Déposé par un Hercules C-130 au niveau des Issers, un gendarme arrive à pied à l'entrée de Tizi Ouzou. Il tombe sur un extraterrestre jaune et vert de l'aile dialoguiste en train d'organiser la circulation des soucoupes volantes au niveau de la première trémie. Le gendarme ne comprend pas la langue extraterrestre, mais par les gestes que ce dernier fait et qui sont compris dans tout le système solaire, il comprend qu'il n'est pas le bienvenu. Le gendarme tente alors d'expliquer que par les derniers accords passés avec Ouyahia, les gendarmes vont se redéployer dans la région, touchée par de graves problèmes de sécurité et sort une photo dédicacée de Abrika. A sa pilosité anormale, l'extraterrestre reconnaît le personnage de la photo et laisse passer le gendarme, retournant à sa circulation. En suivant la route, le gendarme arrive à Azazga après avoir essuyé quelques jets de météorites et tombe sur un extraterrestre mais du camp hostile au dialogue avec les Terriens. Juste avant que l'extraterrestre ne sorte son laser en parpaing, le gendarme explique, à l'aide d'un traducteur issu d'un mariage mixte terrien-extraterrestre, qu'il est là pour la sécurité de tous. L'extraterrestre explique que tant que les auteurs des assassinats du printemps 2001 ne sont pas jugés, il n'est pas question que les gendarmes reviennent, ajoutant que pour les problèmes de sécurité de la région, ils peuvent se régler à travers les sûretés urbaines. En rentrant chez lui après avoir traversé un barrage de pneus d'engins spatiaux et s'être fait largement fouetter avec des queues de comètes, le gendarme livre son rapport intergalactique au commandant : « Les gendarmes devant assurer la sécurité des extraterrestres ne sont pas en sécurité à cause des extraterrestres. » Concluant : « Il se passe des choses anormales dans cette région de la voie lactée. »