pacifiques pour l'émancipation des peuples. Si son ancrage est circonscrit à la Kabylie, le cadre qui lui était assigné par ses acteurs avait pour ambition de couvrir toute l'Algérie, toute l'Afrique du Nord.
La compréhension du Printemps 1980 de (...)
Par Hacène Hirèche
(Universitaire et consultant – Paris)
Lounis Aït Menguellet a commencé sa carrière d'artiste à l'âge de 17 ans, en 1967, à la Chaîne II de la Radio d'Alger. Entouré de Cherif Kheddam et de Kamal Hamadi, fortement inspiré par Taleb (...)
Lounis Aït Menguellet a commencé sa carrière d'artiste à l'âge de 17 ans, en 1967, à la Chaîne II de la Radio d'Alger. Entouré de Cherif Kheddam et de Kamal Hamadi, fortement inspiré par Taleb Rabah, l'élève ne tarda pas à dépasser ses maîtres. Son (...)
Nul besoin de sortir d'une grande école pour se rendre à l'évidence que l'Algérie est paralysée par un immobilisme institutionnel hérité de l'ère coloniale qui freine le changement nécessaire du modèle d'autorité en place. Un modèle qui verrouille (...)
L'Algérie a été, dès le lendemain de l'indépendance, victime des choix opérés par ses dirigeants, qui ont pris le pouvoir par la force.
Les institutions qui ont servi d'architecture à son système politique sont tout droit sorties du modèle colonial (...)
Les institutions qui ont servi d'architecture à son système politique sont tout droit sorties du modèle colonial français, caractérisé par une centralisation jacobine de l'administration, une personnalisation du pouvoir, un sectarisme culturel et (...)
Reprenons d'abord les données factuelles. 10 mars 1980 : cela fait pratiquement 1/3 de siècle ! Ce jour-là, le paisible savant Mouloud Mammeri, heureux de l'opportunité de pouvoir transmettre le résultat de ses recherches aux jeunes générations, se (...)
Printemps berbère 1980, des poèmes anciens suspects !
Les étudiants et certains de leurs professeurs l'attendaient fébrilement. Ils étaient naturellement curieux, grisés de bonheur, fiers à l'idée de pouvoir écouter celui qui était déjà à l'époque (...)
Ramdane Amazigh, Haïfi de son nom patronymique, est l'un de ces grands militants dont la mort ne peut et ne doit occulter la vie.
Les balles d'un vieux lâche assassin, connu pour être le pervers du coin, ne peuvent effacer le parcours du militant (...)