Après plusieurs reports, la privatisation d'Algérie Télécom devrait être finalisée en février 2006. En effet, le gouvernement aurait décidé de passer à la vitesse supérieure en matière de cession des biens de l'Etat. D'ailleurs, c'est le souhait du FMI et de la Banque mondiale. Ces deux organismes ont, en effet, dans leurs derniers rapports mis en cause le taux d'avancement des privatisations par rapport aux objectifs exprimés par le gouvernement. Cette opération reste en deçà des objectifs qui portaient sur 50% du capital. Seulement l'amélioration de la santé financière du pays permet de surseoir à certaines décisions surtout concernant la privatisation des secteurs stratégiques comme les télécoms. Par ailleurs, la dégringolade du secteur des NTIC ne permet plus les plus-values importantes réalisées par le passé, ce qui a conduit le gouvernement à réduire ses ambitions