ces rues. L'inexistence des avaloirs a alourdi sévèrement le calvaire de ces habitants et a transformé leur cité en agglomération rurale purement et simplement. A cela s'ajoute la présence d'une odeur nauséabonde, alourdie par la présence des bestioles et des moustiques, en raison de l'obstruction des caves souterraines où les eaux-usées sont stagnées et menacent aussi bien leur santé que leur sécurité, car, ces eaux peuvent au fil des années, causer une éventualité préjudiciable à la fondation des blocs des bâtiments qui abritent plus d'une centaine d'âmes. Il est utile de souligner que ces bâtiments n'ont connu aucune opération d'embellissement depuis plus de 15 ans, nonobstant moult doléances présentés aux services concernés qui n'ont pris aucune mesure tendant à régulariser cette situation incommodante et qui ne cesse de pénaliser les locataires de jour comme de nuit. A cet effet, les autorités locales concernées de la wilaya sont interpellées pour intervenir afin d'améliorer les conditions du cadre de vie de ces citoyens et citoyennes.