Par Ahmed Tessa, pédagogue
À chaque crise d'urticaire, quand ils se sentent en perte de vitesse, les gardiens du temple de la pureté linguistico-raciale remettent sur le tapis un vieux fantasme hérité de la triste période du parti-Etat et du funeste (...)
Par Ahmed Tessa, pédagogue
«L'enfer est pavé de bonnes intentions», dit l'adage populaire.
On savait notre système scolaire pourvoyeur d'échec scolaire et castrateur d'intelligences. Beaucoup d'écrits – contributions journalistiques, ouvrages, (...)
Par Ahmed Tessa, pédagogue
En éducation, il y a une formule cardinale : «Demain, c'est aujourd'hui.» Toute mesure prise dans ce secteur et plus particulièrement dans son segment pédagogique revêt un caractère prospectif. Et pour paraphraser cette (...)
Par : Ahmed Tessa
Pédagogue
Le poids et le contenu du cartable de l'élève sont l'un des révélateurs de la nature d'un système scolaire. S'il est trop lourd pour l'enfant – avec les conséquences sur sa santé –, c'est que son contenu se décline en un (...)
Par : AHMED TESSA
Pédagogue et auteur
L'Ecole d'une Algérie Nouvelle sera en rupture totale avec celle qui a abrité ces monstres en herbe qui ont ensanglanté des éducatrices au grand cœur. Mais l'école, seule, ne pourra jamais les effacer du (...)
Par : AHMED TESSA
PEDAGOGUE
"Profitant de l'angoisse des parents et du désarroi de leurs enfants scolarisés, des commerçants habillés du vernis éducatif/ pédagogique proposent des produits nocifs qui, à la longue, deviennent des poisons."
De nos (...)
Par : AHMED TESSA
PEDAGOGUE, AUTEUR
"Il ne sert à rien de retaper/restaurer une maison dont les fondations sont vermoulues. Elle finira de tomber en ruine, un jour ou l'autre. L'architecte nous conseille de construire une nouvelle maison avec des (...)
Belkacem Ahcene-Djaballah a fait partie du premier groupe de journalistes de l'Algérie indépendante, à la toute nouvelle école de journalisme, ouverte en 1964, à l'ex-rue Jacques-Cartier.
Dans le groupe, il y avait, entre autres, Bachir Rezzoug, (...)
Aujourd'hui c'est la fête et demain on se gratte la tête», dit l'adage populaire pour qualifier l'inconscience. Ainsi, apprenant la nouvelle du passage massif en classe ou en au cycle supérieur de leurs enfants, des youyous ont fusé un peu partout (...)
Par Ahmed Tessa(*)
«Nous demandons uniquement le portefeuille ministériel de l'Education nationale», dixit feu Mahfoudh Nahnah (fondateur du parti Hamas – MSP).
On doit à Mohamed Cherif Kharroubi la fameuse phrase qu'il aimait répéter face à ses (...)
Par Ahmed Tessa, pédagogue
«Ou l'histoire de l'aveugle qui rêve de porter une bague à son doigt. Et non de recouvrer la vue.»
Depuis des décennies, les années passent et le paysage scolaire fait du surplace. Après l'éternelle chanson des programmes (...)
Par Ahmed Tessa
Au moment où le calendrier des examens et la date de la reprise des cours connaissent une avalanche de critiques, on s'attendait à une réponse appropriée de la part du ministère de l'Education nationale.
Une réponse qui aurait pour (...)
Deux images viennent à l'esprit en apprenant les dates de la reprise scolaire. La première est celle d'un conseil de classe de fin d'année. Un collègue propose l'admission d'un élève dont la moyenne est bonne chez lui, mais catastrophique dans (...)
Par Ahmed Tessa
« Ce que nous devons avoir à l'esprit est la chose suivante : si les apprentissages/pré-requis de cette année s'évaporent de l'esprit de nos enfants, ce n'est pas seulement les apprentissages de l'année prochaine qui seront menacés (...)
Par Ahmed Tessa, pédagogue
«À quelque chose malheur est bon.»
Après le Hirak et ses bienfaits pour le peuple algérien, voilà venu le tour d'un invité insolite qui nous réveille du cauchemar de plusieurs décennies. À l'évidence, le Covid-19 n'a pas (...)
Par Ahmed Tessa
Le suspense a pris fin pour les millions d'élèves, leurs parents et les personnels de l'éducation. Le Conseil des ministres a entériné la décision portant sur les modalités de reprise scolaire.
Que peut-on tirer de cette décision ? (...)
Par Ahmed Tessa
C'est à juste titre que toute la société algérienne s'inquiète du devenir d'une année scolaire 2019-2020 parasitée par l'épidémie en cours. Nous ne sommes pas les seuls au monde à vivre dans une attente angoissante généralisée. (...)
Par Ahmed Tessa
Qu'en serait-il de la reprise scolaire après le 29-avril, fin supposée du confinement sanitaire? C'est sur cette épineuse question que s'est focalisée la Radio Chaîne III lors de son émission «La République des arts», ce mardi 21 (...)
Par Ahmed Tessa, pédagogue
La crise sanitaire planétaire touche toutes les couches de la société. A des degrés divers, les plus exposés au danger sont les personnels de santé et toutes celles et ceux qui continuent d'affronter le virus par nécessité (...)
Par Ahmed Tessa
Sophie a six ans, en 1re année primaire : un âge nullement approprié pour assimiler les apprentissages scolaires conçus sous l'angle didactique. Que répond-elle chaque soir à sa maman qui lui demande de réviser pour affronter — c'est (...)
Par Ahmed Tessa, pédagogue
Au vu de leur nocivité (voir ses dérives dans les contributions précédentes), les cours clandestins nécessitent la même démarche que pour l'éradication des maladies contagieuses potentiellement mortelles : contenir la (...)
Par Ahmed Tessa
Depuis le lancement de «l'infitah économique à la sauce algérienne » et davantage encore ces deux dernières décennies, il est coutume d'entendre le simple Algérien qualifier l'honnête travailleur(se) ou le responsable intègre de (...)
Par Ahmed Tessa, pédagogue
En réaction à la précédente contribution, des échos me tendent la perche pour aborder autrement cette deuxième partie, initialement dédiée au volet de la refondation relatif à l'organisation/fonctionnement. Certaines voix (...)
Sans pour autant justifier le recours à la grève du collectif des enseignants du primaire – et ce, pour absence de couverture syndicale – il est indéniable que leurs revendications sont tout à fait légitimes. Faudrait-il encore les avancer avec des (...)
Par Ahmed TESSA.
Voilà seize ans que la réforme de l'école algérienne est en marche et rien ne marche… comme escompté ! Malgré les professions de foi généreuses lancées à son début (en 2002) et les efforts déployés ces dernières années – rien n'y (...)