L'identité de l'homme est la donnée de base de son nationalisme (terminologie dérivée du mot nation, concept qui émergea avec la Renaissance européenne et la révolution française). Le NATIONALISME n'est pas à confondre avec le PATRIOTISME, (concept (...)
L'identité nationale est une donnée simple à concevoir et même à décrire, mais étant strictement une qualité attachée à l'Homme, elle est chevauchée par la complexité humaine.
Par conséquent, elle est d'une certaine complexité, ou plus tôt d'une (...)
Le papier de Brahim Senouci intitulé Défaut de langue (Le Quotidien d'Oran, 27 août 2014) est, à ma modeste connaissance, la première analyse qui a fait face courageusement à un problème chronique, ayant souvent des poussées aiguës, saignantes et (...)
Les événements de Ghaza ont ressuscité dans ma mémoire un dialogue que j'avais eu un jour avec le président Houari Boumediene, un dialogue qu'était en vérité, un monologue, car je n'ai pas osé interrompre Si Boumediene qui se remémorait les origines (...)
Les histoires populaires sont un trésor inépuisable de sagesse et une source illimitée d'enseignement. On raconte qu'un paysan dit à son ami en montrant un objet noirâtre à l'horizon lointain: «Regarde ce corbeau, combien il est grand. Son ami (...)
Les massacres commis en Syrie par le régime du président Al Ouahche (le monstre, de son vrai nom) alias, Al Assad, ne peuvent être qualifiés que de véritable crime contre l'humanité.
Deux contrevérités d'apparence innocentes doivent être élucidées. (...)
Un vieux contentieux oppose l'armée égyptienne aux Frères musulmans
Il y a 60 ans, le 23 juillet 1952, les officiers libres égyptiens chassaient le roi Farouk. Entre Nasser et les Frères musulmans s'engagea alors une lutte sans merci qui finit par (...)
Encore une fois, le régime en Syrie donne un exemple de cynisme en s'enfermant dans le concept sécuritaire absolu.
La mort de Daoud Rajha, ministre syrien de la Défense nationale, son adjoint Assef Chawkat, le beau-frère de Bachar El Assad, et (...)
Le problème de l'Egypte se résume en une phrase. Le passif du passé constitue le paramètre de l'avenir, et les règlements de compte seraient pour un certain temps derière chaque mouvement politique, quel que soit son auteur.
Le Haut conseil des (...)
L'enseignement à tirer des élections égyptiennes confirme que le Haut conseil des forces armées (HCFM) a très bien manœuvré pour maîtriser l'Egypte de l'après-Moubarak.
En février 2011, l'objectif était simplement d'en finir avec un régime moribond (...)
En février 2011, l'objectif était simplement d'en finir avec un régime moribond qui tentait de survivre avec un clonage à la syrienne.
Mais, Gamal Moubarak n'avait pas les mêmes liens organiques et sentimentaux avec l'établissement.
L'armée a très (...)
Le résultat des élections présidentielles en Egypte, annoncé officieusement cette semaine, n'est pas loin du résultat des élections algériennes de 1991.
Sa fin mitigée et contestée rappelle la fin des élections américaines de Busch junior et Al Gore (...)
Sa fin mitigée et contestée rappelle la fin des élections américaines de Busch junior et Al Gore en 2000. La précipitation du Haut Conseil militaire pour nommer un chef du cabinet du président de la République peut être une indication d'un signe (...)
La Syrie vit une véritable guerre civile qui a commencé à Edleb et qui fait tache d'huile, enflammant, jour après jour, l'ensemble de «bled Echam», asile historique de l'Emir Abdelkader.
Certes, les deux côtés opposés n'ont pas la même puissance. (...)
Certes, les deux côtés opposés n'ont pas la même puissance. D'un côté, le régime met le paquet pour mater la révolte populaire, fort de ses possibilités sécuritaires qui gèrent une armée dont les postes-clés sont bien maîtrisés par la minorité (...)
J'avoue que j'étais perplexe en ce qui concerne le printemps arabe, surtout en Egypte. Mais je suis arrivé à la conclusion qu'il s'agit bel et bien d'un printemps, contrairement aux analyses des apprentis sorciers, qui attribuent tout à un complot (...)
Une vérité saute aux yeux. Souffrant pendant des décennies de répression, de «hogra» et d'appauvrissement, les peuples de la région sont arrivés à l'étape du ras-le-bol. Ils ont perdu toute confiance, non seulement en les pouvoirs en place, mais (...)