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Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions celebres
Esprit, es-tu là ? (165e partie)
Publié dans Info Soir le 24 - 02 - 2010

Résumé de la 164e partie n La goélette «Mary Cellars» est découverte, voguant, à l'aventure, par un autre bateau. Les passagers semblent s'être volatilisés !
Le capitaine Deveau, qui inspecte avec ses hommes le «Mary Cellars», remarque qu'il n'y a pas de traces de repas dans la cabine. La disparition a donc eu lieu avant l'heure du déjeuner, à moins que la vaisselle n'ait été rangée.
On se rend à la cuisine. Aucune nourriture ne cuit. Les marmites, les assiettes et les verres sont propres et bien rangés. Aucun débris d'aliment ne traîne sur la table. Cela confirme donc l'hypothèse que la disparition a eu lieu dans la matinée. Outre l'absence de repas, il y a le fait que le lit de la cabine n'ait pas été fait.
Les chambres des marins sont plus sèches que celle du capitaine. En tout cas, les coffres où ils rangent leurs effets personnels ne sont pas mouillés. Le capitaine fait ouvrir les coffres : les effets et tous les objets sont là. Il y a aussi, sur le sol, des bottes de toile cirée et, sur les tables, des pipes. L'équipage est également parti en catastrophe, il n'a rien emporté.
Dans la cabine du second, on trouve le journal de bord de la goélette. Mais celui-ci s'arrête au 25 novembre et aucun événement remarquable n'a été signalé.
On fouille le bateau. Il y a des vivres pour six mois, tous les objets indispensables à la vie sont disponibles. Cependant, après une fouille minutieuse, on découvre le sextant, le chronomètre et les livres de navigation ont disparu. Un homme fait cette réflexion.
— l'équipage a dû être attaqué par des pirates.
— Non, dit le capitaine Deveau, il n'y a aucune trace de violence, et puis des pirates auraient pris la cargaison.
— alors une mutinerie ?
— Je ne le pense pas.
— alors que s'est-il passé ?
— je ne sais pas !
Le capitaine donne l'ordre à ses hommes de retourner sur le «Dei Gratias». Il fait un compte-rendu au capitaine Morehouse. Il ne comprend pas que l'équipage ait quitté le bateau : celui-ci est absolument en état de naviguer, en dépit des infiltrations d'eau relevées. Mais le capitaine conclut avec satisfaction :
«Nous allons ramener la goélette... Et toucher la prime de sauvetage !»
En effet, d'après le règlement de la mer, tout bateau en perdition sauvé vaut à son sauveteur une prime équivalant à la moitié de la valeur de sa cargaison. Or, la cargaison du «Mary Cellars» vaut 42 000 dollars et le bateau est assuré pour plus de 17 000 dollars : une très coquette somme !
Deveau est ainsi chargé de conduire le bateau à Gibraltar. Il est suivi par le «Dei Gratias» qui, tout au long du trajet, le surveille, en prévision de quelque avarie. Mais il ne se produit aucun accident.
Cependant, à l'entrée du Détroit de Gibraltar, un brusque coup de vent sépare les deux bateaux. Le «Dei Gratias» amarre à Gibraltar le 12 décembre 1872, au soir, et le «Mary Cellars» n'arrive que le lendemain, au petit matin. Gibraltar, qui est rattaché à l'Espagne, est, depuis 1704, possession britannique. (à suivre...)


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