Le feuilleton des communes bloquées ne semble pas connaître son épilogue à Souk Ahras et les tiraillements entre chapelles partisanes, voire parfois entre élus de même obédience, réduisent à néant la gestion des affaires de la cité. Ainsi, après H'nencha, Ouled Driss et autres municipalités plus importantes, celle de Zouabi s'engage, depuis quelques semaines, dans une interminable guéguerre entre deux blocs antagonistes. L'un composé de quatre élus (2 FNA et 2 RND), et qui refuse de cautionner la manière de gérer adoptée par un président d'APC FLN, et l'autre proche de ce dernier et qui y voit une gestion « irréprochable ».