Abdelmalek Sellal a annoncé des perspectives de croissance qui contredisent le FMI et la Banque mondiale. L'écart est si important qu'il ôte tout crédit aux affirmations du Premier ministre.
Ramadhan et Coupe du monde : pour l'Algérie, c'était (...)
Les femmes représentent moins de vingt pour cent de la population active, mais à peine huit pour cent des chefs d'entreprises. Une politique des quotas est nécessaire pour porter ce chiffre à 30-40 pour cent, déclare une dirigeante du Forum des (...)
Syndicats et patronat réclament le retour du crédit à la consommation. Mais le gouvernement, tout en se déclarant favorable, maintient le statuquo, qui lui offre un levier pour influer sur la consommation et l'inflation.
Le crédit à la consommation, (...)
Une terre agricole non exploitée peut faire l'objet d'une vente forcée.C'est ce qu'affirme un haut responsable du ministère de l'Agriculture,qui brise le tabou de la propriété privée. Le vieux slogan de la terreà «celui qui la travaille» réadapté au (...)
Ancien secrétaire d'Etat chargé du tourisme, M. Mohamed Amine Hadj Saïd a été promu ministre. Mais le tourisme a peu évolué.
Entre ses estivants et ses touristes, l'Algérie peine à définir une politique cohérente en matière de tourisme. Soucieux (...)
La nouvelle saison agricole a démarré dans la plaine du Chéliff. Dans la douleur. Le changement, perceptible dans les villages et dans les champs, a lieu progressivement à partir du 20 août, quand les fellahs commencent à préparer les champs pour la (...)
Il n'y a pas que le seul aspect «flambée des prix» dans la hausse des prix des produits agricoles. Il y a aussi l'augmentation des revenus des fellahs, ceux des ouvriers agricoles, qui se situent tout en bas de l'échelle sociale, ainsi qu'une (...)
Des partenaires étrangers se sont résignés à désigner un « Monsieur Algérie », chargé de gérer les relations économiques bilatérales.
Une formule qui permet de centraliser les négociations, et, éventuellement, des mesures d'accompagnement peu (...)
La crise du foncier industriel contribue à pénaliser l'investissement en Algérie. Le gouvernement tente de résoudre le problème, en proposant de nouvelles formules. Mais jusque-là, aucune démarche ne s'est révélée inefficace, car aucun partenaire (...)
La lutte contre l'informel a commencé de manière spectaculaire, avec l'élimination de certains marchés, avant de s'embourber dans la procédure, face aux menaces de dérapage et à l'absence de palliatifs à offrir aux populations concernées. Du coup, (...)
C'est un paradoxe de l'économie algérienne : l'abondance de la production génère souvent de nouveaux problèmes. C'est le cas pour les céréales, où la production 2012, estimée à 58 millions de quintaux, selon des prévisions revues à la hausse par le (...)